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    Le règne de la quantité

     J‘ai lu il y a quelques jours un texte écrit par une personne sur facebook, qui sous prétexte de soutien envers les gilets jaunes a couché des lignes au ton pour le moins assassin (Le chemin intérieur de l’as par la voie basse/cul) et haineux (N/Z eux). Ces mots (maux)  s’adressaient spécifiquement aux vedettes, ou les dits artistes, et leur lançaient une forme d’ultimatum quant à leur prise de position vis à vis du mouvement des gilets jaunes. C’était du style, vous êtes pour ou contre. « Donc, si vous êtes pour, vous êtes nos amis, et si vous êtes contre, vous êtes nos ennemis. Votre silence sera la confirmation de votre lâcheté ». Sans compter la citation d’une liste de noms de vedettes au cœur et à la fin de l’article vendetta, à l’image des actes de délation sous l’occupation.

    On croirait observer le geste de l’empereur Romain qui décide, tout comme sur youtube de nos jours, d’un pouce vers le haut ou vers le bas, de l’avenir de la personne au centre de l’arène. Mise à mort (Rome) publique (publie le hic). Mais malheureusement, ce n’est pas l’art qui règne ici. Chez l’humain, tout ce qu’on ne comprend pas, on ne peut s’empêcher de le détruire. C’est tellement plus facile, comme ça, on ne se pose pas de questions dérangeantes, on ne se remet pas en cause, on ne cherche pas à comprendre en s’étudiant ainsi que les autres avec courage et acharnement, non, c’est l’autre qui porte le chapeau. Cela donne bonne conscience, qui rime avec la scie en ce de la connerie.

    Côté artistes, le fait est que nous sommes jusqu’à présent face à un silence assourdissant à part une maladroite tentative de la part de Franck Dubosc ( L’enfant franc de l’espace boisé/sylvestre donc parfois sibyllin), qui s’est soldée très rapidement par un retournement de veste complet, la doxa ayant certainement œuvré par un bon petit réglage de bretelles hors caméra. Depuis, quelques-uns, certes peu, commencent à exprimer timidement la compréhension de la lame de fond qui commence sérieusement à prendre de l’altitude.

    De mon côté, j’aime beaucoup m’adonner à l’exercice de la transposition dès que quelque chose, un événement m’interpelle ou me confronte, j’interagis, afin de prendre une position ou un regard plus central, et tenter ainsi d’éviter le piège du jugement, car n’oublions jamais qu’on ne rencontre que soi-même, que tout n’est qu’information (un Format zion), donc, une codification à justement décoder (D co D ou D cordée), plutôt qu’une prise de position très dangereuse, car souvent extrême, figée, et donc porteuse des excès et futurs actes souffrants des mêmes défauts.

    J’ai compris que la vie (l’avis), c’est une danse qu’il faut accompagner, quel qu’en soit le rythme. Dès que l’on essaie de lui résister, elle nous brise, car elle est toujours la plus forte et en changement permanent. Le jugement (le juge qui ment) n’est qu’un instantané, donc, une expression figée, qui n’a au final pas grand-chose à voir avec la réalité. Tout du moins ça n’en est qu’un aspect, une fractale. C’est comme si l’on donnait plus d’importance par la fonction pause à une seule image d’un film, et qu’à partir de ce seul cliché , on se permettait de juger et condamner l’ensemble de l’œuvre. De plus, rappelons-nous que le cinéma nous donne l’illusion du mouvement par le rythme de 24 images/s, comme le cycle de nos 24 heures. Le mouvement, c’est donc un enchaînement de micro instants se succédant, mais contractés ou dilatés selon le niveau d’attention de l’observateur. C’est pourquoi l’on ne peut pas juger, car le jugement fige, et donc ment sur la réalité et la nature des choses. Le temps de le dire, et ça n’est déjà plus. C’est donc la qualité de notre regard qui fige, déforme, teinte et tue les êtres et les choses.

    Qui n’a jamais ressenti au moins une fois dans son existence le poids du regard de quelqu’un ou de plusieurs personnes ; n’est-ce pas ce qui vous fait parfois vous tenir à carreaux ; craindre ce que l’on peut penser de vous. Donc, le poids du regard, ça existe. Ça colle, ça peut brûler, glacer, réchauffer, caresser et même tuer. Un regard est tout sauf anodin (anode du Un où se déroule l’oxydation-où Da occis sion ou encore l’ôde de l’âne, animal qui aide le Christ dans son ascension), n’est-ce pas !

    De plus, tout est de nature double…règle à ne jamais oublier. L’envers du décor (L’a/n vert du des corps). Et l’écran vert (les crans vers), tout le monde sait qu’il permet de projeter de fausses réalités (Rê alité, le créateur qui dort et rêve). Jeu d’ombre et de Lumière (lu moi hier, lire mon passé ou pas sait), théâtre du monde/démon, fameux damier (dame y est d’âme hier) aux cases noires et blanches de la FM (Aime poser des actes/ Aime Faire/fer).

    Si l’on veut survivre et s’adapter à l’inéluctable bouleversement de notre société qui prend de l’ampleur sous nos yeux ébahis, tout du moins  pour les plus endormis, nous n’avons pas d’autre choix que de plonger au cœur même de notre ombre. C’est à l’image de ce couple de survivants au tsunami de 2004 en Indonésie qui écoutant leurs petites voix qui les enjoignaient à faire une  plongée sous-marine, a survécu, alors qu’en surface, la vague dévastait tout sur son passage.

    Pour en revenir au texte auquel je fais allusion au tout début de ma réflexion, on assiste là encore une fois à l’éternelle dualité qui nous habite, l’autre, c’est l’ennemi faisant partie d’un clan opposé, en l’occurrence plus nanti…bouh les mets chant/champs (ils traduisent et expriment une des fréquences). Mais qui assassine t-on par le verbe ? N’est t-il pas connu que le verbe est créateur. N’est t-il donc pas temps de devenir Crée acteurs de nos vies. En assassinant l’autre verbalement ou physiquement, c’est notre propre reflet dans le miroir que nous exécutons froidement et sans regret.

