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    Tu chies dans ton froc

    Du chi Danton frog

    T’es dans ton fog, ton brouillard, tu traverses ton marée cage. Tu vœux Co « A » ? Rester dans ta casse rôle-Cuire à petit feu, ou lâche hais un tel vent, qu’il te propulse Râ à l’autre bord des horizons des Eve haine ment.

    Ton nez nu phare de clown, de lent Ça voir, n’est qu’un leurre, juste le temps où celui qui Satan se re père, le temps de fer le mâle puis de faire la paire, pour finir par se faire la malle. Alors, Ad’yeux le mal additionné, car Danton acharnement garnement, tu n’auras pas perdu la tête pourri un.

    Saute, sotte, change deux bords, fée le pont au lieu de faire le con, la fente ohm êtes qui erre depuis longtemps, laissant tourner le même air vicié, la même chance honnête démo « n » d. Des or met, le repas de mots nés de tes maux n’en sera que plus dit geste, car faire tes preuves tu dois pour passer l’épreuve.

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    Fais comme l’oiseau

    Fée c’ohm meuuuuhhhhh loi sot

    Ça vit d’air pur et d’eau fraîche un oie saut. Comme il le chante si bien le Miche hell, le mi Kâ elle, qui écrit de belles fugues pour le Un, et qui sonnent bien. Chante l’avis de ton champ c’homme si tue deux « V » mou rire à deux mains, c’ohm si sait « T » elle ta dernière Chance, Sheila que tu dois saisir fermement avec aisance les anses de ta marre mythe, courbée et si hume haine au dessus de ta fosse d’aisance. Le sens-tu le doux fumet, de ta belle cuisine interne, enfermée dans ta boîte de Paon dehors, noix y es dans tes aima nation. Traverser-tu dois tes marais putrides, découvrir et ouvrir ta nasse au fond de laquelle repose sagement le I (ta droiture) et le on (Le secret de la mât hier).

    Alors check et shake, fais ton shreck, ton hulk, pique ta colère, devient vert, puis de verre et va vers, à travers ton labyrinthe, rencontre ton minot qui a tort, et ferme zi son clap hais de faim.

    C’est un beau Rom a/n, sait tune bêêêêle hisse toi Rê. Ton jeu de L’oie tu parcourras, case après case, hé tape après étape tu franchiras les aubes Tacles sur le chemin, c’est du sport, qui attaque tes pores, tu ressemble parfois à un porc, mais c’est pour mieux atteindre ton Port.

    Ne brûle pas les étapes, savoure le chemin, à la fin, chacun rentre chez soi, Mais là haut, il n’y aura plus de brouille art pour lui, et elle aura retrouvé son mi dit, car c’est une Rome en ce d’ô jour du « I ».

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    Couleuvre ovovivipare-Le temps de la mutation

    Cool œuvre eau veau vit vie part

    Le temps de la Mute à zion

    Elle m’a rang dû visite il y ad deux songes. Il est né le dix vin enfant, la couleuvre, a lâché seth enfants moins quatre mornés, privés qu’ils étaient de leurs armes naturelles. La porte a été franchie, 11 (La porte, la force du lit on)- 4 (la mâte hier). Au risque de paraître cold, elle est en verre I tétée cool maman couleuvre, pas de colle chez elle, elle aime tellement ses enfants, pas besoin de cordon ombilical. Ils sont dotés de leur propre centre, ils lisent leur ombre et ne risquent plus de caler, sachant désormais comment ça léger.

    Le véhicule, le chariot est prêt et se mettre en branle, tiré par les chevaux dont il tient fermement les rênes, les reines ou les haines de Rê. La fusée à 7 étages a allumé ses moteurs et peut des or mets décoller et se libérer ainsi des 4 éléments. La messe édite. Je piaffe d’un pas science.

    La séparation des zoo du bas et des eaux du haut est effective. Par ton labo oratoire, le récit dû, doit rester au fond de la mine de crée y on et de cube IA, afin que s’épanchent les selles sur lesquelles tu te penches enfin.

    Mouais, je l’avoue, même si désormais je m’y voue pour vous, pour nous, ça sent pas bon cette Ôde heure de souffre rance, d’œuf pour “I”. Ainsi Lucie fit air de porter Ça lu mi air dans les recoins les plus sombres de notre hisse toit Rê, que zion fasse enfin silence sur cette pestilence.

    Dit âme en terre.

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    Poussière d’étoiles délivre des livres

    Pouce hier dais toile Délivre des livres.

    Levant l’a/n porte Râ. Sens-tu la brise se lever, ne brandit pas ton brise l’âme. Rest pire in peace, lâche, ne sois pas lâche, ne brandit pas ta hache, car elle te reviend’râ comme un boom rang. Tu as ta place dans la grande I mâge, si tu fée ton taffe, tu ne seras pas hé part pillée façon puzzle par les tontons flingue heure. La porte est toujours ouverte, laisse levant s’engouffrer dans la fente. Le fantôme dans l’amatrice déploie ses ailes, laisse venir la temps pète à toit. Les mots/maux heurts vont rugir, le dais colle âge est pour bientôt.

    La rampe de lent semant est assemblée, fièrement dressée, mais ne t’y fie pas, c’est un leurre, pas de décolle âge à l’or y sont, mais délit te ment telle lu scie. Peter Pan prend sa retraite. Les noces barre barre auront lieu le 23 Décembre avant les cendres.

