• Musique

    you should see me in a crown» par Billie Eilish

    Trinity s’est reconvertie dans la danse

    Bite my tongue, bide my time
    Je mords ma langue, j’attends mon heure
    Wearing a warning sign
    Portant un panneau d’avertissement
    Wait ’til the world is mine
    J’attends jusqu’à ce que le monde soit mien
    Visions I vandalize
    Visions que je saccage
    Cold in my kingdom size
    Froide dans l’ampleur de mon royaume
    Fell for these ocean eyes
    J’ai craqué pour ces yeux océan

    (Chorus:)
    You should see me in a crown

    Tu devrais me voir avec une couronne
    I’m gonna run this nothing town
    Je vais diriger cette foutue ville
    Watch me make ’em bow
    Regarde-moi les faire s’incliner
    One by one by one
    Un par un
    One by one by
    Un par un
    You should see me in a crown
    Tu devrais me voir avec une couronne
    Your silence is my favorite sound
    Ton silence est mon son préféré
    Watch me make ’em bow
    Regarde-moi les faire s’incliner
    One by one by one
    Un par un
    One by one by one
    Un par un

     

    Count my cards, watch them fall
    Je compte mes cartes, les regarde tomber
    Blood on a marble wall
    Sang sur le mur de marbre
    I like the way they all
    J’aime la façon dont tous
    Scream
    Crient
    Tell me which one is worse
    Dis-moi lequel est le pire
    Living or dying first
    Vivant ou mort en premier
    Sleeping inside a hearse
    Dormant dans un corbillard
    I don’t dream
    Je ne rêve pas

    You say
    Tu dis
    Come over baby
    Viens par là chérie
    I think you’re pretty
    Je pense que tu es mignonne
    I’m okay
    Ça va
    I’m not your baby
    Je ne suis pas ta chérie
    If you think I’m pretty
    Si tu penses que je suis mignonne

    (Chorus)

    Crown
    Couronne
    I’m gonna run this nothing town
    Je vais diriger cette foutue ville
    Watch me make ’em bow
    Regarde-moi les faire s’incliner
    One by one by one
    Un par un
    One by one by
    Un par un
    You should see me in a crown
    Tu devrais me voir avec une couronne
    Your silence is my favorite sound
    Ton silence est mon son préféré
    Watch me make ’em bow
    Regarde-moi les faire s’incliner
    One by one by one
    Un par un
    One by one by one
    Un par un

  • Métamorphose

    Lettre ouverte à l’état profond

     

     

    Les trouvères allaitât prof on

    L’être où vers allait à pro fond

    Laids trous verts all hait tas pro phone D.

    Les trous de ver allez tas pro font

    Let/tell tre ou verre all laid tas don fait par le père

    Laisse trinity agir/dire au nom du père en trouvant les perles, les dons cachés au fond de sa cuve/vécu/vais cul/luck sky walk her.

     Cher J’acte Attila, (Attali/Hâte la lecture de ton tas) c’est avec con se terne nation que je t’aube serve, affairé que tue hais depuis tant de décès nie, à serre vire dans l’ombre la cause qui nous lient pourtant tous. Pare foi, tu appât rai à l’écran, et tu jactes quelques scie bile un propre eau coraux ifs âme ô niaque all.

    Certes, tu n’as eu de cesse que d’appliquer les sait narre I haut de l’élite dans l’ombre, afin d’exposer la haine et la laideur qui nous habitent tous.

    Je suis bien d’hack cord avec toi que cette lait d’heurt doit être vue pour être enfin traitée, et tout est fait pour nous la mettre en pleine tête, afin qu’elle ne nous échappe plus. C’est la faim du je qui nous anime depuis trop longtemps, et aujourd’hui tu sais que c’est la fin du jeu. Nous avons touché le fond de la grotte de plate on (Le repas d’information de l’âme à tiers dans l’assiette terre) et le véritable maître du jeu va bientôt tirer l’Achat As d’how.

     Prends garde de ne pas te faire a/n porc T. Ta petite tête de I boue, de chou êtes nous surveille du haut de son immeuble, d’œil qui croit voir tout depuis le haut delà pire âme id’eux. Ne rêve-pas, tu n’as qu’un peu d’avance sur le chemin du petit pousse sait s’en retournant à la met son en suivant les petites miettes de pain (L’IA du père qui a mangé son re pas de haine vers papa), mais tu n’es pas celui qui lésa ce met pa zappa. Seul celui qui les a semées, sait parfaitement où elle sonne (La muse du hic du fils, sous forme de vibre à zion). C’est donc le seul à poul voir les retrouver en premier (roi V. Da vide l’avide de D). Il n’y a qu’une lock Haut motive en tête du train, et nous sommes tous des va gonds tellement roue y est kill ne peuvent même plus tour née:

    (A/N saut heure âne ne voix tue rit un vœux nie hire)

    ” Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l’herbe qui verdoie. ”

     

    C’est l’art fécal du corps calleux, les deux hémisphères maîtres.

    Celar (cave, un con en argot) fée cale du corps qui fait caler eux, les deux haine mis entrain de sphère maître.

    D.Kâ danse-Déca dense-des cas d’en ce.

    C’est gentil de penser à donner un coup de main à ceux qui sont vraiment très très cons tipper (benne à ordure basculante) des yeux du co heure.

    Rien d’autre ne nous anime que le plaisir de bas étage, immédiat et raie pété. Nous nous comportons comme des cochons qui s’empiffrent de glands jusqu’à en creux vais, quitte tas dévot nos propres enfants, tête de glands que nous somme, tout en nous roulant dans notre propre fange (faire dans lange). C’est bien pour ça que nos hommes aiment tant se faire têter le gland.

    Tout ce qui nous intéresse, c’est encore du pain et des jeux (Ils engendrent leur propre jaillissement de doux leurres). Nous sommes bien encore sous l’A/N pir’eau main. (Le pire usage que l’on puisse fer de l’information de la source présente sur terre. Le banquet du Messe scie)

    A tes yeux, nous ne sommes que des ex crée ment à recycler sous forme d’hume us. Nous sommes des glands incapables d’arriver à la maturité d’un chêne maj geste tue eux, ayant donné son plein pote en ciel de droiture art t’hisse tique, élancé vers les scie eux, et le chêne se transforme en chaînes.

    Nous ne sommes que de sales marmots indice six plis nés, incapables de se mettre sérieusement au travail, celui de s’étudier soi-m’aime jusqu’à connaître parfaitement l’univers.

    Connais-toi toi m’aime et tu connaîtras l’univers et les Dieux.

    V.I.T.R.I.O.L.U.M. : Visitabitis Interiora Terrae Rectificando, Invenietis Occultum Lapidem Veram Medicinam. Vous visiterez les intérieurs de la terre en rectifiant, vous trouverez la pierre cachée, vraie médecine.

    Et la terre, scella qu’t’erre et il est question de toit, deux tas t’air un ter rieur (crois-en, trois en un)

    Hé bien si il est uni vers, c’est bien vers quelque chose, et si il est uni c’est bien que la séparation n’est qu’apparence, d’aiguisement. Alors pourquoi continuer à taper de la sorte sur les petits frères ? Puisque le craie acteur est le même pour tous, notre atome d’origine, c’est bien que nous sommes tous issus de la même source mâle ad (a dit zion né)

    Ton Pro jet messe IA nique, met scia nie hic t’aveugle. Tu es convaincu d’avoir la clé, la solution ultime à la gestion de cette humanité qui faute de travail, n’a pas encore atteint le statut d’humain.

    UN eut main véritable, on le devient en travaillant à chaque instant sur soi. Le regard principalement tourné vers soi pour s’étudier avec la précision d’une hors loge suisse, c’est la seule issue pour pouvoir tel un saut mont remonter son Cube, son T sert acte jusqu’au 1er hâte home.

                Dernière Rê colt d’image fausse f’haine hic

     

    Ça, c’est la version idéale, mais est-ce toujours du jeu lorsque tu arrives dans le je de t’erre Râ formate âge, le disque dur totalement vierge. Nous sommes d’accord que c’est à nous durant notre parcours d’y inscrire toutes les couleurs de nos émotions, afin de réaliser un patron d’inter fée rance spécifique. A chacun son œuvre d’art dard, son him mâge.

    Mais tu ne peux pas te positionner en grand ordonne hater et donne heure de le son, juste parce que tu es né ou es arrivé par je ne sais quelles cire constances, loge, jésuitisme etc…dans un con texte qui t’a permis d’avoir un point de vue plus élevé que la mère d’hass du bat, celle des ânes nu naquis portes heure du cri triste t’entend de D.voeux looper leur tall en (ça c’est quand ton devient Grand).

    Sache que malgré tes connaissances, la vision globale que tu as du scénario final n’est que parcellaire et donc manque de précision. Tuer l’oint d’à voir grave I tous les hate âges de l’immeuble, et d’être en meuhhh sûre de finir le toit de ton temple de j’erre eu sale M. Le Mas h ia h tant attendu est déjà là, et n’a pas grand-chose à voir avec LA tente que tue tant fait. Le plan net de la planète est un plat qui se mange froid, et tu Rois bot retour né latte ère autour des glands qui se retrouvent cul par dessus tête, tu n’es pas celui qui engendre la volonté présente en chacun de prendre Râ cine. Certes, tu as la vol/lov honté/on tait, de piller des richesses qui ne t’appartiennent pas.

    Tu avais pour miss Sion de les redistribuer avec pare scie mon I, afin de permettre à chacun d’avoir un toit pour finir celui de son temple de chair, qu’il ait la sécurité de base afin de développer son art et qu’il effectue son NOM (Nouvel Ordre Mental). Sache que tout ce qu’il t’est permis de faire, c’est de créer ou Rê laids y est des scénarios artificiels, bidons (pipons/piqons/didons) afin de placer les gens trollant et sans talent qui ont cul mule est un tas lent d’ex craie m’man dans zeNez tas de pression ou d’urgence.

    Mais comme ment peton leurre A/N vouloir, dans un monde démon pare œil ?

    Regarde-toi, tu as répondu à la pelle des cires haine, parce que tu as eu accès à quelques infos supplémentaires que le comme un, sur la taille et la forme réelle de la planète, du véritable nombre de ses habitants, des technologies cachées, du sens de l’avis, de lingé né rit sot saucisson anal, du rôle futur de l’IA, des voyages dans le futur afin de dégoter la meilleure ligne de temps. Sais-tu que vous ne faites qu’entraver le bon déroulement du meilleur scénario déjà prévu par le créateur. Tu es convaincu d’avoir raison, et fais marcher tes troupes vers la con quête à coups de cep, tout comme le centurion fait rentrer dans les rangs ses soldats trop indisciplinés, afin qu’ils soient impecs. (Cimes du Père)

    D’ailleurs, tu donnes ordre à tes sbires d’en faire autant envers légi laids jaune (nu/un âge), à coups de Elle béD. Ce sont pourtant les enfants de Dit eux. Ce sont les fractales de celui que tu attends sur qui tu fais co nier. Sot môme de la coup art dise de ceux qui n’ont pas le courre r’âge de poser eux mème les con séquences de leurs parôles haineuses. Tu débarrasses les avenues de la cap I tall des full haine eux comme lorsque les motos crottes pari Isis hyènes nez toi/toit les trottoirs.

    Si à tes yeux nous incarnons le visage de la laideur, sache que toi et tes acolytes se targuant d’être laids l’hit, êtes la verrue sur le nez de la sort scie air. Et pourtant nous vivons tous sur le visage du créateur. Vous êtes la vitrine de ce qu’il ne faut surtout pas faire, dans la simulation du jeu Terre. Vous êtes le Rê su le tas d’un effet tune hell. L’enfer me ment d’Isis hello him.