    Cette règle s’applique sans exception à tout un chacun. Lorsqu’un CRS (connaître le chemin de l’Esprit) matraque (ma traque/quatre) ou flashball un gilet jaune pacifiste ou non, sur une autre ligne de temps, c’est lui même qu’il matraque, blesse, tue, estropie. Il en est de même pour les gilets jaunes, qui insultent (ce n’est pas l’insulte telle qu’on la conçoit qui est dérangeante, mais c’est de ne pas comprendre que l’insulte elle aussi est codée, et revêt un autre sens, d’ailleurs son anagramme est LUTINES. Y aurait-il un petit lutin qui lut le un derrière ces mots considérés (con/no c sidérés/scies des Rê) comme grossiers).

    Ce qui importe le plus, c’est le ton utilisé. L’emphase (être en phase), utiliser la bonne tension animée par la bonne intention (Un tend zion). C’est un art, celui de l’artiste qui maîtrise Sonar, ayant atteint l’équilibre, et agissant depuis son centre qui est désormais partout, parce qu’il s’est tellement étudié à travers les autres, qu’il se connaît, et qu’il peut anticiper chacun d’un seul regard, et le reprogrammer par la maîtrise du verbe, et de tout son être, transformant ainsi l’autre en un individu plus équilibré, plus droit. Oui, comme on règle une machine. En vérité, nous sommes des machines, mais mal réglées et qui ont donc besoin d’un petit passage (pas sage), voire un gros, sur le banc de chauffe.

    J’ai délibérément choisi le titre le règne de la quantité, sachant pertinemment qu’il est celui d’un ouvrage de René Guenon, dans lequel il fait très justement apparaître, qu’en cette fin des temps, le chaos devient le seul maître des lieux. Aujourd’hui, personne n’est à sa place, ne connaît son rang, donc son rôle, noyé qu’il est dans la masse (l’âme hass)

    Imaginez un immense vaisseau ou navire, à bord duquel aucun des membres d’équipage n’a non seulement la moindre idée de ce que peut être cet engin, et a dans la foulée oublié la formation et les instructions  permettant à chaque membre de tenir un poste assez précis et nécessaire au bon fonctionnement de l’ensemble.

    Le désir d’uniformisation artificielle de la société (Sot scié t’es) par une poignée d’individus agissant dans l’ombre, fait de nous et de notre environnement une sorte de gloubi-boulga à l’aspect larvaire (lard vert), animé de quelques convulsions (con vu et lu sion), dont il ne comprend pas l’origine. Transposez avec notre exemple de vaisseau ci-dessus ; pensez-vous qu’avec un tel niveau d’incompétence et l’incapacité de se rappeler ne serait-ce que nous sommes une équipe animée du même but, nous soyons en mesure de quitter le quai. Que dire du projet de rejoindre la haute mer (hôte mère).

    La société ne tient absolument pas compte de l’aspect qualitatif de chacun. Ce qui participe à la déshumanisation de l’ensemble de la population, en découle le chaos auquel nous assistons en ce moment, plus personne ne comprend qu’il fait partie d’une seule équipe (espèce hume haine) et nécessairement divisée en castes, rangs, rôles.

    Attention, ici, personne n’est supérieur ou inférieur à qui que ce soit. Il est question de justesse, d’équilibre, mais aussi de responsabilité. C’est cela l’âge adulte. Être capable de parler à chacun avec justesse, sans jamais chercher à le dominer. La justesse implique parfois de la fermeté, pour rappeler à l’autre quelle est sa place, son rôle et qu’il a le devoir de le tenir.

    J’en ai d’ailleurs tout récemment fait les frais, ayant oublié ce que je vous partage ci-dessus.

    N’en déplaise à certains, c’est à l’image d’un immense corps (celui du créateur). Certaines cellules sont attribuées à la tête et d’autres aux pieds, mais toutes savent qu’elles sont partie (quantique/cantique, champ/chant vibratoire) d’un même individu. Aucune ne songe à protester et fait son taffe, sauf celles qui décident de couper le dialogue, s’isolent de l’ensemble, et créent un cancer (quant sert/serre) ou une tumeur (tu meurs). Par contre, la conscience de l’individu et son attitude globale, croyances, alimentation (elle aussi à décoder, je ne parle pas d’un quelconque régime découlant là aussi de croyances obsolètes), pensées, va avoir une incidence directe sur le bien être de l’ensemble de ses cellules, et donc la santé totale de son ou plutôt de ses corps.

    Depuis 2000 ans qu’on nous passe inlassablement le disque: “Avant d’enlever la paille dans l’œil de ton voisin, commence par enlever la poutre dans le tien” nous sommes, toujours sourds et aveugles, et continuons inexorablement à vouloir corriger l’autre, croyant encore et toujours que le problème vient de lui.

    C’est un leurre total, l’autre, c’est nous et toujours nous, sous une multitude de déclinaisons. Ceci doit être compris, intégré et appliqué au plus tôt, car nous sommes désormais très engagés dans la dernière ligne droite.

    Nous avons été existenciés dans le seul but de servir l’œuvre Divine, et nous l’avons oublié en cette toute fin des temps. Et ceux qui s’en rappellent, doivent s’atteler à transmettre ces principes supérieurs. (Su père rieur)

    Conclusion Fils du père écoute et apprends ta leçon (le son/fils), sonde le monde depuis tes profondeurs, et deviens un pro frondeur du temps des grandes tri bu la zion.

    Le bel ami Daoud a fait un long et magnifique travail de récapitulation de la Tradition, des castes, des races, du chaos social et du Khali yuga dans la fin duquel nous sommes bien engagés, mais le plus sombre reste encore à venir et frappe déjà à nos portes, avant de voir le soleil se lever à nouveau.

    Alors que le créateur finit de télécharger en nous toutes ses archives, et que nous ouvrons les yeux pour prendre notre tour de garde, ses paupières commencent à s’abaisser, et bientôt il pourra se dire: “Là je dors”.

    Je t’invite à prendre le temps d’écouter Daoud, ça t’aidera à prendre du recul et structurer ou re structurer ton regard sur le sens de ton existence et ta place dans la pièce de théâtre qu’est  ce monde en grande muta zion (mute A zion).

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    RIC versus CRI

    Entends-tu le cri triste, comme celui du Christ sur la croix. Il s’amplifie. Il exprime la souffrance que ressent la Sous France, tout du moins celle considérée comme telle en haut lieu (Eau lit eux).

