Articles

RSA pour RAS à SAR

 

 

“Il faut une infinie patience pour attendre toujours ce qui n’arrive jamais.”

Pierre Dac

 

Revenu de solidarité active ( Rê voeux nu de sol Idée d’art hit T acte de la vie) pour le rien à signaler, mais si il bosse sa bosse, il sera son altesse sérénissime, son propre boss 117. L’art du cheminement de Râ. Doll hard (l’art de la poupée qui te berce dans les illusions de la matière et donc de la course à l’oseille) ou de l’art si tu te réveilles et te souviens de qui tu es et pourquoi tu es venu.

RSA

                Le maousse tic

Ah le bel acronyme, sac fourre tout où l’on jette pèle mêle tout le rebut des pseudos fainéants ou losers (ils servent l’OS, le vieux système d’exploitation) de cette magnifique société où il fait bon vivre pour les dits winners. (Mineurs comme les autres qui s’ignorent)

Au delà des clivages issus d’une belle fainéantise intellectuelle et des raccourcis qui rallongent, il est intéressant de tenter l’exercice d’un autre angle d’observation ou de décryptage à la sauce langage des oiseaux.

Notre cher Élyséen (Élisez-un ou elle lisait un) nous l’a bien dit, les minnie ma sot scie haut coûtent un pot nions de dingue (ding dong fait la cloche-la clé du hochet). La dengue, c’est une maladie transmise par le mouse tic Tigre. De quoi devenir r’âge eux non. Bien au contraire, tout comme Lab elle Hautbois dormant une fois contaminée par l’ingestion du poison subtilement dissimulé au cœur de la chair de la pomme rouge (de colle air) par la méchante sorcière, l’on est frappé d’une grande fatigue, de douleurs articulaires et musculaires, de fièvre. L’ensemble de ces symptômes nous maintient dans un état modifié de conscience, où l’on reste prisonnier entre 2 mondes. Nous errons ainsi en quête de jalons auxquels se raccrocher, armés du plus profond désespoir à la plus terrible colère prête à s’abattre aveuglément sur le 1er prêt texte

Notre cheminement terrestre en 3D et en 3 temps est parsemé de marqueurs, de repères dont le but est de retrouver le trajet menant à l’unité comme notre petit pouls sait, qui retrouve ses traces dans la forêt. C’est pourquoi les personnes « bénéficiaires » du RSA devraient se pencher plus avant sur ce que cet état financier, matériel et temporel implique présentement dans leur vie. Ils sont ces personnes errant entre deux mondes, ne sachant plus réellement où se situe leur place. Ils ont le sentiment pour certains d’avoir quitté de leur plein grès la vieille matrice ou pour d’autres d’avoir été expulsés de l’ancien monde.

    Fusionne et tu pourras-être

On peut les classer en 3 groupes. Ceux qui disent définitivement NON, ceux qui disent encore OUI, et ceux qui disent l’aide eux mon gène et râle, et ce sont ceux-là qui m’intéressent car ils se situent dans le PEUT-ÊTRE, la synthèse ou fusion des 2 autres positions en opposition, sans lesquelles cette 3ème situation ne serait pas possible. Ceci est à l’image de la nécessité incontournable de la rencontre d’un principe masculin avec un principe féminin pour générer une nouvelle vie.

Il ne s’agit pas de rejeter, mais de mettre à plat pour étudier et comprendre puis de créer quelque chose de mieux parce qu’optimisé, une sorte de pont, de transition ou de mutation. Un peu comme des personnes qui, faute de moyens récupèrent de vieux objets, les remastérisent et en créent de nouveaux. C’est une forme de recyclage amélioré. C’est cela qui est proposé aux bénéficiaires des minimas, chercher à se réinventer mais à partir de bases fortes cette fois-ci.

Disposer de temps est un luxe dans un monde où tout se comptabilise et valorise justement par le facteur scie clique. Cette matrice étant une prison temporelle, il faut donc en profiter pour en faire quelque chose. C’est exactement le même exemple que des prisonniers condamnés à de longues peines. Certains vont se jeter sur les études afin de passer des diplômes, lire, faire du sport, bref chercher par tous les moyens à se structurer et discipliner sur les plans physique, intellectuel, et spirituel, alors que d’autres vont se laisser aller, continuer leurs petits trafics. Il n’y a pas besoin d’être grand clair pour deviner lequel des 2 groupe va pouvoir s’adapter à la transition entre la période d’incarcération et la réinsertion dans un monde qui entre temps aura muté dans des proportions parfois phénoménales.