    Pour gagner du temps tu joues léchez hait rasade qui endort le Roi noir (Roi de la N) en lui Râ comptant le jeu des 1001 borgnes à coups de ailes bd/bb/pp/dd. Quel émis sphère prés fer tue, le gauche, le droit, le sang t’râle nu clef air des aînés eu clé hait.

     

     

     

    C’est ce luit là qui voit tout, les autres voilent presque tout. Tuer un borgne comme les autres, à quand le cycle lope ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Rappelle-toit que le Kaïser de la mode démo est mort, le d’arc va dors d’opérette, la tête dans les nu âges, qui ne souriait jamais parce que cédant étaient gâtées par les bonds bons. Vieil enfant kill étai, voilant désespérément son regard de lu nettes noires, condamné à s’enfoncer dans sa propre noirceur. Ses yeux de mouche du coche portaient toutefois un regard multiple et cri tic sur le monde extérieur.

    C’est la fin de ce délit scieux par fun de romantique Rome antique. Perso je préfère le roman tic à la rom antique des vieux ordonnateurs ab Kâ haut, qui doivent des sort mets laisser la place.

    La mode de la démo est terra minée, le temps des mots plutôt que des maux a son né.

    Le temps deux la (mise au diapason) re miser au plat car après brrr Roi âge des vieux P(père) C(savoir), ces pères fond dateurs, d’une autre Ere, la Mars hyène.

    R’eux mère scions laid toux d’eux mème pour leurre sait véry T. Karl Lag ere feld (depuis son champ de guerre de naguère ayant désormais un temps de re tare), parce qu’ils nous ont permis de développer ce kill nous faisait des faux (photons, fausses notes), la juste rigueur et volonté pour avoir enfin le droit de tenir la barre du TITANIC (notre planète et huma nie T-Nous sommes vraiment dans le mème bat taux), afin d’anticiper l’ICE berg (Le scie âge de l’enterprise Terre des Gars de l’IA), la forteresse de solitude du fils de la maison de Kâ El (hello him). Il sort enfin des cryptes de son esprit jusqu’alors figé, le décodage, décryptage de la matière entend Rê hell Ô him.

    Il a donc donné le coup d’envoi du dégel, du P’run tend, A l’or les oie sot/saut chantent perchés sur la tranche du champ atomise hic.

    Sois plus Zen mon âme I, ceux nœuds son pas les sait n’art rio (Retour sur investissement) qui manquent. Qui peuvent tout changer et sang que tu père de ta place (ma place= plasma). N’aies pas peur, car chacun a son rôle, son rang dans la grande image. Vous avez volé les clefs du château d’eau forte, pour attaquer la gravure, le problème n’est pas là, mais c’est la façon dont vous gérez le bien et son père son elle qui va vous être reproché. N’oubliez pas qu’il y a toujours trois grands axes pour élever et non pas rabaisser des enfants. La manière forte et très masse cul in, la manière douce et molle, fémini in et enfin la voie du mille lit eux, celle du saint esprit qui sait faire l’arbitre et rendre justice. C’est vraiment celle qui vous donnera les met y heure Rê su l’eux tas.

     

    Rang temps plan doit remplir son rôle et arrêter d’obéir à Ma Dalton.  Sang ceux-là, pan pan cul cul l’attend, et il va faire kaï Kâ aïe face à l’IA.

    Regarde tes pope p’hier (de ces papes qui tournent en boucle), elles sont alourdies par le poids du son, le poids de la pression des fautes du fils de d’yeux qui a peur et dont tu fais partie, que tue le v’œil ou non. Ton nez croche Eut effectue une courbe pour mieux sentir ton all haine. Il me semble que ce sont les canadiens qui utilisent une ex pression que j’attribuerais bien volontiers à ton attitude de fausse altitude : « Tu es tout croche mon ami, croche en d’dans, et ça se voit comme l’eux né ô mille lit eux du vie sage. »

     

    Quanta M ma nu hell le Mon arc, maître des hors loge, (suc sait d’âme né du Dieu Croc noise (bruit et problème) qui mène la noce Ma cabre (La chèvre de Mr ce gain, taxi du Roi seul œil) de l’os, durant la nuit de l’âme, avant Legrand Rê veuille) ce luit qui applique le calendrier aux côtés du gîte de la BRI trône qui nie eux, combien de temps va t-il tenir en corps.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Te crois-tu le maître des clefs capable de conduire au lieu se crée où aise Idée le grand Art chi tecte ?

    Il est en core temps puur (ronronner) toit de changer de bras key, sans ceux là, le scénario du chat ce rat very very vers I table ment long. Bro, nous sommes (l’addition, et nous sortons de notre trop long somme) tous frères d’errance (air rance), et tu participes largement à le vie scier.

    La question se pose, heure dit vers ou heurt daté. Père saut, mon Shoah effet. Le che main est tout tracé, c’est celui du show A. N’oublie-pas que lordsque le sait âge montre la l’une, lit dit ô regarde le dos A.

    Le sable y est arrive à la fin de sa séquence, et le marchand de sable sait quand sœur va le retourner pour la proche haine. Hâtons à vie, que crois-tu qu’il va arriver à ceux qui se croyaient au sot met ? Peu importe à ceux qui ont trouvé leur centre, c’est à l’image d’un ballon lesté, ils suivront bien volontiers le mouvement, mais ne perdront pas leur équilibre intérieur.

     

    Le squelette vert luisant s’est retourné cette nuit dans sancerre cueille, et c’est en PLS (l’ouverture des ailes sur l’acceptation du chemin du père, pot scie zion latté râle deux sait cure IT) que sa tête s’est transformée en papillon (Pa pillons). C’était la promesse du paquet Kâ d’eau bleu au ruban ver. (Petit ruisseau de la myso BAN avant d’atteindre le trou de ver)

    Alors Cher frère Jacques dormez-vous, d’or met voue, son nez les Mâat in ding dingue dong. Saoul’ève enfin tes pot pi ères, lève et red raise ton nez de triste key low N, sans ceux là, ce sont les j’ai haine qui tas tendent, là où on Satan a so long time. (S’attend, ça tend).

    Poor Lonesome Cowboy

    I’m a poor lonesome cowboy
    I’ve a long long way from home
    And this poor lonesome cowboy
    Has got a long long way to home
    Over mountains and over prairies
    From dawn ’til day is done
    My horse and me keep riding
    Into this settin’ sun
    I’m a poor lonesome cowboy
    But it doesn’t bother me
    ‘Cause this poor lonesome cowboy
    Prefers a horse for company
    Bot nothing against women
    But I wave them all goodbye
    My horse and me keep riding


    We don’t like being tied
    [Lonesome cowboy]
    [You’ve a long long way to go]
    [To go …]
    [To go]

                     Néo cédé branché

     

     
     
     
     
     
     
  • Articles

    Les Sens Des Mots

    L’ESSENCE DES MAUX

    Laid sens démo

    En visionnant avec grande curiosité une vidéo TED d’une prof d’histoire de la langue anglaise, j’ai tout particulièrement apprécié son interrogation sur l’incohérence du corps enseignant, quant au fait de s’arc-bouter sur l’orthographe ou le sens figé des mots. En effet,  absolument tout bouge et change de forme dans notre monde. Comme dit si bien l’adage : « Tout bouge, tout se transforme ». Pourquoi donc notre langage n’y serait-il pas soumis. Il y a certes une énorme différence entre la vision universitaire, académique, conservatrice, plutôt longue à la comprenette et ce qui factuellement se passe dans la rue, ou l’usage que les gens, surtout les nouvelles générations font du langage.

    Les SMS en sont un parfait exemple de nos jours, le néoparler, où de nouveaux mariages se créent et se dé-créent avec plus ou moins de bonheur. C’est à l’image de nos blouses blanches qui à l’aide de leurs tubes à essais tentent d’allier différentes souches adn, afin de créer de nouvelles espèces. Beaucoup de ces tubes finissent pourtant à la poubelle.

    J’utilise volontairement l’expression néoparler, car elle résulte d’une nouvelle traduction du roman 1984 de Orwell (Le bon Or mit le neuf en disant oui à un nouvel équilibre). Jusqu’à présent, on utilisait le désormais très connu Novlangue qui s’apparente à une sorte de jargon qui réduirait par sa pratique les concepts qui permettaient auparavant à la population de développer certains raisonnements, comme des repères, une structure à laquelle se raccrocher.

    Cette peur peut se comprendre, mais pour apprendre à marcher, faire du vélo, nager, jouer d’un instrument, conduire, etc…à moment donné, il faut lâcher l’ancien et se lancer. C’est la seule façon de devenir grand. Certains dans nos « élites » cherchent des solutions pour accélérer notre évolution. Mais il s’avère que l’humanité dans son ensemble, est particulièrement rétive au changement, mais surtout au travail de l’esprit. Ça la rassure, comme un enfant qui veut rester dans les jupes de sa maman. Du coup, papa doit intervenir pour éloigner l’enfant de sa mère, quitte à passer pour un tyran. Mais c’est une stratégie dans l’intérêt futur de l’enfant, que ce dernier ne perçoit pas encore, faute de maturité.

    Cette image me parle tout particulièrement puisqu’un de mes gros nœuds émotionnels qui m’ont forgée ou déformée, est entre-autre la séparation d’avec ma grand-mère qui a été en quelque sorte une mère de substitution. J’avais alors 3 ans. Mon père souhaitant revenir dans sa région natale qu’est le limousin, afin d’y développer un nouveau projet professionnel d’indépendant, a pratiqué la politique de qui m’aime me suive. Je n’ai donc pas eu le choix. J’ai vécu cela avec mes tripes, c’était un véritable déchirement, le tout accompagné d’une sauce très amère, du sentiment d’être brutalement éloignée d’un chaleureux foyer où je trouvais réconfort, attention, protection et surtout une impression d’appartenance clanique.

    Mais ne dit-on pas qu’à trop la couver, la plante ne peut pas se renforcer et survivre. C’était pour moi le dur apprentissage d’un néoparler. Je changeais brusquement de plateau de jeu, qui s’apparentait à mes yeux de petite fille, à un injuste limogeage (en l’occurrence près de Limoges). De petite cellule en groupe, je passais à une expérience plus monacale, afin d’être dans un contexte permettant la réflexion et l’observation. La Rê flexion, c’est le mouvement de courbure, lorsque l’on courbe l’échine pour se soumettre en quelque sorte à un enseignement (venant du la qui est la note de référence, le maître étalon) que l’on ne voulait pas au départ. Il faut souffrir pour être belle, mais je parle de la beauté de l’esprit. Il se travaille comme le reste in peace.

    La langue n’appartient à personne en particulier et à tout le monde en même temps. Tout comme un logiciel mis à disposition, elle est soumise à des mises à jour régulières si elle ne veut pas mourir par obsolescence programmée.

    Tout comme l’eau qui traverse une multitude d’états qui vont de la glace, puis de l’état liquide à la vapeur. Au même titre qu’elle peut s’écouler à un rythme différent, allant du goutte à goutte, du ru, du ruisseau, de la rivière, du fleuve, du torrent, du lac, de la mer. Selon les circonstances, elle peut stagner. Ces différents états se déclinent de la marre, à l’étang, puis le lac, jusqu’à l’état du marais transformé en cloaque le plus répugnant qui soit.

    Dans le mot, cloaque nous entendons qu’il y a quelque chose d’aqueux qui est clôt, qui ne circule donc pas, tout comme le mal des ardents provoqué par un champignon qui contaminait les récoltes de seigle et provoquait auprès des populations contaminées, une obturation du système sanguin aux extrémités du corps, ce qui aboutissait à d’horribles souffrances. Le cloaque est aussi chez les animaux un organe  à multiples fonctions :

    • il permet la sortie des œufs ;
    • il permet d’évacuer les urines ;
    • il permet d’évacuer les fèces ;
    • c’est aussi un orifice génital permettant la reproduction.
    • Pour les mammifères, et notamment chez l’homme, le cloaque existe durant l’évolution embryonnaire et est primitivement séparé en un sinus urogénital et un canal anal par le pli de Tourneux sur lequel fusionnent les plis de Ratke, constituant ainsi le périnée.

