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    Au jeu de l’oie

     

    Dans mon jar d’un Dell aid aine

     

     

    Oyez Ô y est bonnes gens

    ayez bon pied bon œil

    Saut nez les mate in

    en cette période de foi Graal

    et de défit science démuni taire

    Soit tu l’ois pour l’oint sur son îlot

    soit tue loi et les matons ne sont plus très loin

    sur la toile de ton Pâtre on d’inter fait rance.

    Gare à la maîtrise de ton 42 décis Bell

    sinon un long séjour dans le labyrinthe de la case prison

    n’attend plus que toit.

     

    La bouche ceinte comme chacun

    d’un filtre hack à fée

    jet tas mine mes paroles

    dans le seul but

    de laisser s’écouler dans le tube

    de ma vox pot pu lie

    le neck tare de mes grains de faux lie

    Gage d’un Gentil coup de fou est

    dans mon bassin matinal

     

    Sat âne sur mon trône

    les nouvelles fraîches à la Lune,

    Je lis la lie de Ceint tes lois

    et plus j’étudie mes émois

    plus je renforce mon petit Lion

    divin ouvrier au cœur de mes cellules

    garant de mon summus faber de

    jeune Fabre en pleine Puberté et en quête de libère Té

     

    Donne-moi un lévRier mon beau merle

    et je soulèverais LEM onde me dis-je

    A l’or je me sens poucet des zèles

    que jeu ment presse d’œufs Rê prix met

     

     

     

     

    Petit deviendrons grand

    le temps du Toy ota

    le temps de grande ire

    où tu ois le jeu du tao

    que je rie enfin de bond cœur

     depuis l’autre côté du pont.

     

    Alors qu’est-ce que tu me ponds ?

    Quel petit cas ka nerf vœu

    vais-je poux voir te hacker ?

     

    Attention de ne pas tomber

    dans la tombe que tu auras creuset

    de tes propres mains

    car une fois dans l’allant bique

    tu n’as pas d’autre choix que de paix daller

    afin d’arriver au seau met.

     

    Allez mon criquet ! allume ton briquet !

    effet la lumière en toit

    que je te donne un sceau Bri key

    bien mérité.

     

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    Sens tant de connerie

     

    Temps de l’épure à Sion

     

     

    Sur le toit de sa niche

    ton chien Ab oit

    héla car havane pass

     

    Petite scie toit hyène

    ouvre ton crâne d’âne

    et relâche les vannes

    de ton vase chinois

    de ton crâne d’œuf

    qui nécessite de toute urgence

    un bon scalpe

    un coup de Tome A walk

    du bon chef see you

    qui te fera marcher dans les étoiles

    et te feu Râ voir 36 champs d’ailes

    lorsque tu en dégusteras le jaune

    à l’aide d’une mouillette de pain.

    Finies les miettes de pain

    Oui, laisse toi ouvre ire le crâne

    ou tu te feu Râ

    saut nez les cloches

    et peloter les loches

    sur le coups de 8 heures

     

    Sœur âne

    ne voix-tue rien venir

    si tu veux devenir zen

    ôte ta cire

    et entend celui qui crie

    as-tu tête ?

    Ire honnie du saure

    petit rep p’tit lien

    en manque d’heureux père

    ne peux-tu enfin où ire

    et remonter lentement ton nil

    tenant fermement à la proue

    de ton félouque

    l’éclairage tremblotant

    de ta lanterne d’ère mythe

     

     

    En attendant la fin de la Traversée, je vais me mettre au xylophone

     

    Quels travers sait deux paris

    petite et grande ceinture

    maîtrise-tu les parcours

    as-tu carotté outré pas nez ta dure-mère ?

    Que choisis-tu comme rôle

    un tonitruant Grandgil

    une girouette Martin

    Un veule jambier

    que le plus grand dealer

    oui, celui qui dit l’heure

    fait vriller ?

    je ne choisis pas ou plus

    parce que je sais que je suis

    tous ces rôles et aucuns à la fois

    Je traverse mon Paris

    ma Cène de la rive droite à la rive gauche,

    je n’ai plus 2 mains gauches

    j’ai posé mon hochet et arrêté de dire

    NON

    atout boue de chant

    Jet Ma sacré mon cochon dans ma caverne de Platon

    puis rempli ma valise de paon door

    de mes plus gros travers

    Ma valise encart thon chargée sur mes épaules,

    je ne porte plus le pois du m’onde,

    je sens la vibe

    et j’entends le feu Râ cas de laid fondre ment

    de mon corps calle eux,

    mon mur de planck

    au pieds duquel je m’étais planquée

    et dans l’ombre duquel j’avais

    con tracté un rhume de cerveau.

    Hâte chiourme le fer au pied

    J’ai perdu ma gourme,

    plus besoin de bijoux de famille argent tics

    au poids nié

    Et je me dis bien volontiers sale eau de pauvre

    devant ma station d’épure à Sion.

     

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    Dans le monde de NAR NIA

    Je narre mon ina.fr
    et je nais une seconde fois
    en me libérant de mes sépias
    témoins de mes anciennes jaunisses
    de mes vieilles col ères.
     
    Le monde écho D alors Des codons 
    Depuis nos condos de condors,
    ôtons nos cons d’OM
    pour aller à la rencontre de nos dons
    et changer la déco
    sondons-nous au plus profond de nos deepstate
    à la rencontre de notre coq
    véritable cop de tout ce qui poc
    dans le boc qu’est chaque doc de nos tradez haine
    Oui cooptons-nous
    et n’oublions-pas que,

    Le ciné MA

    Il est à la maison

    Achat Caïn sa cuisine aube heure

    Bienvenu dans ma salle aube se cure

    où je te dis Rê qui tuer

    Revêtue de ma tenue de Don Cam îlot

    jeu Dé rule vint cas tri mages sec onde

    je me confonds en excuses

    pour mon manque flagrant de vertus

    étouffant derrière le reflux gaz trique de mes paroles acerbes

    embouteillées derrière mon col de Clerc gît manne

    Mam aire, que je vois danser le long de mes golfs pas très clairs
    voile mon regard de ses embruns si salés qu’ils en irritent ce
    qu’il me reste de peau recouvrant ce vise âge de triste sire
    aux oreilles encore pleines de cire âge
    résidus de désirs d’un otage
    d’un nôtre temps
     
    Corvée de plonge
     
    Bob l’éponge a eu un songe
    Quelle drôle de Bob in lui renvoie son bac en in ox
    qui lui sert de mire roi improvisé.
     
    Mais c’est un hoax s’écrit-il face à ce reflet D’effort met
    de son petit corps.
    Ce n’est pas vrai, je ne me suis jamais pris
    pour une grenouille qui voulait se faire plus grosse qu’un boeuf
     
    Quelle épopée alvéolaire,
    quel vertigineux plongeon en perspective.
    Encore et toujours de corvée de vais selle se dit-il
     
    Une pincée de principe sol air
    pour réchauffer mon bain
    serait le bien voeu nu
     
    Soudain, une main gantée le saisit
    tout comme un cave à lier empressé,
    enserre la taille de sa partenaire
    avant de l’entraîner dans une danse endiablée.
     
    Mais il n’aura donc jamais pitié de moi !
    Que n’inventerait-il
    pour met saurez jusqu’à la dernière goutte.
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