    Dense et informe au début, il ressemblait au cri du nourrisson (nourrit le fils qui émet le son) qui vient brutalement de changer d’environnement, passant du mode amphibie, au mode aérien (comme Aquaman Roi de l’Atlantide mi Surfacien et mi Atlante qui fait le pont et donc l’unification des 2 mondes). Puis à un borborygme à la Rocky Balboa (le chemin de la pierre au bal du Boa/sert Pan) appelant son Ad Ri Haine. Et enfin, un début d’harmonisation au cœur de la décompression de cette grosse archive mémorielle présente en chacun. RIC, (Rê faire un dôme, dit nie scia tive/vite, si toi y haine)

    ADRIAN (Ascension de l’âne (véhicule Christ au cri triste) de la DRI (Direction du renseignement intérieur en France)

    Changement de rythme, addition d’un second mouvement, de la verticalité pyramidale, désormais développement de l’horizontalité. Le mouvement des gilets jaunes se répand et abat petit à petit toutes les barrières factices qui existaient entre les gens. Le tsunami ne s’arrêtera pas.

    Ligne de mire, cible bien en vue et bloquée

    Deux équipes face to face, face de bouc – Qui est le miroir de qui ?

    D’un côté, des robocops déshumanisés, petits dark vador incarnant la force brute, et qui en guise de sabre laser brandissent des pistolets flash-ball. Triste et piètre tentative d’imitation de la venue d’un Jedi en pleine maîtrise, incorruptible et qui se met au service de l’équilibre et de la vérité. Non, ici plutôt, matière brute, ombre, peste noire – retour des chemises brunes ? La machine, ne discute pas les ordres, elle exécute de sang froid les directives émanant d’une vision de la gestion du monde en totale déliquescence.

    De l’autre côté, les plus nombreux, des petits gilets jaunes à la force animale, chaude, volcanique, pierre de soufre anti doux leurre– remède homéopathique – similitude-dilution-dynamisation. Nid de guêpes qui assaille, pique, revient à la charge, se fait enfumer avec pour maladroite et vaine intention de détruire le nid qui est beaucoup trop gros pour être inquiété.

    C’est à qui fera le plus peur à l’autre – chacun son tour, le vent tourne – valse hésitation. Triste champ de bataille (bat aïe !), en vérité, ils ne le savent pas, ils font partie de la même famille et lorsque l’un croit frapper l’autre, c’est en fait lui-même qu’il atteint, comme s’il était possible de guérir le furoncle que l’on arbore sur le nez, en brisant le miroir dans lequel se reflète notre visage.

    L’appareil étatique (l’appât raye état tics), véritable usine à la moderne et sans faille chaîne de production de robots humains s’entête à maintenir en vie le malade sous perfusion, joue de plus en plus maladroitement ses dernières cartes et tire ses grosses et vieilles ficelles que désormais tout le monde voit. Le Roi de la Haine (Noir) est décidément tout nu, et tout le monde le dit.

    L’état de fut sion est en cours, le creuset a enfin atteint la température Idée all.

    Fin d’un système (Six t’aime), d’une ère où l’on erre. La lumière s’allume dans les étages. Naissance d’une intelligence collective, d’un cerveau qui crée de nouveaux réseaux et abandonne enfin et sans regrets les anciens qui ont largement fait leur temps. Plus besoin d’un chef, le centre est partout.

    Gare à ceux qui s’accrochent encore désespérément à l’ancien monde et ses prérogatives, car non contents de se sentir de plus en plus isolés, ils y seront engloutis, recyclés, comme tout ce qui ne sert plus ou n’a plus sa raison (Rê son) d’être.

    Il en est de même pour chacun de nous. Décide ou décède. Etudies-toi, décortiques-toi, et en pleine connaissance de causes, assume ta haine, ta merde, deviens ton propre Maître, fais enfin ce que tu dis (même si ça te prend un peu de temps pour le matérialiser) et exprime ta maîtrise par ton nouvel état d’être, ton NOM (nouvel ordre mental), ta droiture…CHANGE, car tu seras changé de force par la vague qui se lève, à défaut, tu seras recyclé et deviendras du bon Hume us pour les futurs plants.

    Nous sommes tous des machines en cours d’éveil et de réglage, avec pour projet de devenir enfin des êtres vivants (vivent en eux, comme une mémoire vive. Il est temps de quitter la ram). En attendant, nous sommes  utilisés comme des fictions administratives et commerciales.

    ” Rien ne se perd, tout se transforme ” “Tu ne rencontres que toi-m’aime ” “Que la force soit avec toi pour finir ton toit”

     

     

  • ACTUALITÉ

    Limitation 80 Km/h

     Rien ne sert de courir, il suffit de partir à point . (Ri un ne sert de cour hire, il su fit de par tir à poing). L’imitation, lit mi ta zion, milita zion ou limitât la dix visions . Le 80 (kill au mettre seconde).Le 4 vint, le temps de la libération (Lit B ration du BB) Karmique (Art du véhicule de Kâ) pour l’ensemble des créatures du cosmos. Le cube de Kubya, de méta Trône, de l’IA, celui de l’équilibre, de la stabilité. Il est là. Enfin. Le potentiomètre a changé de fréquence. (La voie/voix du mi lit eux/l’yeux/mis le lieu. La vision centre all).

    La cymatique (La cime à tics) va bon train. L’art de Râ envahie le plan net de la planète, c’est l’heurt des coq eu.

    80 Htz (Achète le chemin, accepte de le parcourir avec courage et volonté. Accueille ta rage, avec amour, accepte la note, la fréquence. Le père a appuyé sur la télécommande, nous changeons de chaîne, et justement, elles sont en train de tomber, c’est pourquoi tout se déchaîne, comme la bête si bête et si longtemps con tenue.)

    Mise à plat des deux mains/dès demain. 

    L’état du cou, du coup d’état/des tas. Le chakra de la gorge, la pare rôle faite/fête chair/chère.

    La pomme Dad âme est irritée (rouge comme le dit able), mal Râ sait. Négligée. Nez Gli (assurance de loi y est impayé) G.