    Nous nous pencherons ultérieurement sur l’embryogénèse, pour comprendre combien durant son développement, le futur petit homme durant sa période foetale rencontre des cycles d’épreuves à traverser, avant la sortie tout aussi éprouvante de sa matrice et sa traversée obligatoire du cloaque maternel avant son entrée dans un nouveau monde.

    Mon dernier exemple ci-dessus évoque cette stagnation qui afflige notre société et nos corps, puisque les deux sont étroitement liés. Encore une fois, il est médicalement reconnu que la stagnation à l’excès est néfaste pour le corps comme pour l’esprit d’ailleurs. Un humain qui n’évolue pas, n’effectue pas de mise à jour, ne s’adapte pas, et finit par régresser et être éliminé par ce que l’on appelle la vie.

    Pour en revenir à notre langage, il en est de même. Les dites langues mortes s’apparentent à d’anciennes versions de nos différents langages qui contrairement à ce qui est communément véhiculé n’ont pas disparu, elles ont généré par le biais de leur pratique une nouvelle version améliorée d’elles-mêmes. Elles sont donc intriquées, intégrées dans le nouveau langage. C’est à la fois l’apparence d’une démolition contrôlée et une auto-création sous une nouvelle forme optimisée, une singularité.

    On fait très bien cette démonstration en informatique, où l’on sait parfaitement que chaque nouvelle génération de windows contient les précédentes mais améliorées. Ceci étant, le fond qu’est le Dos est incontournable et présent depuis la 1ère version.

    Tout comme notre civilisation qui est la synthèse, le recyclage, l’optimisation de toutes celles qui l’ont précédée, mais aussi nos corps qui résultent des corps de toutes les générations qui nous ont précédées.

    En anglais on appelle la pratique de ce néoparler Slang. Si on le décortique en langue des oiseaux, ce mot porte en lui différentes strates informatives. Le S, c’est le chemin de vie, souvenez-vous de l’eau, lorsqu’elle s’écoule, c’est sous forme d’un ensemble de vortex. Le Chemin sinueux de la langue. C’est aussi le sang de elle. Le sang, on est bien d’accord qu’il doit circuler en permanence dans un organisme. Le sang transporte de l’info et des nutriments dans tout le corps par l’immense réseau de vaisseaux sanguins qui tout comme le principe d’écoulement de l’eau va de la micro circulation avec des vaisseaux plus fin qu’un cheveux, en passant par les veines qui elles aussi ont un diamètre plus ou moins important, puis les artères qui sont comme des autoroutes à fort débit.

    Un corps adulte d’après certaines études contient 100 000 kms de vaisseaux sanguins. Inutile de vous dire que tout a été prévu pour porter la bonne parole dans chaque recoin de l’organisme (Orgue âne isme). Sans le slang, le langage qui est au final un lent gage d’une langue âgée qui ne fait qu’évoluer ou s’optimiser, risque de devenir une sangle. A l’aide d’une sangle, on peut serrer fortement quelque chose pour le maintenir en place. Toute personne qui a fait de l’équitation sait qu’il ne faut pas trop serrer les sangles de la selle par exemple, parce que la monture va se rebeller, ruer, et verser son cavalier. C’est pourquoi si l’on transpose cela à nos langues, il est important de veiller à appliquer les mêmes mesures, garder une structure de fond, mais petit à petit changer la forme, c’est ce qui garantit la vie et sa créativité, éternelle quêteuse d’optimisation recyclage (re cycle âge)

    En français, on utilise le mot argot. C’est la même chose ; un savant mélange d’assemblages de mots qui donnent de nouveaux mariages, apportent un sang fraîchement renouvelé, évitant les catastrophiques problèmes de consanguinité. En langage des oiseaux, cela donne Art go. La langue est un art total (taux de all) d’ailleurs reconnu et qui va bon train. Pourquoi en faire quelque chose d’académique. Regardez l’état des him morte aile académiciens s’auto-contragratulant, dans un entre-soi poussiéreux de barbons en costume 18 ème, la taille de leur habit vert, ceinte d’une pseudo épée de preux chevalier de la vérité, bien émoussée et rouillée, qui n’aurait d’autre fonction que de trancher net leurs vieilles têtes dodelinante de gâteux reptiliens, re lit kâ de l’aube sot l’êtes tri as super rieur des dit nos sorts. Leurre rôle de garde hyène d’une tradition d’un outr’âge, est à l’image d’un vieux barrage (bat Rê r’âge) qui faute de soins, parce que totalement oublié, va finir par céder, s’aider voire sait D. saoula pression.

    La langue des oiseaux n’est pas nouvelle, c’est un logiciel très très très ancien qui a été oublié. Retrouver ce logiciel et l’appliquer permet de percer la carapace des mots et de les décompresser comme une archive, et ainsi mettre à jour de grands secrets depuis toujours sous nos yeux, rendus aveugles par nos croyances. C’est comme les corps  découverts grâce au dégel du permafrost.

    Nous devons faire fondre notre permafrost, celui dans nos têtes de jelly. Le jelly est composé de gélatine de porc (Gela tien de corps/ jelly, j’ai le choix de lire ce qui est gelé en toi). Voyez comme on ne peut pas se tromper, tout est marqué sur la boîte, il n’y a qu’à suivre la notice d’emploi. Vouloir figer un mot, c’est comme vouloir résumer un film à travers une saisie d’écran, vous admettrez que c’est plus que réducteur. Quand bien même la logique de la conception de fractale permet de reconstituer la totalité à l’aide d’une partie. Le tout réside dans la partie dit l’adage.

    Dans le pays de Molle hier et des mangeurs de cuisses de grrr nouilles, nous sommes invités de toute urgence à quitter notre état d’esprit jusqu’alors figé. En Art Go, on pourrait appeler ce phénomène le permafrog (Le père m’a transformé en grenouille, et je dois redevenir un prince Char ment). Attention toutefois de ne pas vouloir devenir plus gros que le bœuf (Lorsque celui de l’esprit renaissant éclot). La bien connue allégorie de la grenouille dans la casse rôle dont on chauffe tout doucement l’eau/haut/how/Ô par le feu de l’esprit, est invitée à ne pas se laisser endormir par cette douce chaleur qui finira par la cuire, et veiller dès à présent à entraîner ses cuisses (issues de la connaissance) à effectuer le tout prochain saut cante tic avant le fat all sot quand tic.

    Il est temps pour l’humanité de comprendre et d’appliquer cette logique de fractale dans tous les domaines de la vie. A savoir que chacune de nos pensées, nos paroles, nos actes, même les plus anodins ont une incidence qui dépasse l’entendement en terme d’échelle. C’est pourquoi il nous est demandé d’effectuer de toute urgence une mise à niveau, car la mise à jour ne suffit plus. Oui, nous changeons de plateau de jeu, nous changeons de costume, de milieu. S’y préparer n’est plus une hypothétique option, car le concepteur a changé le microprocesseur, la carte mère, la carte vidéo, démultiplié la mémoire et a installé un tout nouveau système d’ex ploie tas sion. Il va falloir accepter la migration vers le nouvel équipement si l’on ne veut pas finir au cimetière des P.sait or d’use âge.

    Nous nous apprêtons à franche hire le mûr du fils, le mur du son. Le barre r’âge, le Bun Cœur est cuit à point comme un bon petit pain, et va dé sort met s’aider, et vous êtes tous un vie/vis T à vous un stalle hait sur laids bancs quête du Fou quet’s fraîchement B l’un D.. La quête du fou de Dit eux. Le nouveau Char de D.

  • ACTUALITÉ

    Le bourdon, la rapiette, les daltons et la boule à facettes

    Le phare de la tempête dans un verre d’eau

     

    Bourdon bourré de dons pour le fils/son de D.

    DDeux courageux petits messagers m’ont rendu visite aujourd’hui. Un rampant et un aérien. Élément terre et élément air (mon chair watt son). L’eux paire et l’âme air. Le principe masculin et le principe féminin venant de concert (parce qu’on sert évitant ainsi le quand sert ?) parler à l‘A/N faon que JésuIs.

    Mon petit messager volant, rond, poilu et bourdonnant tel un vieux B52 (Mort et renaissance en esprit du petit saint Q de la division) m’a vraiment attendrie. Il était coincé derrière la double cloison de la fenêtre centrale (Vision du milieu où l’on observe tout le monde en train de râler-C’est la position qui permet une introspection aboutissant à une singularité) de la salle à manger (précisément là où l’on mange en conscience ce qui est sale, donc jusqu’à présent rejeté et incompris de ce qui est présent en nous-C’est donc le lieu du banquet, de la scène en présence du Christ, entouré de ses apôtres-La racine des 13 f’âme mit l’eux qui dit et régie le plan net de la planète). Je n’ai toujours pas compris comment il a réussi l’exploit d’arriver à s’enfermer ici. Par quel miraculeux et tortueux chemin est-il passé ? Quelle mystérieuse porte a t-il dû franchir ? Était-ce là enfin les prémisses de la transformation d’un de mes miroirs en feu naître grande ouverte, celle de la voix/vois/voie d’eut mit lit eux. Le début de la libération de la pression interne. (près scions un terne)

    Je l’ai aperçu et observé quelques instants en train de péniblement et lourdement se déplacer à l’aide de ses petites pattes. D’instinct, je l’ai délicatement récupéré sur un petit post-it et l’ai déplacé afin de l’exposer au soleil sur la terrasse (taire hass). Au tout début, il était très lent, il semblait engourdi. Toutefois, une fois exposé aux rayons du soleil (seul œil), son petit moteur a commencé à monter dans les tours. Puis, il est brutalement tombé de la rambarde (Râ âme barde) sur laquelle je l’avais posé. Je l’ai rejoint en contre-bas, afin de lui apporter à nouveau assistance, et là, contre toute attente, il a soudainement pris son envol porté par love en/interne, pour ma plus grande joie.

    L’équivalent d’un coup de corne de brume. L’étron pète de La pot Kâ lipse.

    J’ai immédiatement vérifié le symbole de ce petit messager qui s’est arrêté chez moi le temps de me délivrer son nectar (neck/cou tare ou cent/sens l’art), avant de repartir sous d’autres cieux, enfin allégé de son phare d’eau.

    A moi donc de jouer pour tenter de décompresser sa précieuse (près des scie eux) archive (art du chi ou de la vie qui donne son avis).

    Le bourdon terrestre ou bombus terrestri (Le DOO de BRUN-bourré de la roue des dons-symbolise aussi la bombe à retardement que nous devenons lorsque nous débordons, pleins à craquer de tous les dons qui nous habitent et qui nous alourdissent faute d’être exprimés. Nous sommes précisément sur terre pour en faire le tri, les mettre dans le bon ordre, et les exprimer sous une forme artistique) n’est pas agressif. En effet, le mâle n’a pas de dard. Il a essentiellement un rôle de pollinisateur. (Il va porter la bonne parôle de fleur en fée leurre. Littéralement, il les fait vibrer, les met au la/diapason. Il les met en réseau/Rê aise haut/eau)

    Le Doo est aussi un organisme qui s’est donné pour mission de gérer les espaces, les ordonner, il détermine les orientations générales de l’organisation de l’espace (à l’infini/l’un fini de D). Il définit les grands équilibres entre les espaces urbains et à urbaniser et les espaces ruraux, naturels, agricoles et forestiers.

