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Ton talon d’Achille

Ton tas lent d’hache il.

Telle un Talleyrand au pied bot, clampin clôt pa/n tu t’es répandue dans ta propre fange, pris les pieds dans ton tapis. Hais hais, tu l’avais pas vue venir scelle là…

« La madame elle est pas là » tu disais en planquant ta mère de dèche hait sous la mot/maux quête.

« Sa gîte hait avant de s’en servir » disait-il du peuple. Et toi, que fais-tu ? Tu te dais anche péniblement, tu rouilles ma vieille, tu sens le moi si, tu ne sais pas aimer, tu prends, mais donner, là, y’a plus père sonne. Alors tu jettes le dais et le trône, t’es vrai ment cône hic.

Et si c’était à refaire, avec des scies, on peut longtemps découper les mère de en Oui.

Putain de bord d’elle de mère de ça race…Ça fée chier au temps de connerie.

Allez quoi Jac hôte the ripper, mets tes putains de tripes sur la table, fais-toi ah Râ qui rit, vois le travail, y’en a du monde dans ton creuset. De quoi faire un bon rat goût, mais pas très ragoutant au fit âne al…banc d’ank cul laids.

T’as le co-heurt qui bat la meuhhhh sûre dans ton beuh don, ah ah t’as vu comment ça cause, l’or rit jaune sur l’or rit gin, oui tes gins ceux planqués dans ta lampe d’all à daim, il est où ton banc bi ton bambin. T’as plus qu’à l’as ticket pour l’affaire Bri est.

Ben vi, t’as un vise heure, pourquoi tu t’en sers pas…c’est pour ça qu’t’es une taupe, bien planquée, bien au chaud sous ton tas de fût nié. Achètes-toi des lu nettes, haut lieu de regarder par le petit boue de la l’or niet niet came à rade.

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