    Les crocs maux somme dans l’hâte mots se faire.

    C’est l’heure des comptes pour nos contes, prends ta plume et suis ton destin, écrit jusqu’à plus soif ta gène et tics, écrit ton Adn, D.livre ton livre, n’en fais pas des tonnes, mais des tomes, afin qu’enfin de petit ohm tu deviennes grand tome.

    La chroniqueuse de Dit Âme a/n

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    Ton talon d’Achille

    Ton tas lent d’hache il.

    Telle un Talleyrand au pied bot, clampin clôt pa/n tu t’es répandue dans ta propre fange, pris les pieds dans ton tapis. Hais hais, tu l’avais pas vue venir scelle là…

    « La madame elle est pas là » tu disais en planquant ta mère de dèche hait sous la mot/maux quête.

    « Sa gîte hait avant de s’en servir » disait-il du peuple. Et toi, que fais-tu ? Tu te dais anche péniblement, tu rouilles ma vieille, tu sens le moi si, tu ne sais pas aimer, tu prends, mais donner, là, y’a plus père sonne. Alors tu jettes le dais et le trône, t’es vrai ment cône hic.

    Et si c’était à refaire, avec des scies, on peut longtemps découper les mère de en Oui.

    Putain de bord d’elle de mère de ça race…Ça fée chier au temps de connerie.

    Allez quoi Jac hôte the ripper, mets tes putains de tripes sur la table, fais-toi ah Râ qui rit, vois le travail, y’en a du monde dans ton creuset. De quoi faire un bon rat goût, mais pas très ragoutant au fit âne al…banc d’ank cul laids.

    T’as le co-heurt qui bat la meuhhhh sûre dans ton beuh don, ah ah t’as vu comment ça cause, l’or rit jaune sur l’or rit gin, oui tes gins ceux planqués dans ta lampe d’all à daim, il est où ton banc bi ton bambin. T’as plus qu’à l’as ticket pour l’affaire Bri est.

    Ben vi, t’as un vise heure, pourquoi tu t’en sers pas…c’est pour ça qu’t’es une taupe, bien planquée, bien au chaud sous ton tas de fût nié. Achètes-toi des lu nettes, haut lieu de regarder par le petit boue de la l’or niet niet came à rade.

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    Décide ou décède

    Des Cid ou dé cède

    Des Cid ou dé cède, car le compte à rebours est enclenché et il n’arrêtera pas sa course folle, Chronos te rongera les os, tu as allumé la mèche et la bombe n’aura pas de retard, ne sois donc pas retors et accepte ton sort, alors sors, ai du ressort, accepte de rebondir avec joie et souplesse, thèse anti-thèse et sainte thèse, tout est bon dans l’étroit petit cochon. L’hack eux en tire bouche on. Arrête de dire no avec ta bouche que tu crois sans dents, car tu allumes des un cent dix qui feront des dégâts dont tu n’as pas idée, escalade ton goal go tas. Tourne ta langue 7 fois dans ta bouche avant de sortir un vœux nain qui n’aura de cesse d’hallali ment « T » des plantes Fan haït.

    Eh l’eut main t’es-tue demandé pourquoi tu l’as père due. Depuis, tu erres, sur ton con t’y nan paire due, en boucle ta comptine tourne dans ta boîte à pouls, mais sais-tu seule ment quelle cas dense tu impôt Zzzzzzzz.

    Sortir de la grotte il est plus que temps. Arrêter de pro je t’ai tes ombres. Les jours du zombi sont comptés, l’heure du Rê veille sonne. Écoute le son des noces, la nuit s’efface pour laisser place aux nouveaux Rê y Ons/Son. Le règne du No sait doit s’effacer, laisser place au ça voir. Voir ton ça, voir ta merde, tu es mère de ton ÇA.

    Toi ton labo ton labeur, écoute bien, c’est l’heure de cuisiner ta nouvelle soupe co(S)mique, d’allumer le feu sous tes casse-rôles que l’on sache enfin de quel bois tu te chauffes, de quels breuvages tu te délectes ou tu te ça houle.

    De quel soap, de quelle source émane ce délire « I » ohm très mince.

    Ne mors pas le Sein qui t’as nourrie ou ce dernier t’empoisonnera avec son lait reflétant ton laid.

    Ça tourne, Saturne, dans sa turne, l’œuvre O roi de la haine, au pied de son mur de Planck, de sa grotte, face à son trou noir, mort de trouille devant la béance de ce puits sans fond, ainsi font fond faon les petites marie O nettes. Entends-tu la petite muse du hic.

    Ton plomb tas l’ourdie tant pois son, et tel un pur sot se roulant dans sa propre fange oint par ta gangue de goudron et ton duvet de pouce un, tu persistes pourtant à le tendre vers le bas, alors que le roi est nu et qu’il remplit en vain son tonne haut des danaïdes.

    Le vert tige te guette perché qu’il est sur sa branche tel un corps beau qui tient en son bec un vile Un faux mage qui pu te rang saigner sur qui tuer. Mu tu seras de force par la migre à zion, même si tu te grimes, tu ne peux plus en réchapper, alors prépare tes bas gages all chie mickey.

    Toi le mât n’oublie pas d’utiliser les sels dans ton bal huchon, et remonte à la source qui t’a enfant « T », allez hue dada, en vois-tu rê si môme.

    L’heurt est venu, tu ne peux plus en Rêche happer, alors décide ou D. s’aide, et n’oublie que D c’est d.

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