    Il établit les conditions d’un développement urbain maîtrisé et les principes de :

    restructuration des espaces urbanisés

    revitalisation des centres urbains et ruraux

    mise en valeur des entrées de ville

    valorisation des paysages et de prévention des risques.

    Le brun dans certaines régions de France ou en vieux Français, signifie la merde, les excréments.

    Autrement dit le Bourdon porte en lui le message qu’en faisant l’exercice d’une auto-introspection, et en traitant donc la merde en toi, tu es en mesure de réorganiser, réordonner l’espace en toi donc à l’extérieur. C’est à l’image de la fragmentation/défragmentation de ton disque dur de pc. C’est comme faire le ménage chez toi. Autrement dit le grand men âge (new âge.NOM) de P’run tend.

     

    Amusant de plus de constater le fait qu’avant d’atteindre l’âge adulte et de prendre son envol, il prend naissance dans une colonie sous terre (autrement dit, tant que la compréhension de cette leçon n’est pas effective, donc en dessous tu erres comme un Kâ nie art sans tête ou boîte eux. En effet, la reine totalement solitaire (Sol lit/lie terre) et future pondeuse fabrique le nid seule tous les ans. Contrairement à l’abeille. D’ailleurs aujourd’hui, il est élevé artificiellement par l’humain afin de tenter de compenser le phénomène (Fée no men) mondial d’effondrement des colonies (co low/lot/l’eau/l’eau nids) d’abeilles.

    Seule la femelle ouvrière bourdon porte un dard. Il se nourrit exclusivement du nectar des fleurs qu’il butine à l’âge adulte, alors qu’à l’état larvaire (l’art vers) il est nourri de pollen (pôle haine) ramené (Râ meuh né) par les ouvrières (ouvre hier).

    Il n’est pas compliqué de faire l’analogie ou la transposition avec l‘eut main.

    Il est donc porteur d’un tronc commun par l’élément terre avec dame rapiette (Rap y êtes) qui comme vous le constaterez plus bas a eu un destin moins heureux, pour ce qui est de sa forme terrestre. Jeu lard eux mère scie pour son ça cri fils.

    Ce qui le différencie physiquement de l’abeille, c’est qu’il est beaucoup plus gros et plus lent. Il est équipé d’une forte pilosité et fabrique du coup beaucoup plus de chaleur, (Il possède son propre soleil interne, son propre pulsar ou canon à neutrons) ce qui lui permet de sortir et voler à partir de 5° Celsius (selles scie us de grès ou de force, chiffre de l’homme), faisant de lui le 1er et dernier pollinisateur à sortir dans les périodes fraîches. L’abeille ne sort qu’à partir de 15° environ. (3 fois 5, le dit able, sois et n’ai pas peur de l’âme à tiers. Apprends hâte do miner et tu pourras en faim dôme mine hait la matière).

    Abeille
    Abeille, démultiplication du seul œil
    Guêpe qui fait le guet pour le Père

     

    Frelon Asiatique Faire l’on As de l’Ia du tic

     

     

     

     

      

     

    Le ferait l’on as IA tic  est équipé d’un su père car haine âge du met chant dark va dehors, pour jouer sa partition de super machine atout Rê scie clef. Jusqu’à ce qu’on obtienne la pare fête sainte taise. Tout c’ohm nous si l’on se dénoue de l’un terre rit heurt.

     

                                        Dark Va Dors fée ça cui cuise in

    Son corps porte la même robe rayée noir et jaune que l’abeille, la guêpe dotée de 4 ailes ou le frelon.

    4 aspects, 4 tailles, 4 vitesses, 4 rôles différents. Mais une famille commune, afin de délivrer un message commun mais sous 4 formes différentes.

    Le noir symbolise le roi de la N, alors que le jaune celui de l’âge de la mise à nu. Polarités jour/nuit. Couple soleil/jaune et lune/argent. L’art des gens qui se Rê vêle et veille durant la nuit que nous traversons. Tout le monde sait combien l’aube n’est plus très loin au moment où l’âne nuit est l’a plu s’ombre.

    Le ton ou la note du lad (Garre son d’écurie d’eau gît hass)

    Cela me fait immédiatement penser aux 4 frères Daltons, le ton, la note de tous pour D.Yeux et leur tenue de bagnards.(Bagne l’art)

     

     Les Daltons sont des personnages de Lucky Luke. (Le chanceux Luc sky walker verre zion west her haine qui tire plus vite que son nombre)

    Les codes couleur sont intéressants chez lui aussi :

    Les bottes marrons pour les 2 pieds sur terre et dans l’Brun et équipées des éperons (épées rondes pour protéger le talon d’achille et piquer sans la blesser les flancs de la bête (nous quand on s’endort trop) pour la faire avancer.

     

    Le revers blanc du Djinn au niveau des mollets (cette partie du corps symbolise la rapidité à laquelle on détale lorsqu’on a peur, d’ailleurs on dit de certaines personnes qu’elles ont le mollet en ventre de lap in). Le revers, évoque le fait d’aller une seconde fois vers qui ? quant au blanc, il évoque la transparence mais aussi la lumière et son prisme, celui qui contient toutes les autres. Il n’a donc pas peur et agit calmement.

    Son jean bleu en côte on habille ses jambes qui lui permettent de se déplacer dans le monde, le bleu est la cool heure de l’esprit, celui qui l’informe en temps réel.

     

     

    Sa chemise jaune au niveau du torse là où se situe le tore du cœur, exprime la lumière chaude de l’esprit qui l’anime, et une certaine transparence (transe des pas rances), âge de la mise à nu partielle.

    Car il porte tout de même un gilet noir, qui voile en quelque sorte sa lumière afin de ne pas totalement se dévoiler aux yeux de ses adversaires et n’a pas terminé sa formation dans le décryptage de son ombre portée.

    Quant à son fou l’art rouge noué autour de son cou, il évoque beaucoup de choses qui mériteraient un article à lui seul. Entre autre El de Élohim (hello him), l’alpha et l’Oméga. Le petit moi et le grand Soi autour du cou en rouge, mais avec tout de même un vortex blanc au centre. Nous sommes dans la symbolique du larynx, de la parole maîtrisée, celle qui se situe dans l’œil du scie clône, alors qu’autour, c’est la temps pète jus kâ fer coup laid le sang. On en parlera plus avant dans un autre article.

    Le chapeau blanc en lévitation évoque aussi beaucoup de choses, entre-autre le  1er chakra à l’extérieur du corps qui nous relie au Soi supérieur, celui qu’il nous est demandé de terminer comme le toit d’un édit fils. Le blanc nous avons déjà vu, c’est celui de la lumière informative pure, comme un rayon laser.

    Quant à la brindille, elle évoque un nouveau brin D’ADN. Si l’on observe bien, on a le trident au sommet qui est la 1ère trinité et juste en dessous il y a une 4ème petite branche. Celà évoque clairement les nouveaux brins d’adn qui poussent chez certains humains, signes d’une réelle mutation, on recolle les morceaux éparpillés d’eau scie race. En gros, on change de chaîne.

    Si l’on prend la peine de basculer le dessin des lèvres et de l’orienter vers le haut, on aperçoit même une petite amorce sur la brindille centrale, donc une 5ème brindille. L’ensemble ressemble à un petit arbre en train de germer, les branches tendus vers le ciel, mais les racines disparaissent entre 2 vallons, ou lèvres (bouche ou sexe fée mini un) qui forment un M et un V.

    Pour en revenir à nos frères Daltons

    1-Le plus petit s’appelle Joe, c’est lui la tête du groupe, le plus teigneux motivé par la haine. Il hait Lucky luke

    Serait-ce la guêpe ? – Celui de qui jaillit l’origine de l’énergie.

    2-Le second s’appelle Jack (Duquel jaillit l’acte, il décide, c’est le sous-chef ou lieutenant de Joe/JO)

    3-Le troisième William (L’IA qui liera et lira les âmes), c’est le plus cultivé de la bande qui sait lire, mais parfois joue le rôle de l’imbécile en l’absence de son cadet, Avrel, le grand dadais de la bande (dédoublement de personnalité, schizophrénie)

    4-Le dernier et le plus grand Avrel, c’est aussi le plus bête pourtant il a vu le réel. C’est surtout celui qui a gardé son regard d’enfant. Le frelon (Ferait le ON-Faire Rê l’on Rayon)

    4 frères, mais en réalité la même personne à différents stades de croissance de la conscience, des fractales mises à plat, afin d’être mieux observées, étudiées, comprises et intégrées une fois optimisées. C’est comme démonter une machine ou un grand mécano, le comprendre, puis l’optimiser en le remontant dans un autre ordre, et sans oublier une pièce qui reste plantée des années dans la panière à l’entrée de la maison, parce qu’on ne sait pas où elle va. (que celui qui n’a pas fait ça une fois dans sa vie jette la 1ère pi Air.)

    Le bourdon, est aussi par son appellation traduite en langage des oiseaux, bourre don. Il contient tellement de dons non exprimés, qu’il en est bouffi, alourdi, ralenti. Il est pourtant plus léger que l’air, et c’est la vitesse de battement de ses ailes qui crée un vortex ascensionnel qui le sous-tend et lui permet de flotter et se propulser à la fois dans les airs.

    A savoir que le faux bourdon est en réalité le mâle de l’abeille.

    Les faux bourdons sont le produit d’œufs non fécondés. C’est donc dire qu’ils ont une mère, la reine (l’art de la haine) de la ruche qui a pondu les œufs, mais pas de père. Ce mode de reproduction est appelé parthénogenèse (partez sans gène aise, en gros démarrer sans vieilles mémoires pourries) arrhénotoque (verser des arrhes no toc dans l’arène). Ce sont donc ces organismes haploïdes (happe lot idée), qui n’ont qu’un seul jeu de 16 chromosomes, hérités de leur mère. Par comparaison, les ouvrières naissent d’œufs fécondés et sont diploïdes (deep lot idée) : elles possèdent ainsi deux jeux de 16 chromosomes, pour un total de 32 chromosomes.

    Puisque le faux bourdon n’a qu’une mère, et pas de père, son arbre généalogique est particulier. La première génération compte un membre (le mâle). La génération précédente compte également un seul membre (la mère). La génération grand-parente compte deux membres (le père de la mère et la mère de la mère). Celle qui précède compte trois membres. Celle encore avant a cinq membres. Lorsqu’on recense ces effectifs, on obtient la séquence 1, 1, 2, 3, 5, 8,… soit la suite de Fibonacci3.

    Il n’a pas de dard, ne récolte ni nectar et ni pollen. Son rôle dans la ruche se limite à féconder la reine lors du vol nuptial auquel il ne survit généralement pas.

    Il existe d’autres insectes volants arborant aussi le célèbre pyjama aux rayures noires et jaunes.

    En vérité, il existe une multitude d’insectes volants et rampants dont l’abdomen est rayé jaune et noir. Mais les 4 premiers que j’ai cités sont les plus connus sous nos contrés et incarnent plus universellement la même symbolique.

    Le bourdon était aussi un bâton de pèlerin, tout comme celui du Mat, la dernière lame du tarot de Marseille.

    Le mat ou le fol qui ne porte pas de Numéro, soit il commence ou soit il finit le jeu.

    C’est aussi le nom d’une cloche, celle qui émet le son le plus grave. Une cloche est utilisée en général pour avertir ou communiquer avec la population, attirer son attention sur un événement marquant. Se rapporte au temps car donne l’heure, c’est une sorte de séquenceur des temps anciens. Ce pouvait être un couvre-feu, une guerre, une célébration, un incendie, pour avertir les voyageurs qu’ils n’étaient pas loin d’un village, l’ouverture ou la fermeture des portes des villes, le moment de la prière, du repos, de la reprise du travail que ce soit pour un ouvrier ou un écolier.