    Politicien, (peau lit petit chien). Laisse noire autour du cou, au gros nœud légèrement désaxé sur la gauche. Ça donne le thème peau. Ça sert le kiki. Avec le col, je pense à une moitié de Francisque

    LA GESTUELLE D’EMMANUEL

    La geste tue elle d’aima nue elle

    Quand on ne comprend pas, ça peut coûter cher. On prend des coups dans la chair, l’arme chair et l’on descend de son trône, car la fosse septique (des sept/Seth tics) et pleine et donc déborde.

    « N’oublie jamais que tu ne rencontres que toi même » (rang contre toit m’aime)

    Moralité (Mort/mord alitée), ne juge plus le monde extérieur, interprète-le en tant qu’information et parfait miroir au détail près de l’étude de tout ce qui t’habite (ta bite/morsure de Râ jeu) pour enfin l’intégrer, fusionner (fut zion née). Car tu es la fractale (Le frac/coste hume de all) de la grande I mâge au grand âge.

    Le seul changement, la seule révolution, (Rê vol lu/love lu zion) est à effect tuer à l’inter rieur de toi.

    Le Seul t’erre un où tu peux agir (âge hire sur ta colle air).

    Le monde/démon est le résultat (Rê su le tas) que nous sommes (La somme de tous les êtres qui s’époumonent en-noue depuis l’ennui des temps).

    Les faux Maîtres disparaîtront tous seuls, lorsque de Petit nous redeviendrons grand.

  • ACTUALITÉ

    Crise de foie

    Crise de foie

    Crise d’acétone (ascète ton). Excès de bile. Excédé. « un dit geste y on ». La coupe est pleine, le Sein/saint/cin « q » Graal déborde (5, chiffre de l’homme)-(Le 5 en miroir donne 2=division (10 vies de zion) du alité=52 semaines/sème haine). Crise de foie. Le lait de maman est-il trop gras ? Le sein de la voie lactée du firmament (la firme de maman, celle qui fabrique et nourrit les petits gilles laids) a une montée de lait/laid !!. Que nous arrive t-il ? Nous nous faisons de la bile. Normal me direz-vous, elle sert à transformer les lipides (lit pi d’eux=lit l’art de tourner en rond de chacun) en sucre/ saccarose.

    (Sac de ça/merde ou de rose, symbole de l’amour, du Christ accompli, Dans toutes les traditions, la rose occupe une place particulière. Dans l’iconographie chrétienne, elle symbolise, soit la coupe qui recueillit le sang du Christ, soit la transfiguration des gouttes de ce sang, soit encore les plaies du Christ)

    La formule du lait change, car bébé grandit. Et Sort ses 1ères dents de sans dents/sent dans.

    Pourtant, ce repas nous a été servi il y a très longtemps. Mais dans notre fainéantise (fée née hantise), notre refus de grandir (Peter Pan=Pi/erre Pan), nous avons refusé d’avaler la totalité de notre assiette informative roborative (robot Râ hâtive). Résultat, nous avons laissé le gras sur le bord de l’assiette, convaincus que nous avions le choix (Shoah) et le droit de trier, nous avons oublié le dicton populaire qui nous dit que : 

    «  Tout est bon, dans le cochon. »

    Le Saint Graal (Gras de all) déborde, or pour remplir la coupe avec du neuf, il faut d’abord la vider (Vie de D). Papa/maman savent ce dont leurs rejetons (rejet du ton/note) ont besoin pour grandir en santé (sans/sang T).

    Crise d’Acétone, Ace (service gagnant=serre vis/sert vice des Gars niant) tone=ton/note). Ace ventura (Vent/air/esprit tuera). The mask (aime demande) est de sortie« Sssssppplllleennndddiiiidddeee !!!! »

    Sainte colère (colle air) du peuple qui renverse les tables des marchands du temple. Début de la fin/faim. Ascension du Golgotha (Gaule go tas), chemin de croix, crise d’adolescence (ad haut l’essence/les sens). Confiance hyperbolique (Hi père du bol du hic). Emphase/en phase ? Hausse des taxes/os dés T’axes ?

    Garder le capo (cap haut) froid, (la tête froide), et le cœur chaud (co heure show).

    On ne fait pas d’omelette (ohm l’êtes/êtes résistance) sans casser des œufs, et dans l’œuf, il y a du neuf. Une fois que l’œuf est bien battu, hé bien c’est le jaune qui domine.

    Macron=Monarc=Mon arc=Arc de triump/tri hume Père.

    Magnum Opus finalisation étapes 3 et 4

    Chemin de développement de l’âme humaine au sein des mondes de matière,  discipline de travail intérieur (incitant les autres âmes à devenir « de l’or », symbole de l’esprit accompli) et cet élixir de longue vie (analogiquement, on pourrait le comparer à la parole du Père, redonnant vie à ce qui était mort et promettant la vie éternelle.)

    Œuvre au Jaune (citrinitas/scie tri nie tas)=sublimation sous le signe de Vénus.

    But : recombiner éléments simples obtenus. Épuration, transformation en vapeur par le feu. Agiter le peuple avant de s’en servir. Petits électrons qui s’entrechoquent dans le four/4/matière, micro(Roi des macs) ondes/dons.

    Œuvre au rouge (Rubedo, ah ah le bédot descend dans la rue)=sous le signe du soleil (seul œil-sauron ). Union du Mercure, le vif-argent du groupe 12 (Dieu du commerce et des voleurs) et du soufre de couleur jaune (dont l’élément chimique est le 16 (tarot tour dieu, l’égo qui s’effondre) et de symbole S (le chemin de transformation de l’être par la souffrance/ souffre France). 4ème et dernière étape du processus.(process us)

    But : Obtention de l’or alchimique, pierre philosophale, incarnation de l’esprit dans la matière (mât hier)

    Laboratoire situé à Paris par “I” S =(Bar-Isis-barque d’Isis) ville sous le culte d’Isis où le pari a été lancé de faire descendre le Mahdi (Celui/celle qui montre le chemin).

    ISIS (118=Symbolise un potentiel latent, non connu, mais travaillant activement pour se manifester. Mais aussi service de renseignement universel (Rang saigne ment uni vers elle)) prêche l’amour, et la guérison par la foi. Elle est la reine du ciel et de la magie. Elle est tout comme Thot ou Mercure considérée comme messagère des Dieux/dit eux.