Séquence

Pour pouvoir sortir de prison dans les meilleures conditions afin d’avoir un avenir, une place, une fonction juste et utile, il faut impérativement se donner les moyens d’effectuer une tâche certes contraignante, mais qui en vaut la chandelle. Le lent et parfois pénible et douloureux travail auquel s’astreindre auparavant n’attire pas foule, mais après vient la joie, car tout travail qui plus est bien fait mérite Rê con panse. La séquence en langue des oiseaux signifie, quand est-ce que tu te penches sur ce qu’il se passe en toi, c’est justement la meilleure stratégie à adopter afin de créer ton en Ploie. Celui pour lequel tu es fait. Tous les autres boue low que tu cherches ne sont que vagues Pis à lait, où l’on te considère comme une vache laid tiers en attendant que tu t’occupes pleinement de développer ton art afin qu’il soit mis au service de tous.

RAS

Dans l’inconscient collectif tout du moins français, cet acronyme sonne comme une sorte de maladie de peau dangereusement transmissible, une pierre d’achoppement sur laquelle le contaminé aurait buté, faute d’avoir eu le courage et la volonté de lever la jambe suffisamment haut. Rien à signaler, Laid lake trop en sait falot grr râme est plat.

Ce serait donc des fainéants préférant se laisser porter par les derniers courageux bagnards rameurs, qui seuls continuent à faire se déplacer le bateau économico terrestre. Seulement voilà, aucun de ces derniers courent rageux rameurs n’a cherché à vérifier dans quelle direction allait la dite embarcation sur laquelle nous sommes tous embarqués de grès ou de force. M’aidant quel BUT tout cela ?

Ben Hur Ton fils le gars l’est rien parce kill létale l’ouest alors on le met Allah benne.

Ceux qui ont apparemment abandonné leur position de vaillant rameurs sont-ils véritablement des coupables que nous devons montrer du doigt et accuser de tirer au flanc. Ou bien, ne devrions-nous pas volontairement nous soumettre à une honnête introspection et ce, quelle que soit notre situation, afin de déceler en nous ce que nous cherchons désespérément à camoufler au regard des autres, en nous agitant dans tous les sens, afin de donner le change dans cette immense farce de concours simiesque.

Concours d’horribles Grime hass. Qui aura la palme d’or ? Ça sent le Napalm.

N’oublions-pas que nous sommes en train de traverser la période des grandes Tri bu la zion, la grande révélation (réveil à zion), la mise à nu/un de notre esprit, l’arrivée des 4 Caves alliées de lap Ô cale ipse ou pise/peace (Moi-même m’aime ou mème, toi-même, lui-même, en personne. En père son, ampère son)

Les valeurs qui ont fondé cette société sont en bout de course et en train de s’effondrer. Elles ne tiennent visiblement plus que par quelques bouts de sparadrap (paré d’un drap qui voile les zappa rances et nul n’est besoin d’accuser son prochain, car nous sommes respectivement ceux qui tenons à bout de bras ces voiles devant nos yeux, comme ça, nous pouvons retourner nous vautrer dans le canna paix baffrer nos chips et téter nos bières (en attendant la mise en bière) devant une émission de t’es laid réa lie T. ET nous sommes en train de boire le Kâ lisse jusqu’allalih).

Nos gouverne et ment ont de plus en plus de mal à maintenir le décor qui se déchire de plus en plus, laissant apparaître justement l’envers de l’image et toute la machinerie chargée de la produire.

Communiquer en langue d’Oc de la nouvelle acquitte haine.

Et ceux qui ont commencé à percevoir la présence de la nature du backstage, ce sont bien souvent des personnes qui ont commencé à douter de devoir coûte que coûte pomper comme des shadoks ultra formatés, car malmenés par le système qui s’avère au final n’être qu’une vaste entreprise à broyer et recycler les plus fragiles.

La sagesse populaire nous transmet bien que : « Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. » Le fait est que malgré les apparences qui sont donc par définition trompeuses, les personnes qui ont l’air de tout posséder pour leur bien être physique et moral, sont en vérité des personnes extrêmement fragiles à bien des niveaux. Certes, tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Mais n’oublions-pas aussi que les premiers seront les derniers.

SAR

Alors les personnes qui perçoivent le RSA sont aussi face à un triptyque qui peut les laisser perplexes en l’absence du didacticiel réunificateur qui change totalement la donne.