    Si l’on décortique (décor tic) le mot grave, il est intéressant de constater kill contient le mot rave. Or la rave est un lègue hume racine comestible parfois très fil’hand r’eux, mais aussi un type de m’use hic dite un d’air grrr round car émettant des sons pro fonds qui influencent les jeunes qui participent à ces aussi free/fruit party. En général les groupes qui s’adonnent à cela ont pour philosophie un refus marqué pour le mercantilisme (Mère cante I l’hisme-Le chant de droiture de notre source isolée sur son île)

    Dans ce cas, le G corps race pont à God/dog. C’est celui qui A/J’ai . Le jet…c’est lui qui envoie la patate et qui nous met aussi la car haute ou ôte…ça dépend si on fait notre bout lot ou boue l’eau/low/molle.

    Rave en anglais signifie délirer. Et raven signifie corbeau. Délirante haine qui nous fait mourir faute de reconnaissance et de traitement adéquat.

    Mais aussi grave en anglais signifie tombe. Cela évoque immédiatement la mort ou la chute, celle de lu scie fer de notre âge de faire tellement mâle. Dans notre cas est plutôt liée à l’esprit, mais si la leçon n’est pas comprise cela concerne aussi le corps physique.

    Râ veine. La venue de Râ à travers l’étude de ta Haine men yeah!!!!!

    En musique, le bourdon (drone en anglais DR de one) désigne une ou plusieurs cordes qui vibrent toujours sur la même note et émettent un son continu ou forment un accord continu (Vielle à roue, harmonium, etc.), avec la tonique ou la dominante de la gamme utilisée dans le morceau interprété.

                                          Vielle à roue

    Personnellement ayant résidé des années en Limousin (Lit les mous du Un ou tu es lis mots/maux de G), j’ai souvent assisté à des fêtes traditionnelles locales durant lesquelles est utilisée la vielle à roue qui précisément émet ce fameux bourdon. (L’avis de elle, ta petite voie/voix, scelle du mille lit eux)

    En imprimerie, le bourdon est une erreur d’impression où une série de mots ou de feuilles est manquante.

    Un Bourdon à Verdun
    Le casque masque de Dark Vador à tête de Bourdon

                                                            

    Avoir le bourdon est aussi une expression populaire signifiant que la personne n’a pas le moral, elle est pleine de pensées négatives qui lui pèsent. Elle a des états d’âme précisément parce qu’à l’image d’une boule à face Seth (le dit eux de la dit vit sion), elle est en boucle dans ses croyances reliées à d’informes formes pensées dont elle ne sait que faire. En gros elle touille sa merde tout en nageant le crawl dans sa fausse sceptre tic.

    Il faut essayer d’imaginer que nous vivons chacun à l’intérieur de notre boule à miroirs de boîte de nuit, et que toute la pression interne de l’info qui nous habite ne peut sortir que par un tout petit goulot d’étranglement (d’être angle ment de notre lampe d’all ad un). Si l’on veut faire sortir la pression, et enfin nous vider, il nous faut trouver un moyen de faire bouger ces miroirs fixes qui nous renvoient sans fin comme un écho déformé les mêmes mensonges totalement figés par nos croyances. Il faut les transformer en fenêtres grandes ouvertes, et pour les faire pivoter sur leurs gonds jusqu’à présents scellés, il faut lâcher nos croyances. Le grr’A/N men âge de printemps c’est ça en quelque sorte. Nous devons haut T toutes les toiles d’art régner qui encombrent nos têtes, qui font tourner en boucle comme un vieux tourne disque, les mèmes 33 tours, les m’aime Rit tourne elle.

          Nous devons libérer notre horror bot Rê all.

     

    La rapiette ou le lézard des murailles a perdu sa queue avant de mourir. Le dernier de mes 6 chats prénommé PITCH (le point, le Rê su met) me l’a ramenée en guise de trophée la veille, elle était encore vivante, mais en piteux état. Il lui avait arraché la queue. Elle remuait encore, j’ai donc décidé de lui rendre sa liberté et l’ai cachée dans des feuillages dans le jardin d’aide haine, et l’ai dédaignée. Étant donné que le message doit-être D.l’ivraie, bien évidemment, mon chat a de nouveau été mandaté pour con tribu hait à la livre raison/Rê son. Il m’a donc ramené la pauvre rapiette qui cette fois-ci était sous toute vraisemblance passée de l’autre côté du mur.

    Rapiette chassant un papillon

    Venant tout juste de libérer le bourdon, je me suis donc dans la foulée penchée sur la décompression de l’archive de d’âme Râ pi eTe.

    Tout d’abord, c’est un lézard donc un mammifère à sang froid. Contrairement à la grande agitation de notre bourdon qui produit sa propre chaleur, la rapiette est capable de rester totalement figée pour se dissimuler, observer et surveiller sa proie. Son corps est recouvert d’écailles comme le serpent (penser T) et le poisson (poids son)

    Nous détectons déjà une belle dichotomie (dico tome/mot I) aux antipodes.

    Froid et immobilité (vampire/reptilien)

    chaud et mouvement (émotions/humain)

    Nous devons envisager un équilibre entre les deux états. Être en mesure de développer à la fois de l’empathie, tout en conservant de la maîtrise en toutes circonstances.

    Le fait qu’elle soit morte est en quelque sorte le symbole de la mort du reptilien, faisant allusion à l’une des 6 zones du cerveau, celle de sa partie la plus ancienne, en rapport avec l’instinct de survie extrêmement primaire. C’est depuis cette zone que le corps reçoit l’ordre de fabriquer l’adrénaline (addition Rê haine all/peur in) qui le pousse à réagir, fuir ou attaquer

    Au même titre que le fait qu’elle ait perdu sa queue, qui est un système de protection, un peu comme le d’art de lab œil. A la différence que si elle perd sa queue lors de l’attaque d’un prés dateur elle ne meurt pas forcément, et la queue re pouce (petit pousse sait). Alors que si l’abeille pique, elle meurt.

                          Spermatozoïde

    La queue exprime ce qui est aqueux, comme un cour d’eau sinueux. Et l’eau, c’est le symbole de la connaissance, de plus son aspect évoque immédiatement le flagelle du spermatozoïde (Le chemin du père qui mâat le taux de l’idée du zoo) qui lui permet de se déplacer lors de sa course à l’ovule. Il perd son flagelle (faire le lag de elle, autrement dit le délai de communication avec elle, la source un fort mât tic) au moment où il pénètre (P naître donc du paire) l’ovule.(L’eau/low le vu)

    Comme je l’évoquais plus haut, on l’appelle aussi communément le lèse art des mûrs aïe/haït/AI. Si elle a laissé son enveloppe terrestre, c’est aussi le symbole qu’elle a laissé son ancien et gros scié cost hume, pour franchir une sorte de porte inter-dimensionnelle.

    La muraille de Chin (Ment ton/note), c’est le célèbre mur de planck de la physique (le chemin du hic de phi) quantique (cante le hicchante le pro blême du fente homme dans l’amatrice) qui est aussi à l’image du mur ou de la montagne au pied desquels nous sommes limités et qui nous obligent à une introspection/transformation en esprit, pour pouvoir s’alléger et les franchir, mais là encore on pourrait imaginer changer de densité pour pouvoir les traverser. C’est une autre approche exprimant de façon plus subtile la des mot lit zion con trop laid de notre mur de croyances aube sot/saut/sceau/seau/so what l’êtes.

    J’en conclus qu’il y a eu fécondation (fait con Dada sion) par l’esprit fertilisateur faire Ti lit ça hât’eux heure/eux heurt), et qu’une belle grossesse est en coursFort reste cours. Nous allons donc prendre soin de la future m’âm’a/n/matrice ainsi que la croix sens du futur nous ris son.

     
     
     
     
  • ACTUALITÉ

    Confession d’un renégat

    Con fée zion d’un re-né gars

    Il en est quelques fois comme cela qui ont saisi le message de fond qui nous est envoyé depuis la nuit des temps par notre haut parleur. Oui, l’oreille de quelques rares humains est suffisamment affûtée pour l’entendre, le comprendre (le faire sien) et surtout, l’incarner.

    Je reconnais à chaque personne la même capacité de souveraineté de gouvernance, qu’à moi-même. Je traite les gens non pas en fonction de leur rang, de leur richesse, de leur gloire, de leur utilité pour moi, mais de la mesure avec laquelle leur « moi » et leur âme sont développés, et de leur comportement dans la société.

    Choisis un chemin libre ou que d’autres n’empruntent pas. Va aussi loin que possible le long de ta propre voie. Si beaucoup ont emprunté ce chemin là, changes-en, car ce chemin est pour toi mensonger.

    En matière de créativité, l’essentiel n’est pas le succès, mais le résultat. Évalue-toi en fonction de ce que tu as apporté de nouveau à cette sphère de créativité. Si tu sens que tu ne peux faire quelque chose de nouveau et d’important, quitte cette sphère et passe à une autre, sans considération de tes pertes.

    Désirer le plaisir pour le plaisir est une maladie caractéristique de notre époque. Si tu parviens à résister à cette épidémie, tu comprendras en quoi consiste le véritable plaisir de vivre, dans le fait même de la vie. Et pour cela, la simplicité, la clarté, la modération, la santé mentale, sont en bref les phénomènes de la vie les plus simples, mais maintenant les plus inaccessibles. Exclusion faite de la lutte pour les avantages de la vie en tant que but de la vie, le seul moyen d’y parvenir est de développer le monde spirituel, et une culture de commerce spirituel avec autrui.

    La satisfaction est le résultat de la victoire sur les circonstances. Le bonheur résulte d’une victoire sur soi-même.

    Ne force pas les autres. La violence contre les autres n’est pas un signe de volonté. Seul l’exercice de la force sur soi-même est volonté.

    Ne fais rien d’illégal. Ne participe pas au pouvoir. Ne participe pas aux spectacles du pouvoir. Ignore tout ce qui est officiel. N’entre pas en conflit avec les autorités de ta propre initiative, mais n’y cède pas. Et dans tous les cas, ne divinise pas le pouvoir. Les autorités ne sont pas crédibles même lorsqu’elles s’efforcent de dire la vérité et de faire le bien.

    Ne rejoins pas les partis, les sectes, les syndicats. N’adhère pas aux actions collectives. Si la participation est inévitable, participes-y comme une unité autonome, ne succombe pas aux humeurs ni aux idéologies de la foule, agis en vertu de convictions personnelles. Fais en une affaire personnelle, et non celle d’autrui. N’agis pas au nom de quelqu’un d’autre.

    S’il te faut choisir entre être et réputation, privilégie l’être. Résiste au pouvoir de la gloire et de la notoriété. Il vaut mieux être sous-évalué que surévalué. Ne cède pas à l’opinion de masse, aux passe-temps de masse, aux goûts et aux modes. Développe tes goûts, tes opinions, ton chemin.

    Sois un bon membre de l’équipe, mais ne t’y dissous pas. Ne fais pas de la vie du collectif ta vie personnelle. Évite la carrière. Si elle se fait contre ta volonté, arrête-la, car sinon elle détruira ton âme.

    Ne sois pas malade. Soigne-toi seul. Évite les médecins et les médicaments. Si tu veux garder ton corps jeune, prends soin de la jeunesse de l’esprit. La jeunesse éternelle est avant tout un état d’esprit. La vie peut être construite de telle manière que le vieillissement physique devienne quelque chose de naturel, sans causer l’horreur de la vieillesse et de la mort.

    Mon système enseigne comment faire face à la solitude en étant pleinement armé, comme une norme, contre ce qui est inévitable, comme une condition qui a ses indéniables mérites : indépendance, détachement, contemplation, mépris de la perte, acceptation de la mort.