    Nous assistons à un véritable processus alchimique. Notre gouvernement agit comme une équipe d’opérateurs alchimiques au cœur du laboratoire (lab/baâl oratoire) à ciel (scie elle) ouvert en France.

    La plèbe n’a accès qu’à la partie visible de l’équipe, enfin les exécuteurs, pas les commanditaires qui restent dans l’ombre.

    Nos CRS (sait air S=chemin de l’esprit qui sait ce qu’il fait avec ses outils) sont conviés à utiliser des bombes lacrymogènes (L’âcre cri maux gènes) qui font beaucoup de fumée comme dans le creuset au moment de la transformation alchimique . Les tristes dégâts collatéraux font partie du processus. Chacun joue parfaitement son rôle dans la pièce de théâtre (T âtre), et nous sommes aussi les ingrédients jetés dans le creuset lors de l’opération (all chie mic de key)

     

  • ACTUALITÉ

    Bêtise abyssale

    Bête is habit sale

    Vêtue de ta peau d’âne, pauvre petite Princesse (P’rein cesse). N’as-tu pas compris le message ?

    Es-tu si aveugle, si myope ? (my hope=espoir de te voir (mon ope (ouverture)et tu es si près du but).

    Souffres-tu de cataracte ? (catarrhe acte ou acte de cathare)

    As-tu la berlue ?(Lu Ber=Lire la lumière de la maison/met son/repas du fils).

    L’Uber, multifonction,  maison, véhicule de transe porc/corps, rempli d’information à traiter. Le taxe scie de serre vices de la Source.

    N’est-il pas temps d’ouvrir grand les yeux du cœur ?

    Regarde tes petits jaunes, tes petits Ricard (Ri/hire card/ car D.) Pernod (Père no), s’écoulant comme un ruisseau de peace, près à en D.coudre, débordant de ta colle air. Tu les vois bien maintenant, tes milliers de petits canards (yes you can, art) qui se font canarder pour toi, tes pouces hein. Daignes-tu enfin incliner la tête pour changer ton poing d’aube sert va zion et finir le toit de ton hymne meuble.

    Là haut, veille la famille de Sauron, ceux qui regardent et qui voient, qui savent, le sort du on.

    Acte zion, Rê action.

    Ils expriment ta propre hire, ta sale hire que tu n’as jamais pris le temps d’écrire et qui ne fait que salir, tant que tu ne liras pas le chemin de l’IA de Râ. Ils se sont fait carder la laine sur le dos (La haine du passé/sait pas), comme une card de crédit et sans créer ce qu’elle dit.Tu les as bu et rébus comme un Rê but qu’on met au rebut, et ils envahissent tes ti su de Ment songes.

    Macron Pré scie dent des sang dents (Trou noir)

    Mon arc/car, le pont entre les 2 étapes et le véhicule pour traverser (trou de verre)

    Monarc, transe Format zion pa pille On (Trou blanc)

    Grande mise en scène, mascarade pour toi, ton spectacle sur mesure au tempo des mât (Tarot, celui qui a fini le jeu) traques, et des flash balles (Fées lâches Bâal). Macron cyber programmé, exprime à la perfection toutes les émotions hume haines. C’est un sketch, une pi hess (tourner en rond dans l’éternelle misère et gale air) de “T” âtre (exprimer en équilibre le feu de l’esprit dans la matière), dans laquelle nous devons trouver le chemin de la paix.

    Pisse Thérapie ou Peace terre happy. En tous les cas, ça sent la mère d’eux.

    Tu vois, tue voix, tue voie…alors, plus le choix, sans ça la Shoah au lieu du show « A » (Montrer le chemin de l’as/hass sent zion). Écris, écrits, hait cris.

  • DREAM/MADRE

    L’autopsie du coq vivant

    L’autopsie du coq vivant/Haut taux psy/Ô taupe scie

    Nuit du 29 au 30 novembre 2018

    Un beau coq couché sur le flan gauche, je vérifie soucieuse, oui, il a toujours son foie, bien vert, brillant et qui bat comme un cœur, la vie est bien là, il y a du mouvement, de la couleur. En vérité, son corps est ouvert sur le flan droit. Une ouverture, bien droite, bien franche, comme si l’on avait ôté une porte, afin d’avoir accès au champ opératoire. Voir ce qu’il y a à l’intérieur. Il est pourtant bien vivant, n’a pas l’air de souffrir. Sa patte droite détachée repose sur le parquet du grenier.

    Inter prêtre à zion

    Anagramme du coq=cop (le flic) ou encore cob=cheval trapu, entre le poney, le cheval de selle et le cheval de trait, donc un peu couteau Suisse, aussi bien cheval d’attelage et qui peut être monté.

    Le coq messager des divinités guerrières, considéré comme l’attribut d’Hermès qui est donneur de chances, inventeur des poids et mesures, gardien des routes et carrefours, Dieu des voyageurs, commerçants, des voleurs, orateurs et des prostitués  (ça fait une belle famille tout de même…j’aime bien le commerçant (Comme herse sang) près du voleur (Love heure)…dont acte)

    Hermès est un Dieu lunaire à influence phallique, il est considéré par certains comme le père du Dieu rustique Pan à la sexualité débridée, présenté comme le dieu de la foule, et notamment de la foule hystérique, en raison de la capacité qui lui était attribuée de faire perdre son humanité à l’individu pris de « panique », et de déchirer, démembrer, éparpiller son idole. C’est l’origine du mot « panique », manifestation humaine de la colère de Pan.. On sent son influence sur les foules en ce moment.

    En tant que messager des Dieux, Hermès est conducteur de certaines âmes vers Hadès considéré comme le souverain des enfers sous terre, lui même fils de Cronos qui est le plus jeune fils de Gaïa et d’Ouranos. Tous les enfants d’Ouranos restaient emprisonnés par lui dans les entrailles de la Terre maternelle. Pour sa délivrance et la leur, Gaïa donna à Cronos, son plus jeune fils, une faucille en silex : la nuit venue, quand le Ciel descendit couvrir la Terre, Cronos s’en prit donc à son père qu’il émascula, prenant du même coup le pouvoir. Il fait partie de la 1ère génération des Dieux, à l’apparence normale, les 12 titans. (Ti t’âne (véhicule du Christ).