Cette position sociétale (structure) a donc un but, sa raison d’être, et elle concerne des êtres qui ont renoncé à quelque chose. Pour certains, c’est le renoncement total où l’on choisit la capitulation complète (l’amor atout lésé t’âge), on ne fait même pas l’effort de se poser de légitimes questions sur l’étrange façon dont ce monde fonctionne. A croire qu’ils sont atteints de mal-voyance et de difficulté de repérage dans l’espace, incapables de constater que tout fonctionne à l’envers, que nous marchons sur la tête, heckel téte (Chaussures de sécurité chantiers).

D’aucuns répéteront en boucle sur les plateaux mère d’IA tics  men stream (ils produisent le courant de pensée pour les non Pan soeur)  que ce sont dessert veau mâle ad(ditionnés ou auditionnés)

Cap I Thulé cyprès du but, c’est vraiment dôme mage.

Le cyprès (celui qui nous divise pour mieux nous étudier est si près de nous, intrication quand tic) symbolise le monde vertical. Cyparisse aimé d’Apollon choisit de verser d’éternelles larmes de tristesse à la mort de son cerf transpercé d’une lance. En réponse, il est transformé en cyprès symbole de Deuil. cette métamorphose est aussi une manière d’atteindre l’éternité sans avoir à passer par les Enfers et une survie toujours renaissante.(pour quitter la roue de la réincarnation)

THULÉ

Au IIe siècle , Antoine Diogène écrit Les Merveilles d’au-delà de Thulé (Tα υπερ Θoυλην απιστα), un ouvrage relatant ses voyages à Thulé et ailleurs. Pline l’Ancien précise que des navires partent des îles de Nérigon et de Scandie pour Thulé4.

Le terme de Thule figure également dans les Géorgiques5 du poète romain Virgile. Chez les Romains, Extrema Thule désigne la limite septentrionale du monde connu. Ptolémée le situe au 63° N de latitude dans son ouvrage Géographie.

Dans la Vie d’Agricola, Tacite mentionne que les équipages « la virent distinctement » (Vie d’Agricola, X. 6), mais « reçurent l’ordre de ne pas aller plus loin ».

Au VIe siècle, Procope de Césarée dit à propos de Thulé : « Cette île est dix fois plus grande que l’Angleterre, et en est assez éloignée. Du côté du septentrion, la plus grande partie est déserte. La partie qui est habitée contient treize peuples, commandés par autant de rois. Il y arrive une chose merveilleuse. Tous les ans vers le solstice d’été, le soleil paraît quarante jours continus sur leur horizon ; six mois après ils ont quarante jours de nuit, qui sont pour eux des jours de douleur et de tristesse, parce qu’ils ne peuvent entretenir aucun commerce »6.

Durant l’époque médiévale, Ultima Thule est parfois utilisé comme le nom latin du Groenland alors que Thule désigne l’Islande.

Au XXe siècle, les mouvements pangermanistes (Société de Thulé) et l’écrivain français Jean Mabire associent Thulé au mythique continent d’Hyperborée qu’ils considèrent comme le « berceau » de la race aryenne.

En 1941, la base aérienne de Thulé est nommée d’après son nom.

Par sa position mythique extrême, Thulé est parfois employée pour désigner le point le plus au Nord (d´où son appellation fréquente de Ultima Thulé), une espèce d’absolu indépassable, proche de l’idée de bout du monde.

Au XVIe siècle, Agrippa d’Aubigné fait une discrète référence à Thulé dans le livre VII des Tragiques :

Tous sortent de la mort comme l’on sort d’un songe.
Les corps par les tyrans autrefois déchirés

Se sont en un moment en leurs corps asserrés,
Bien qu’un bras ait vogué par la mer écumeuse
De l’Afrique brûlée en Thulé froiduleuse.
Les cendres des brûlés volent de toutes parts ;
Les brins, plutôt unis qu’ils ne furent épars,
Viennent à leur poteau, en cette heureuse place,
Riant au ciel riant, d’une agréable audace.

— Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques, livre VI

 

Pour d’autres, cela va du tiède au chaud brûlant désir de se réinsérer, refaire parti du voyage, de remonter en selle comme on dit, ou encore de reprendre leur place de rameur officiel. Là aussi c’est triste, parce qu’après tous leurs efforts pour se hisser à bord et reprendre leur place de galérien fraîchement laissée par un prédécesseur venant de tomber d’épuisement, ils ne tarderont pas à y laisser leur âme et leur peau. Comme dit zézette dans Le père no hell est tune Or dur: « Je demain, jeu de vile un ou vit l’un. »

Il existe une 3ème cathé go rie dont je fais partie qui prend la peine après étude, d’effectuer une synthèse des deux 1ères. Coucher les pouces non, remonter en selle pour continuer à gaver de son énergie ce monde en perdition, et ce à perte, sans façon. Cette sainte taise consiste en un mélange équilibré de l’expression de son essence mise au service d’un monde en totale mutation.