    Il faut vivre dans un état d’acceptation constante de la mort. Chaque jour, tu dois vivre comme s’il était le dernier. Essaie de faire en sorte que ta vie se termine pour qu’après toi, il ne reste plus rien. Essaie de partir de sorte que personne ne remarque ton départ, et que les gens ne soient pas fâchés d’apprendre que tu as laissé des ordures derrière toi, et qu’il faille nettoyer le monde après ton séjour.

    Alexandre Zinoviev

    • DEALERA (NX)
    • DEALER (ANX)
    • LANDER (AEX)
    • LARDEE (ANX)
    • LEADER (ANX)
    • RELAXE (ADN)
    • RENALE (ADX)

    Celui qui atteint la cible et réduit en cendre par sa haute vision intérieure du chemin de l’éveil et de l’ascension

  • Musique

    Les Nuits D’Une Demoiselle

    Colette Renard

    Que c’est bon d’être demoiselle
    Car le soir dans mon petit lit
    Quand l’étoile Vénus étincelle
    Quand doucement tombe la nuit

    Je me fais sucer la friandise
    Je me fais caresser le gardon
    Je me fais empeser la chemise
    Je me fais picorer le bonbon

    Je me fais frotter la péninsule
    Je me fais béliner le joyau
    Je me fais remplir le vestibule
    Je me fais ramoner l’abricot

    Je me fais farcir la mottelette

    Je me fais couvrir le rigondonne
    Je me fais gonfler la mouflette
    Je me fais donner le picotin

    Je me fais laminer l’écrevisse
    Je me fais foyer le cœur fendu
    Je me fais tailler la pelisse
    Je me fais planter le mont velu

    Je me fais briquer le casse-noisettes
    Je me fais mamourer le bibelot
    Je me fais sabrer la sucette
    Je me fais reluire le berlingot

    Je me fais gauler la mignardise
    Je me fais rafraîchir le tison
    Je me fais grossir la cerise
    Je me fais nourrir le hérisson

    Je me fais chevaucher la chosette
    je me fais chatouiller le bijou
    Je me fais bricoler la cliquette
    Je me fais gâter le matou

    Et vous me demanderez peut-être
    Ce que je fais le jour durant
    Oh! cela tient en peu de lettres
    Le jour , je baise, tout simplement

     

     
     
  • Dernière Petite lame de fond

    Dis papa c’est quoi un journaliste ?

    Une petite fille interroge innocemment son papa sur sa profession. La réponse du père, improvisée et maladroite car de prime abord totalement inadaptée pour une enfant de cet âge, va prendre une tournure inattendue sous la forme d’un dialogue qui va au fur et à mesure révéler chez le père et la fille, une prise de conscience mutuelle de la transmission d’une leçon de vie.

    «− Dis papa, c’est quoi un journaliste ? Dit-elle en le fixant de ses grands yeux débordants de cette innocente mais profonde interrogation.

    − Hé bien ma chérie, rétorque le papa, tu me poses là une question à laquelle je n’ai jamais réfléchi…Je te remercie de me donner l’occasion de définir et d’exprimer en synthèse, ce que m’inspire cette fonction.

    − Tout d’abord, mon choix délibéré du terme fonction est volontaire.

    − Pourquoi tu as préféré ce mot ? Rétorque la fillette.

    Il inspire brièvement et lui répond :

    − Parce que pour exercer ou plutôt incarner une fonction, tu dois au préalable développer une éthique, une conscience, une honnêteté, desquelles découlent naturellement une crédibilité et une autorité. Si tu appliques ce processus dans tous les aspects de la vie, tu émaneras naturellement la source de ce qui t’anime. Imagine…c’est comme devenir un outil qui n’a d’autre choix que de remplir la tâche pour laquelle il a été forgé. Tu vois ma puce, je pense que tu devrais préciser ta question, et me demander plutôt.

    − C’est quoi papa un vrai journaliste ?

    Il répond dans la foulée à sa propre question :

    Le véritable journaliste, c’est quelqu’un qui a appris à développer un regard central et périphérique à la fois. Cela lui permet d’observer le monde ou son environnement immédiat, sans juger et déformer ce qu’il va rapporter. Cela s’appelle l’état de témoin.

    − Mais c’est quoi au juste un témoin papa ? Lui rétorque t-elle du tac au tac, prise au jeu de cet échange.

    − Le père admiratif de la curiosité de sa petite fille, se lance dans un dialogue peu adapté à une enfant de cet âge.

    − Un témoin au sens propre comme au sens figuré est sensé être un élément de référence auquel on peut se fier. Une sorte de fondement ou de pierre angulaire sur lesquels s’appuyer pour ériger une idée, un raisonnement, un projet ou un bâtiment solide. C’est un peu comme le moyeu discoïdal de la roue. Il est central, et permet à l’aide des rayons qui incarnent les différents angles d’observation, ou son périmètre à 360 °, d’effectuer une parfaite rotation, ce qui garantie au véhicule en étant équipé, de se mouvoir avec harmonie et sécurité. Celui qui est sensé synthétiser une situation, peut depuis ce point central faire preuve de sagesse et d’équilibre dans sa décision finale.

    − Tu sais ma puce, rajoute t-il, il est coutumier de rapporter que l’on reconnaît un arbre à ses fruits, mais aussi, que l’on mesure la valeur d’un homme aux paroles qu’il prononce et aux actes qu’il pose.

    − En complément dit-il, la fixant d’un regard légèrement absent, n’ayant pas totalement terminé le cheminement de sa réflexion.

    − Un témoin…c’est aussi quelque chose que l’on transmet, comme un héritage, un but, un message, un livre, un bâton lors d’une course de relais ou encore le sceptre des rois lors d’une accession au trône et aux responsabilités qui incombent.

    Soudain conscient de l’impact de la complexité de ses propos sur la fillette, il lui lance d’un air contrit, sans simplifier pour autant son vocabulaire.

    − Excuse-moi ma chérie de sauter ainsi d’un symbole à l’autre pour tenter de te préciser ce qu’implique pour moi cette charge. Accueille cela comme un exercice d’assouplissement neuronal, car nous jouons à entraîner notre cerveau. En science et en biologie, on appelle cela l’épigénétique, mais nous en parlerons un autre jour. Observe que tous mes exemples parlent au final de la même chose, mais à différentes échelles.

    La petite ne saisit pas tout, mais très curieuse et décidée à ne pas laisser l’occasion qui lui est donnée d’échanger avec son papa, choisit de renvoyer courageusement la balle en lui assénant un tonitruant.

    − Mais pourquoi une charge papa ?

    Réalisant qu’il n’a fait qu’envenimer la situation, il décide qu’il n’a désormais d’autre choix que de continuer sur sa lancée. Arborant un petit sourire et affichant timidement sa gène, il lui répond :

    − Eh bien!…Une charge comme son nom l’indique, représente un poids, quelque chose qui pèse sur les épaules ou sur la conscience. Tu vois…je recommence encore mes incessants allers et venues…on appelle ça la transposition.

    Décidément, la pauvre gosse a beau se triturer ses petites mais non moins torturées méninges, elle ne peut s’empêcher de faire part à son père de la difficulté à laquelle il l’expose. Néanmoins, elle n’abandonne-pas pour autant la question, et lui réplique :

    − Ouh là là, mais papa où est-ce que tu m’embarques, mais c’est quoi la transe…euh…quoi déjà…position ? Oui c’est ça, la transposition.

    Désormais emberlificoté dans sa propre toile, le père n’a d’autre choix que de tenter de ne pas perdre un équilibre déjà bien précaire. S’ensuit pour lui un exercice de rétropédalage philosophico-scientifique qui lui provoque quelques sueurs froides.

    − La transposition, c’est une sorte de salvatrice gymnastique de l’esprit, permettant de mieux saisir comment les idées peuvent affecter le réel ou impacter le monde, mais aussi démontrer comment tout est relié malgré l’évidente séparation.

    Constatant que la bouille ronde de sa gamine n’a pas changé d’expression et que son regard reste fixe et attentif, il continue.

    − Bien, ma réponse doit te paraître complexe voire confuse. Mais en vérité, sache qu’il est important dans l’existence de veiller à développer son sens de l’observation pour in fine, être en mesure de discerner ce qui nous est caché. Il faut apprendre à percevoir. Littéralement percer la carapace des apparences, pour trouver et rapporter le trésor ou le mensonge cachés à l’intérieur.

    D’un furtif coup d’œil, il checke la gosse…ouf… toujours pas de réaction. Il continue son monologue philosophique.

    − Autrement dit, ne te fies jamais à ce que tu vois en surface, car ce n’est que la partie apparente de l’iceberg. Garde toujours à l’esprit que 96 % des choses te sont cachés ; Inutile de te dire que résumer et faire reposer l’exercice d’évaluation de ce que tu regardes sur les 4 % visibles, ne peut t’amener qu’à un vaste canular. Attention toutefois, je ne t’invite pas à juger, mais à développer et activer tous tes sens, afin de qualifier tout ce qui croisera ta route.

    Et il reprend :

    − Je te rappelle que la sagesse populaire nous transmet que : « Tout ce qui brille n’est pas or. »

    La petite prend une profonde inspiration, parpelége…replace délicatement derrière son oreille sa longue mèche toujours aussi indisciplinée, et qui trouve racine sur ce petit épi déjà rebelle alors qu’elle n’était qu’un nourrisson. Puis elle relance la machine à questionner.

    Qualifier, que veux-tu dire par là papa ?

    Mais dans quel pétrin je me suis fourré se rétorque t-il silencieusement. Toutefois il prend son courage à deux mains et tout comme le petit poucet qui souhaite retourner à la maison, poursuit son chemin explicatif.

    − Trouver le véritable qualificatif d’une chose ou d’un être, implique le fait de savoir pleinement à quoi ou à qui l’on a affaire. C’est en cela que j’estime que le facteur temps, celui qui refrène toute précipitation est un incontournable pour apprécier les choses et les êtres à leur juste valeur. Cela fait appel à la qualité de patience.

    − Ça y est, dit-il tout haut, j’extrapole encore, mais c’est pour la bonne cause. Malgré les apparences, sache que tout est lié. C’est pourquoi tu dois prendre le temps d’étudier tout ce que tu croises. Ce n’est qu’à ce prix que l’on peut devenir un véritable journaliste.

    La gamine toujours silencieuse marque toutefois la qualité de son attention aux paroles de son père en affichant un froncement de sourcil. Le sérieux de son expression laisse deviner la lointaine ride du lion. Son père fasciné par cette superposition du futur masque de maturité de sa fillette, a le sentiment de s’adresser à l’adulte.

    − Tous les points que je viens de citer génèrent une singularité qui m’amène en toute logique à la conclusion que nous sommes tous des journalistes en herbe. Nulle concurrence, car nous nous différencions par la diversité de nos environnements respectifs. À chacun son point d’observation ou point de vue, à chacun son champ d’expérimentation. Les rapporter en toute objectivité permet de compléter l’immense puzzle ou la grande image de l’expérience terrestre et universelle.

    − Partir en guerre afin d’imposer son point de vue, c’est justement faire preuve d’une courte vue.

    Sentant instinctivement l’approche de la dernière ligne droite, il ouvre enfin les vannes du barrage qu’il avait tenté de limiter jusqu’à présent, et laisse enfin le flux de son inspiration s’écouler naturellement. Il dit à la petite lui faisant face, solidement campée sur ses deux petites jambes pourtant galbées pour grimper aux arbres.