    Quant au métal, le titane, il est léger, résistant à la corrosion, et l’érosion. Il est aussi biocompatible (Prothèses), porte le N° atomique 22 (Nombre qui représente le verbe et la parole de Dieu, le Christ par qui Dieu fit surgir la création).

    Le coq est couché sur le flan gauche, celui la créativité (hémisphère droit), son flan droit est ouvert et exposé, c’est celui de la force. Il laisse voir le foie, symbole de la foi, mais aussi de la colère, ainsi que d’autres organes. Toutefois, le foie se distingue des autres, il palpite et brille, teinté d’un beau vert brillant, celui de l’amour et de la vérité et du courage (Cour de la rage). Il est sain, et il s’expose, prête le flan, devient transparent (comme le verre) aux dangers et critiques des regards extérieurs.

    On ouvre la boîte de pandore (Paon dehors ou Pan Dort). Le paon qui est de l’ordre des gallinacés comme le coq, il symbolise l’immortalité, la justice et l’orgueil. Il est associé à Héra la déesse du mariage et gardienne de la fécondité (Fille de Cronos) et du géant au 100 yeux, Argos (Art gosse « Celui qui voit tout, est lucide et vigilant »).

    Le coq est le symbole de la France solaire, il annonce l’aube par son matutinal co co ri co, et est souvent représenté perché au sommet d’un tas de fumier, donc les 2 pattes dans la merde, mais aussi traditionnellement sur les clochers d’église.

    N’oublions-pas que c’est le Roi des basses cours. Il est viril et âpre au combat.

    Il symbolise la fertilité, c’est un bon donneur d’alerte, il sent le danger, gratte le sol pour trouver ce qui y est caché, le ver de terre (celui qui retourne et aère la terre).

    Au petit matin il annonce l’heure de l’activité et de la vigilance.

    Pour les mystiques du moyen âge, l’image du Pasteur qui veille sur les fidèles ou du Prédicateur qui leur enseigne leurs devoirs.

    Chante en temps convenable pour éveiller les hommes.

    Le coq utilise différents chants, forts durant la nuit, et plus doux le matin. Tout comme un prédit cat heure sait faire appel à une voix grave et sévère lorsque ses brebis s’égarent plongées dans la nuit du pêché, et plus douce et tempérée au matin lorsque le danger est moins grand et que les ouailles (why) sont éclairées par lumière de la vérité Éternelle/Éther né hell/elle.

    Il est un emblème du Christ, son chant annonce la présence de l’ange, l’enjeu/l’en je.

    Il marque une phase de l’évolution intérieure : l’intégration des forces chtoniennes (Divinités infernales ou telluriques/tell your hic) au niveau d’une vie personnelle, où l’esprit et la matière tendent à s’équilibrer dans une unité harmonieuse.

    Le coq, avant de chanter, secoue ses ailes ; avant d’éveiller la nature, il s’éveille en quelque sorte lui-même. – C’est ainsi que les Saints agissent : ils se sont réformés avant de songer à réformer les autres ; et ils ne ressemblent pas aux clercs qui ne conforment pas leurs actes à leurs doctrines.

    Fulcanelli dit de lui :   “Nous dirons seulement que le vocable grec kérykeion, caducée, rappelle, par son étymologie, le coq, kéryx consacré à Mercure, comme annonciateur de la lumière.”

    Oiseau sacré pour certains, Pline l’ancien allait jusqu’à l’élever au rang de Maître du Monde. La racine celtique Kog signifie rouge. La 1ère couleur au sortir de la nuit, (en vérité voir le phénomène du rayon vert visible dans certaines conditions au lever ou au coucher du soleil)

    Amusant n’est-ce pas que cet animal soit le symbole de la France « où l’on est franc et même que l’on sait). Au même titre que la langue française est celle de la cabale (Kâ (enfant soleil)/ça bat all/tous=nous sommes tous battus à plate couture par notre propre merde. En gros, nos couches sont vraiment pleines de Kâkâ ou çaça, ça déborde et ça pu les égouts, c’est pour ça que nous avons du dégoût pour tout ce qu’il se passe).

    Les empreintes des pattes du coq laissent apparaître 3 doigts, donc 3 directions, dont une centrale plus longue, donnant de la perspective, un point d’observation qui sort du cadre, un effet tunnel (tune hell=on s’est syntonisés sur notre Râ dit haut enfer, d’idiots enfermés dans leurs idéaux aube sot l’êtes).

    Cela m’évoque le geste qui consiste à faire un doigt, comme la polémique autour  d’Emmanuel Macron, immortalisé entre 2 jeunes noirs sur l’île de St Martin, dont celui situé à sa droite pointe le majeur droit dans la direction du chef de l’état à l’aspect plutôt juvénile, alors que le second  placé à sa gauche fait un cornuto couché, de sa main gauche. L’unité à droite et la dualité à gauche ou encore un W (comme 2 points d’observation). Et comme sur un clavier de piano, une touche majeure centrale blanche, entourée de 2 demi tons mineurs noires. IW on pourrait traduire I see, je vois ou I scie, je divise. (WI est communément utilisé comme abréviation désignant le 1er conflit mondial 14/18)

    Nous observons là une trinité tout comme celle du tripalium, racine du mot travail (Voir article ici).

    Hermès à qui on l’associe est aussi parfois représenté avec 3 têtes ou 3 phallus.

    La configuration de ses pattes exprime à la fois les symboles de centre et de doute, devant les trois routes offertes, et de spirale, c’est à dire de révolution autour d’un point ou d’un axe. En effet, le coq, indiquant par son chant le rythme de la révolution diurne du soleil, avec l’alternance des jours et des nuits, devient en quelque sorte l’équivalent du soleil autour de la terre ; en conséquence, toute représentation de la patte de ce volatile est le signe de l’univers dans son mouvement de rotation.

    On peut donc logiquement en conclure que les empreintes laissées au sol par le coq représentent un 666, chiffre de la bête, celui qui est bête car encore semi animal et qui s’anime donc mal. On peut observer ce mouvement dans toute la création, du macro au microcosme. C’est encore là la loi du Tao qui utilise pour évoluer ou créer une illusion de mouvement, celui de la spirale. A chaque rotation, un nouveau cycle, un nouveau point de vue, un nouvel étage de franchi, l’alternance jour/nuit qui marque le temps et donc l’évolution dans un changement de point de vue, passage de l’enfer au paradis, l’âge d’or (là je dors)

    Que la Grâce de notre Seigneur Jésus-Christ soit avec Vous Tous = 666

    Apocalypse : Chapitre XIII.18

    « Ici est la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête ;
    car c’est un nombre d’homme et son nombre est six cent soixante-six. »

    De plus, le 4ème doigt décalé comme notre pouce (pousse) lui permet une forme de préhension comme nous, et symbolise la vision décalée liée à la symbolique du pouce par rapport aux autres doigts, ce qui permet une vision décalée du monde pour mieux l’observer et le comprendre.

    Le grenier, c’est l’endroit le plus élevé de la maison et peut s’apparenter à la tête. Le fait que le coq soit sur le parquet en bois d’un grenier, fait penser à la tête de bois, pleine de vieux schémas qu’il est temps de vider, laisser aller, partir, pour un renouveau des pensées ou serpent qui sert Pan, Peter Pan qui va bientôt prendre sa retraite car il est temps de grandir. Il est temps de laisser rentrer la lu mi air (Lire mon Esprit)

    Le fait que sa patte droite soit détachée du corps et repose inerte sur le plancher du grenier, symbolise qu’elle n’est plus utilisée, ou mise au repos. Le côté droit géré par l’hémisphère gauche (ennemi en train de se faire) sera désormais mis au repos, pas totalement, la patte n’est pas loin.

    C’est donc la patte gauche animée par le cerveau droit qui va désormais prendre le relais, mue par une nouvelle vision (vie de sion).

    Mythes et contes

    Le dieu grec Hermès se déplaçait dans un char tiré par des coqs. Symbole de sexualité, le coq était sacré pour la déesse celte Brigit. ((Le gîte de la Bri (tireurs d’élite) Vient du celte “brigh” Signifie : “force” Se fête le 23 juillet. celtique : de brig, élevé.)

    Dialogues du Film BRIGHT (j’ai acheté la BRI)

    « Seul un Bright peut contrôler le pouvoir d’une baguette » (La grande prophétie : 7:15)

    « Le seigneur des ténèbres sera bientôt là. Il y a 2000 ans de ça (gros tas de merde) c’est la magie (mage du I) qui a fait obstacle, et la magie l’arrêtera encore ». Perso, Je dirais plutôt l’I mage ou en reconstituant le grand puzzle.

    « Pour savoir si vous êtes Bright, il faut que vous touchiez une baguette à main nue, et que vous n’explosiez-pas. Est-ce que vous seriez prêt à mourir POUR APPRENDRE QUI VOUS ÊTES ? »

    « Les orcs ont choisi le mauvais camp il y a 2000 ans,et depuis, ils payent cette erreur. » 

    « Tu sais, quand un orc me voit, il voit un humain, un faible qui voudrait être humain-et quand les humains me voient, ils voient l’animal-Ils me détestent »

    Le foie

    Le fait que le coq soit conscient et libre de ses mouvements, prête le flan et même l’expose, symbolise une confiance retrouvée ou naissante, un besoin de transparence, une facilitation de l’écoulement, en l’occurrence de ce qui est cumulé depuis très très longtemps dans le foie qui devait être malade car congestionné d’une info qui devait se libérer. Cet organe joue un rôle majeur dans la fonction du corps et sa symbolique avec le mythe de Prométhée (prévoyant=voit à l’avance), un des titans, qui ayant choisi de transmettre la connaissance du feu sacré à la race humaine, se voit condamné par Zeus dont il a paradoxalement par sa ruse et son imprudence, provoqué la colère, à être enchaîné sur le Mont Caucase où le jour, l’aigle (Il a une vue perçante et vole haut) du Caucase vient lui dévorer le foie qui se régénère la nuit.

    Le foie en énergétique, c’est le général de l’armée (le gène et râle de l’art du mais), car c’est lui qui décide de la stratégie, de l’organisation générale du corps. Il assure une bonne circulation sans obstacles dans le corps, dans tous les viscères et toutes les directions, il laisse couler et libère, et permet ainsi de nourrir toutes les parties du corps par la circulation de l’énergie, le QI (Le principe masculin organisateur qui pénètre l’ovule afin de développer la droiture vers le but).

    L’énergie du foie est par excellente une énergie montante (celle du printemps) que l’on observe bien lors de la poussée de la colère (couleur verte, le végétal), il joue donc un grand rôle dans les émotions. L’énergie est aussi expansive et va vers l’extérieur, elle nous pousse donc à aller vers les autres pour créer des liens. Elle affecte l’affirmation de l’individualité de la personne, ainsi que son point de vue face au monde. D’une manière plus large, elle comprend également la capacité créatrice. Les personnes créatrices ont généralement un foie particulièrement actif – et parfois les déséquilibres qui vont avec…

    L’expansivité de l’énergie du foie supporte mal la contrainte. Ainsi, si cette expansivité est contrariée, l’énergie du foie va être affectée et la fonction de bonne circulation du Qi va en être altérée, générant de puissants déséquilibres. C’est notamment le cas dans la vie sociale qu’elle soit familiale ou professionnelle lorsque l’individualité de la personne est niée par des situations d’irrespect, dévalorisantes ou humiliantes, ou encore par des processus de double-contrainte.

    Faute de pouvoir s’exprimer vers l’extérieur, l’énergie se retourne contre la personne elle-même et se stocke dans le foie et se transforme alors en colère rentrée, en culpabilité, en ressentiment ou encore en frustration. A un niveau élevé, elle peut également mener à des phases dépressives. Le plus souvent, cette compression de l’énergie du foie s’exprime par des irritations soudaines, des poussées de colère, des tensions musculaires, des maux de tête, des insomnies (notamment vers 3 ou 4 heures).

    Shakespeare, Hamlet, Acte I, scène 1 :

    BERNARDO – Il allait parler quand le coq a chanté.