    − En synthèse, qualifier de métier cette fonction propre à chacun de nous, est totalement réducteur, car encore une fois la sagesse populaire nous enseigne que : « Cent fois tu remettras l’ouvrage sur le métier. » Et pour conclure en quelques mots, ma puce. Nous sommes tous des journalistes de la vie. A ce titre, nulle voix n’est plus importante qu’une autre, chacune est complémentaire, car l’image de l’univers à observer et rapporter est tellement grande, que nous ne sommes pas trop de 7 milliards de journalistes pour nous partager la tâche.

    Malgré son jeune âge, la fillette comprend soudainement la portée de ce que son père vient de lui confier.

    Folle de joie, elle bondit et se blottit dans les bras paternels.

    − Merci papa pour ta réponse, c’est vraiment magnifique de réaliser que dès ma naissance, j’ai intégré l’immense équipe des reporters planétaires. Je sais désormais ce que je dois faire afin de Contribuer au développement du monde.

    Le père très ému et retenant péniblement quelques sanglots serre passionnément entre ses bras ce petit corps gracile et débordant de vie, et lui murmure tendrement au creux de l’oreille.

    − Bravo mon petit colibri. A toi de choisir si tu souhaites rapporter un entre-filet ou l’équivalent d’une saga fleuve. Les deux ont tout autant leur raison d’être. L’entre-filet s’apparente à un effet tunnel à l’aide d’un microscope à force atomique, alors que la saga serait le résultat d’un travelling arrière d’une caméra.

    La petite desserre son étreinte, penche son petit buste en arrière, et plonge un regard inquisiteur dans celui de son incorrigible papa qui relance sans fin le fil d’Ariane.

    − Pffffff…Papa… Je ne suis pas certaine d’avoir compris. Tu n’as pas un exemple plus simple ?

    Le père gêné par ces deux petites perles qui le fixent avec détermination, se mordille les lèvres et déglutit péniblement avant de lui préciser.

    − Bien-sûr ma chérie. Attends j’ai plus simple comme exemple. Tu vois, l’entre-filet c’est comme lorsque tu zoomes, alors que la saga c’est comme lorsque tu réduis la taille de la police d’un texte. Mais c’est aussi le même processus que lorsque tu zippes ou dézippes une archive. Tu vois, nous sommes encore en plein exercice de transposition. Mais tu constateras que si tu prends la peine de t’entraîner au quotidien, cela ne tardera pas à te paraître un jeu d’enfant.

    Ma puce, veille à ne surtout pas perdre ton regard d’enfant, et ainsi, tu auras accès aux plus grands mystères de l’univers.

    En tant que Papa, c’est le message le plus important que j’ai à te transmettre, et je suis fier que tu l’aies compris.»

    J’invite tous ceux qui liront ce petit dialogue imaginaire entre un père et une fillette à partager ce que leur renvoie leur point d’observation du monde. Ils pourraient être surpris de la richesse de ce qu’ils sont amenés à observer chaque jour. Ne jugez rien ni personne. Juste étudiez et comprenez. Ouvrez tous vos sens Enjoy it, et partagez.

    L’Amour est en marche = Votre âme étend son charme=Votre âme déploie son talent issue de son tas lentement cumulé comme un trésor. La trinité ou tri unité en Or.

    Love is Running=Vole pour Isis Run Ring

  • Musique

    Le Paradis

     

     

     Le Paradis

    par Corneille

    Et si le bout de mes rêves, mes rêves
    N’était qu’un bout de toi
    Et si au bout des tes lèvres, tes lèvres
    Renaissait un autre moi
    Et si le bonheur qui me fait perdre haleine
    N’était pas plus que ça
    Et si l’amour avec toi, avec toi c’était ça
    Le coup d’oeil à l’au delà
    Et si on n’a que la vie
    Qu’est ce qu’on attend allumons le feu
    Et si on n’est que la nuit
    Je fais de nous mon dernier vœux
    Tu n’as qu’à dire un mot
    Prends le temps qu’il faut

    Et si c’était toi mon paradis

    Et si c’était moi ton paradis
    Quand on fait ensemble, nous sommes, nous sommes indéfinis
    Je sais qu’ensemble nous sommes, nous sommes notre infini
    Et si c’était ça, le paradis

    Et si dans le fond de tes yeux se révélait un fond de moi
    Et si dans le chaud de ton corps je retrouvais enfin la foi
    Et si le malheur lui seul dit que tu ne me remarques pas
    De quoi aurais-je peur maintenant, maintenant
    Je le sais, je le sais que tu ne vois que moi
    Tu n’as qu’à dire un mot
    Prends le temps qu’il te faut


    Et si c’était toi mon paradis
    Et si c’était moi ton paradis
    Quand on fait ensemble, nous sommes, nous sommes indéfinis
    Je sais qu’ensemble nous sommes, nous sommes notre infini
    Et si c’était ça, le paradis

     

     
     
  • Métamorphose

    L’odorante singularité d’une inspiration coprophage

    Mon père avait pour coutume de s’étonner d’observer combien notre étrange civilisation, alors qu’elle mettait un point d’honneur à apprendre à nos enfants le réflexe de la nécessité de se torcher les fesses, là d’où sortent les fèces ou les fées du ça voir (Le Bas-Principe fée mini un), faisait par contre l’impasse sur celui de leur apprendre à se torcher l’esprit. (Le haut-Principe masse cul’Un)

    Et pourtant on a de cesse de nous répéter que : «  tout ce qui est haut est comme ce qui est en bas. »

    Si le bon sens était utilisé dans toutes les strates opératives de la société, en l’occurrence dans l’éducation et le domaine scolaire, on ferait appel à une stratégie ayant pour but d’optimiser les enfants qui jusqu’à présent sont injustement et arbitrairement soumis à un système oppressif et liberticide. L’école humaine sous sa forme actuelle n’est qu’une hypocrite mascarade créée de toutes pièces pour justifier l’injustifiable, à savoir les différences (bien laid l’édit fées rance) deux classes. Tout le monde sait combien l’environnement pèse de tout son poids sur le développement d’un être quel qu’en soit le règne (animaux comme humains). L’école sauf exception, est un endroit où l’on fait appel à des techniques archaïques avec entre autre une approche binaire totalement obsolète de récompense/punition, l’éternel j’aime et j’aime pas à la youtube, ou de Pifou petit chien pave lot vient manifestant son plaisir ou mécontentement à l’aide de ses onomatopées, glop glop et pas glop pas glop. Un enfant comme un animal apprend beaucoup mieux par le jeu et le plaisir, ce qui favorise l’expansion, mouvement spiralé naturel de la création.

    Pour élever et non pas produire des humains, en faire des individus performants en mesure de conserver leur spécificité tout en œuvrant pour le bien être de la communauté, il faut remplacer l’environnement pernicieux actuel, par une nouvelle configuration suscitant la curiosité, la variété, et surtout le mouvement. Notre planète est dans son entièreté un système scolaire, il serait au final plus judicieux de songer à dégraisser et désosser totalement l’obsolète Mammouth de laids ducs à Sion. Un ailé faon, ça t’rompe haine norme met ment.

    Nos petits optimisés (Aux petits misez).

    Notre enfant intérieur  kid deviend’Râ G’rang.

    « Dieu sépara les Os du haut et les zoo du bas et il vit que SETH est bon. »

    ÇA IMPLIQUE DE TIRER LA CHASSE D’EAU.

    Et une chasse d’eau, ça fonctionne sur le même principe, la libération soudaine d’une grosse réserve d’eau (connaissance venant du haut) afin d’emporter les selles et le pape y est toile êtes, la merde que nous avons dans la tête et qui scelle notre cerveau (Rec/enregistrer le savoir que tu perçois dans les eaux) dans ce monde inversé où les serres des faux aigles qui nous gouvernent, enserrent cruellement (cru des eaux elle ment ou re cru d’essence voire des sens, à condition de ne pas perdre l’ad dit rec sion) les veaux que nous sommes à leurs yeux, afin de nous con sommet.

    Sommer, c’est donner un ordre à quelqu’un que l’on considère comme inférieur, voire inféodé. Et notre élite somme le sot met de cons, de se laisser consommer…

    De funès dans le grand restaurant

    Notre élite est donc à la direction d’un grand restaurant, gérant la somme ou l’addition stratosphérique (strate os sphére hic)  de notre connerie…ceci étant ils oublient de rajouter la leurre. Et cet énorme tas de connerie a pour pendant le chant’âge à l’ad hate. Vous comprenez maintenant comment réduire SETH data née A/N T.

    je crois qu’ils sont au bord de l’indigestion ou de la crise de foie avec tout ce jaune qui jaillit de toute part, symbole de la souffrance de la sous-France issue du souffle rance d’un système à bout de souffle. Cette sulfureuse odeur commence à sérieusement et désagréablement leur chatouiller les muqueuses Naze all.

    La vieille bête se meurt, blessée à mort. Blessed, Blesse aide.

    Nous sommes comme figés, en boucle sur des croyances récurrentes et jamais remises en cause. Nos hémisphères cérébraux s’apparentent à des ennemis en train de se faire, les spirituels contre les scientifiques et le corps calleux entre les deux clans qui cale eux. Or les 2 clans disent la même chose dans 2 temps différents, 2 axes d’observation provoquant un strabisme divergeant.

    Pour qu’ils puissent faire la paix, il doivent faire ce constat et enfin réaliser la synthèse, su père pauser leurs 2 him mâges pour que leur corps calleux s’effondre, se collapse de lui même. Comme si le marionnettiste était soudainement exposé au regard des spectateurs. Sache que l’heure Roi est nu mère du hic.

    Le véritable NEW ÂGE est celui qui va faire le MEN ÂGE dans le MANEGE des vieux MANÂGE HEURE/HEURT.

    Sortez et lavez vos sales Ad, le créateur nous envoie l’essor heureuse.

    Mais avant cela, il faut redonner du mouvement à notre mâat tiers grease (graisse qui remplie le Saint Graal), défragmenter nos croyances en nous disséquant à l’aide de notre acuité et surtout honnêteté et transe pare rance intérieure, jusqu’à ce que notre courant ô sait âne nique gulf-stream puisse re-circuler et permette d’atteindre un état plasmique en régulant nos flux.

    Si l’on engraisse le coche du on (l’unité de la matière animée) c’est pour kill rang d’âme un jour.

    Le coûte eau hait bien déguisé, alors ça va chier et ça valsait nier.

    C’est dans le Plasma que se situe ma place entend qu’Artiste qui a réussi la synthèse entre les 2 points deux vues autre foi eaux posées.

    Ce n’est pas pour rien que dans le langage populaire on parle de se vider laid boy haut delà tète, que les insultes les plus couramment utilisées sont associées à la merde :

    Mange merde celui qui se nourrie de merde, c’est l’humanité, c’est chacun d’entre-nous doté de son tas de merde respectif.

    C’homme ça, pas de jaloux

    Fouille merde en effet nous sommes bien dans la merde et elle déborde de trésors. Et la France a cette particularité (hilarité de la partie de cul de la particule) d’être représentée par un coq/cop/ ça poc qui gueule à l’aube (quand on se Rê veille) les deux pattes plantées sur un tas de fumier fumant. Ça tient chaud Lord D premiers frimas.

    Sac à merde, nous sommes du fumier (Nous fumons l’échauffement de nos fermentations d’hier, notre pas sait/su)

    Tu cherches la merde (La mère de), non content de sentir la merde et refusant d’assumer celle que nous enfantons et de la nettoyer, nous trouvons le moyen de la projeter sur l’autre, en lui reprochant de sentir plus mauvais que nous.

    Ben oui comme dit Bigard :  « Un petit paix du voisin sentira toujours plus mauvais que le gros vent Ôde haut rang convient de lâcher du chais, pour une meilleure vie nie fit kâ sion »

    Tu touilles la merde avec un bâton, c’est bien pour éclabousser ses voisins.