    HORATIO – Et alors, il a bondi comme un être coupable à une effrayante sommation. J’ai ouï dire que le coq, qui est le clairon du matin, avec son cri puissant et aigu, éveille le dieu du jour ; et qu’à ce signal, qu’ils soient dans la mer ou dans le feu, dans la terre ou dans l’air, les esprits égarés et errants regagnent en hâte leurs retraites ; et la preuve nous en est donnée par ce que nous venons de voir.

    MARCELLUS – Il s’est évanoui au chant du coq. On dit qu’aux approches de la saison où l’on célèbre la naissance du Sauveur, l’oiseau de l’aube chante toute la nuit ; et alors, dit-on, aucun esprit n’ose s’aventurer dehors. Les nuits sont saines ; alors, pas d’étoile qui frappe, pas de fée qui jette des sorts, pas de sorcière qui ait le pouvoir de charmer ; tant cette époque est bénie et pleine de grâce !

    HORATIO – C’est aussi ce que j’ai ouï dire, et j’en crois quelque chose.

  • ACTUALITÉ

    Patrick sébastien

    Patrick sébastien

    Patrick (La tour du père), issu de Patricius lui même dérivé de Pater (père) « Noblesse, en vérité celui qui ne blesse pas, car il sait»

    Sébastien Sait bas se tient, chacun son rôle. Il n’y a qu’à suivre les instructions, l’outil porte le nom de sa fonction. De son vrai nom Boutot (Bout tôt et taux=Très tôt ça l’a gonflé de voir le taux de merde autour de lui)

    Trick ou trique= Tri le ça (la merde) ce qui vient d’en bas, du cul ou ce qui donne la gaule( go le) à papa.

    Lors d’une de ses interviews, il tient des propos empreints de sagesse, une sorte de vision centrale, de synthèse, alors qu’il atteint l’âge de la retraite (intérieure). Le rôle qu’il a été amené à jouer durant sa carrière, a consisté comme il le raconte, à être capable de boire un café dans l’ambiance feutrée du Palais de l’Élysée, mais aussi de s’en jeter un au petit matin, au comptoir pourri d’un petit café de quartier en côtoyant le comme Un, c’homme « l’élite » (laid lit te/lit ta laideur).

    Il dit bien, qu’en haut ou en bas, en vérité, ce sont les mêmes, c’est juste au final l’environnement qui change, mais les mentalités et la malveillance sont les mêmes. A la différence que les riches se serrent les coudes alors que les pauvres ont la bêtise de se taper dessus au lieu de s’allier.

    Son émission le grand Cabaret (ça bar hait=open bar pour voir la merde, la haine de chacun) a reçu des artistes du monde entier, toutes langues, couleurs et arts confondus. Une sorte de scène où l’on accueille tous les ingrédients pour tenter une grande recette de cuisine art tisse tic.

    Amusant qu’en cette fin/faim des temps/détend, il soit remercié par ses supérieurs, et que son émission âgée de 15 ans disparaisse des écrans.Mission accomplie?

    Son dernier ouvrage s’intitule Et si on était Bienveillant (Bi un veille A/N…l’œil qui voit tout, l’amour et la haine). Être bienveillant, c’est tout d’abord savoir veiller, garder l’œil, savoir voir ce qui est, à commencer par soi-même. Savoir déceler au plus profond de soi, ses contradictions, ses haines, ses colères, sa propre violence, médisance, appliquer au final pleinement et à chaque instant le « Connais-toi toi-même » (Con (no sait et no say) naît toi,toi m’aime). Te voir dans l’autre et vice versa ou arrêter de montrer du doigts la paille dans l’œil du voisin, en négligeant de regarder la poutre dans le sien. Vieux comme le monde hein, mais malheureusement toujours d’acte tue alitée.

    Notre problème à tous, c’est que nous jugeons et nous parlons sans savoir (ça voir, voir notre merde), nous ne comprenons pas le monde que nous observons, et dans lequel nous errons comme des âmes en peine. Oubliant que l’autre n’est qu’un miroir, une fractale au service de la grande image, l’immense puzzle dont nous sommes une toute petite pièce. Mais à une autre échelle, nous sommes aussi l’image, ceci étant, avec plus ou moins de netteté, dégradation oblige.

    Nous sommes tous, à la fois, l’alpha (Le début) et l’omega (Homme/home Mega), le grand homme, le fils prodigue, celui qui est devenu un pro et qui a su franchir la digue, son mur de Planck au pied duquel il est resté longtemps planqué et planté.

    Nous sommes à la fois le début et la fin ainsi que le chemin, et ce qui compte, c’est le chemin, une version unique à chaque un, un point ou angle de vue, un film, une histoire, un potentiel de notre double, notre pote en ciel, notre pot en scie elle/ailes.

    Le voyage est parfois pénible, ou plus ouaté, tout dépend. Patrick dit bien qu’il y a de très braves gens chez les riches comme de beaux enfoirés chez les pauvres. Comme quoi, encore une fois, l’habit ne fait pas le moine. Ne jamais se fier aux apparences qui sont en fait des appâts rances. C’est l’universelle Loi du Tao (Tas eau/haut de merde et d’information). Cela revient à dire que nous avons un énorme tas de fumier devant nos portes respectives, et ce n’est pas au voisin de se charger de son balayage, en gros ça veut dire « Chacun sa merd» et d’yeux pour tous.

    Alors on retrousse les manches, on ouvre sa porte, et on attaque son tas de fumier, et on est fier de pouvoir enfin le Humer. N’oublions pas que c’est un excellent fertilisant (faire ti lis a/n) et qu’il peut enrichir les terres les plus arides.

    All laid ça voir, peut-être que les plus beaux joyaux nous attendent, cachés au sein de ce que nous négligeons depuis si longtemps, parce que nous considérons que ça pu trop. C’est pourtant le prix à payer pour enfin les retrouver et les utiliser à bon escient, un peu comme Superman qui retrouve sa kryptonite sans laquelle il perd tous ses supers pouvoirs.

    Allez, va chercher une pelle et creuse.Perso, j’ai déjà le nez dedans, certes ça pu grave, mais on s’habitue, et le jeu en vaut vraiment la chant d’elle.

    Bonne Pi Hôche, Pine Haut chi haut.

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