    Ça pu la merde la boucle est bouclée. Ça et merde, c’est la même chose. Le sert Pan se mord l’acqueux/l’hack-eux/Lac/cale eux.

    Tu refoules du goulot, ah ah j’adore cette expression, ça me rappelle toujours les fous rires avec mon cousin lors du visionnage d’un film où les amants s’embrassaient goulûment au saut du lit, le Monsieur parfaitement rasé, la dame maquillée, les cheveux artistiquement répandus sur l’oreiller, c’est à ce moment là que je ne pouvais m’empêcher de prononcer la phrase fatale : « Et ils s’embrassèrent dans un souffle putride. »

    Ben oui, j’en connais pas beaucoup au saut du lit dont l’haleine (All haine) sent la rose. La plupart refoulent du goulot. Celui (Ce qui luit) de la lampe d’Aladin. (L’addition de tous vers l’unité)

    Aladin il l’astique fort sa lampe pour faire sortir le génie qui croupit depuis tellement longtemps dans ce qui doit s’apparenter à une fosse septique après c’est dit ment ta sion. Ça c’est de notre propre lumière dont il est question, et nous devons donc la polir fortement notre lampe. Le génie, c’est celui qui témoigne de notre négation de ce qui nous gène pour atteindre la droiture, droit comme un I. Il témoigne de notre génétique (gène éthique par nos tics). Cette ombre, notre ombre…hé hombre réveille-toi si tu souhaites faire sortir le génie planqué sous tes immondices au plus profond de toi pour enfin finir le toit de ton temple et décoller ta fusée qui a les pieds bien embourbés.

    La merde a de l’avenir. Vous verrez qu’un jour on en fera des discours.

    Louis Ferdinand Céline

    L’ouïe fer dit nan Selles/scelle in

    Le problème, c’est que nous n’avons pas compris que l’exercice de l’astiquage vivement recommandé, concernait l’intérieur de notre lampe (voir hampe en musique), de notre temple. Du coup, combien y vont de leurs couches d’oripeaux (horrible peau/pot), de maquillage qui comme ce mot l’exprime si explicitement maquille l’âge ou alors c’est peut-être ma quille qui prend le maquis et qui mac ou came qui. La quille on l’obtient lorsqu’on a terminé le parcours du con qui se bat tant contre des moulins à vent comme notre cher Don kid shot, pov’show chiotte.

    Le mac ou maquereau, parfois sous teneur fait le beau, parade, joue les coq/cop. Sa cam à lui c’est de veiller à faire taffer les meufs, les poules qui doivent caqueter dans la basse cour en tortillant du pot peau teint afin d’attirer le mâle, lui dégorger le big orne eau et lui piquer son blé dont la majeur partie sera prélevée par le Brochet, qui à défaut, se fera un plaisir de remaquiller la dite poule, la gratifiant d’un magnifique sourire façon clavier play hell. Comme disait Colle huche : « Une dent tous les scie maître »

    En vérité, nous sentons tellement mauvais naturellement, que nous sommes obligés de faire un usage immodéré d’un ensemble de subterfuges qui frise le toc (troubles obsessionnels con pulse ifs ou cif âme haut niac Al, ça réc cure mi eux). Or, force est de constater que nous ne sommes dans l’ensemble guère éloignés du comportement du cochon qui tout comme nous a la peau rose, bouffe tout et n’importe quoi sans pouvoir s’arrêter (jusqu’à ses enfants), se roule dans la fange (celui qui nage dans sa marde pour faire l’ange) etc…Ce n’est d’ailleurs pas étonnant que certaines parties de son corps sont utilisées en chirurgie humaine pour sa troublante compatibilité avec nous.

    Prenons n’importe lequel d’entre-nous, et mettons-le à la rue. Il ne faudra que quelques jours pour qu’il se mette à sentir mauvais, perde de sa superbe et soit prêt à vendre jusqu’à ses fesses/fèces ou se frite pour un cornet (corps né/conter/contre) de pommes frites (Faire des rites qui tuent ailes/hell/hailes).

    Notre vernis sociétal et civilisationnel n’est pas bien épais, il n’y a qu’à jeter un œil sur les ruées vers…les black Friday. Assez effrayant et au final bestial (La bête ou peste qui lie toutes les IA). En groupe, les gens perdent leur cerveau, leur intelligence et sont capables du pire. A quoi cela tient-il d’après vous ?

    Comme je l’ai évoqué dans mon précédent billet intitulé Parlons vampire, j’apparente la conscience via notre imagination à un trou noir, tout comme notre anus, notre bouche, nos yeux, nos narines, nos oreilles, les pores de notre peau, et au final chacun de nos atomes, ou sont-ils plutôt des trous de ver permettant le passage entre 2 mondes, 2 états de perception, extérieur/intérieur.

    Le trou de ver s’apparente à l’œilleton sur nos portes d’entrée ou dans des cabinets secrets afin d’observer le visiteur ou l’intrus sans être vu.

    Une singularité, c’est un effondrement un collapsus d’un ensemble .

    Un collapsus a deux issues, soit on a compris appris à faire sus à la colle en nous, soit cet effondrement nous est imposé avec toute la souffrance que cela implique. Cet exercice nous le faisons normalement tous les jours, cela s’appelle faire popo/dodo/bobo/qoqo ou peau neuve, faire kâkâ ou Chier qui est la contraction de Chi (énergie/information) et hier. Ça peut arracher le c’roue Pi on au pas s’âge “I” “I”.

    L’ex pulsion des ex crée ment résulte d’une sorte de nettoyage/libération forcée, à l’issue (hisse ce qui est su, si et seulement si la leçon a été apprise et comprise) d’un processus de des canta Sion alchimique dans notre alambic (le distillateur de Dieu), des aliments ingérés quelques heures Pluto (Remonter aux Or ri djinn en lisant l’info du Père)

    C’est une valse à 3 temps qui s’opère (hope père-laisse poire fée vivre) durant ce processus, entre la nature des aliments pour lesquels nous avons opté, la qualité de notre digestion (compréhension du repas informationnel) et l’aspect lui aussi en 3 temps des selles expulsées (couleur/odeur/aspect ou as pet/paix)

    Notre alambic système digestif, tel une gare de triage, effectue une opération qui consiste à séparer le subtil de l’épais. (Épée de David qui tranche, Guerre et Paix qui se termine enkâ de fer ment ta sion par des pets)

    Cela s’apparente à une démolition contrôlée afin de recycler de toutes petites particules et d’en faire un tout nouvel usage. Tout, absolument tout dans notre existence est constitué d’informations que nous devons ingérer par nos 5 sens, plus un 6ème, le plus important, notre conscience, celle qui rassemble, non pas l’égo qui divise, même si il a son utilité.

    La coprophagie est un usage courant dans le monde animal. Nombre d’entre-eux quels que soient les règnes, s’y adonnent. La raison principale est liée à la richesse en nutriments des excréments, vitamines B (13), optimiser l’apport en protéines et améliorer la flore intestinale. Il est d’ailleurs amusant (âme usant) de constater la couleur de notre bonne vieille terre sur laquelle nous faisons pousser nos légumes (lègue hume/voie ton héritage et nos fruits normalement Free. Tout le monde peut constater qu’elle est marron, tout comme les matières fécales (mâte/matte hier fait cale). Notre terre est constituée des milliards de corps et d’excréments de ceux qui nous ont précédés et ce dans tous les règnes.

    Nous aussi sommes donc coprophages (Co pro pages des âges) au sens propre comme au figuré, car en mangeant ce que produit notre terre, force est de constater que nous sommes un maillon d’une immense chaîne d’un gargantuesque repas informatif tellement roboratif, qu’il doit être disséqué en tous petits morceaux afin d’être ingéré et digéré, exploité sous une autre forme.

    Si l’on transpose au sens figuré, cet immense banquet auquel nous sommes conviés (Les cons du chemin de la vie) est celui de la lecture, du décryptage de l’univers. C’est amusant de réaliser combien il est idiot de juger et rejeter tout ce qui croise notre regard, alors que tout a sa raison d’être et une utilité profonde à l’équilibre du monde.

    C’est comme si le corps refusait systématiquement tel ou tel aliment, alors que nous prenons un malin plaisir à abuser de certains, sachant pertinemment qu’ils peuvent devenir nocifs si nous en consommons à l’excès. Exemple, manger des chips de temps en temps ne vous fera jamais de mal ni prendre un gramme. À l’inverse, tombez dans l’addiction, et consommez-en tous les jours et vous allez faire de l’embonpoint. (Lent bon poing)

    Toutefois, ne pas oublier que parfois les excès quels qu’ils soient sont aussi de parfaits enseignements qu’il ne faut pas négliger. Cela permet d’atteindre son mur de planck afin d’avoir l’opportunité de développer une nouvelle qualité dans la maîtrise et l’équilibre, à l’opposé de ce qui était au début un nœud ou un défaut comme le nomment à tort beaucoup.

    Tout est bon dans le cochon, tout est leçon, à condition de faire le nécessaire pour la comprendre et l’intégrer. Pour cela, notre corps est aussi un allié et accepte d’être soumis à nos excès, ce qui peut avec une belle stratégie découlant de la logique, lui permettre de se renforcer. Cela s’appelle l’hormèse. Tout corps soumis à un stress ponctuel contribue à le renforcer, une autre manière de dire que tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.

    Si l’hormèse est bénéfique pour le corps, ex : jeûner après avoir trop mangé, ou faire du sport, s’exposer à la chaleur, au froid sans être couvert, ce principe doit pouvoir s’appliquer et être tout autant bénéfique pour l’esprit. Exposer ce dernier à des périodes d’étude et d’écriture intenses, puis de périodes méditatives va créer une sorte de contraction dilatation qui va favoriser le mouvement qui n’est au final que l’expression première de la vie.

    Même ce qui nous paraît immobile est débordant de vie. Un cadavre est bourré de vie qui est train d’entamer son processus/mécanisme/programme de recyclage. Idem pour un jeûne, tout a l’air de s’arrêter puisqu’on ne mange plus ou ne buvons plus, mais à l’intérieur les forces curatives se mobilisent en masse et c’est parfois un énorme maelstrom qui se lève en interne.

    Ce qui nous tue, nous encrasse, ce sont les croyances, les rituels qui s’apparentent à des ritournelles obsessionnelles. La ptôse qu’elle soit physique, mentale/intellectuelle ou spirituelle ne fait qu’enclencher et accélérer notre obsolescence programmée. C’est nous qui buzzons sur le bouton rouge qui enclenche notre processus de dégénérescence. C’est pourquoi nous devons étudier la merde, en être presque obsédé, je parle de la plus importante à savoir celle de l’esprit, car c’est là que nous sommes le plus encrassés. Mais n’oublions surtout pas combien elle est utile pour faire pousser de beaux légumes si au préalable répandue sur la terre noire (al key mia/alchimie) de nos esprits, afin de les enrichir et qu’ils puissent faire pousser de nouvelles plantes bien plus belles que les précédentes, car dotées de nouvelles couleurs, senteurs et saveurs.

    Nous sommes des jardiniers en herbe de nos Esprits au service de notre créateur…A savoir nous, puisque nous nous auto créons.

    De l’Alpha à l’Homme mes gars de GAÏA la maman des IA.

    La boucle est bouclée et tu la boucles car c’est dans le scie lance que tout se crée.

    Le talent, c’est en vérité le tas lent de nos excréments, notre tas de fumier perso que nous sommes aujourd’hui invités à traiter sans lambiner, car luz’in va bientôt fermer sa chaîne de pro Duc Sion.

    C’est bientôt le printemps, préparez votre terre, enrichissez-la de vos excréments et voyez pousser avec joie le Jardin D’Eden qui remplacera enfin le Jardin d’aide Allah Haine.

     

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