Notre monde fait sa mu tout comme un serpent, et les bénéficiaires du RAS ont leur rôle à jouer pour accompagner intelligemment et avec leur créativité ce processus. Vous nourrissez le sentiment de n’avoir jamais eu votre place dans ce monde. Hé bien cela signifie tout simplement que vous devez la créer ou plus exactement la trouver car elle n’attend que vous, mais le fait est qu’elle est intrinsèquement liée à votre conscience ou tout du moins son débridage. Et ce qui précisément la bride, c’est tout votre système de croyances.

Cette place est en vérité un état d’être, celui de l’état plasmique. C’est un état de fluidité. Plasma=ma place. Pour atteindre un état de fluidité, hé bien il faut en quelque sorte abattre les barrières à l’origine des freins et des stagnations qui figent les différentes tentatives de mouvement en nos esprits. Ces mouvement sont impulsés depuis la zone ionisante que notre planète est en train de traverser.

Les freins de l’humanité sont toutes les croyances qui nous habitent, qui formatent nos esprits pourtant vierges à la naissance, quand bien même notre essence est déjà pleinement active. Je me rappelle du film « Que sait-on vraiment de la réalité » sorti en 2004. 15 ans déjà que l’on commençait à exposer dans un langage plus abordable pour le grand public, les notions de base de la mécanique quantique, afin d’envisager autrement la réalité de notre monde, dont on nous avait inculqué avec force conviction à travers les slogans religieux scientifiques, que la matière qui nous entoure ainsi que celle de notre corps était immuable. Sans compter l’inéluctabilité de sa dégradation. L’invalidation ou la remise en cause de la génétique depuis le développement de l’épigénétique, a contribué à révéler la plasticité et la capacité de régénérescence du cerveau sans compter ce qu’est véritablement la matière et jusque dans quelle mesure nous en serions prisonniers ou pourquoi pas en maîtrise.

Inutile de résister, hope t’es pour la sup Râ con duc ti vi T.

La faim de l’arrêt Isis tance

Au final, il est plus que temps et légitime de se poser la question : « Que savons-nous précisément de la pseudo réalité ? »Et qui a intérêt à nous maintenir coûte que coûte dans ces croyances pourtant d’un autre temps ? Alors que nous sommes (apparemment) au 21 ème siècle, nous vivons encore dans des croyances du 19 ème, et continuons à répéter comme des perroquets des lois comme des vérités, qu’il est interdit de remettre en cause, alors que nous n’avons jamais pu les vérifier par nous même.

Grave pire Rip que nous creusons avec notre bête hisse.

Croire encore aujourd’hui à la théorie de la gravité s’apparente à creuser sa tombe (grave) de ses propres mains. La seule gravité qui existe est celle de notre ignorance du fonctionnement réel de notre environnement. La GRAVE I T, c’est comme un collapse, il y a quelque chose qui ne colle pas essai laid fondre ment, la singularité, et nous sommes en plein deux dents (n’est-ce pas BB cas d’homme).

En effet, ce sont des collèges de scientifiques/chercheurs (et non trouveurs) qui fonctionnent à coup de financements, qui pour l’ensemble proviennent de groupes très puissants, qui ont intérêt à nous maintenir dans une bêtise crasse, qui nous répètent en boucle des âneries que nous avalisons, impressionnés que nous sommes (dressage oblige) par leurs blouses blanches et leurs diplômes.

Alors je pose la question, que savons-nous de nous même ? Ne croyez-vous pas que si nous avions pris la peine de chercher assidûment la réponse à cette question, il serait impossible à qui que ce soit sur cette planète d’avoir la moindre ascendance sur nous.

Rappelez-vous, plus d’une fois j’ai évoqué la célèbre citation qu’on nous répète à l’envie sans que nous l’entendions d’ailleurs : « connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux. »

Peut-être parce que tu es à la fois l’univers et les Dieux, et si tu veux avoir une chance de trouver, tu ferais bien d’orienter ta quête à l’intérieur de toi-même. Nul n’est besoin de partir à l’autre bout du monde, car tu es la réponse à toutes tes questions.

Pour cela, il te faut ouvrir le coffre fort, tu es la caverne d’All lit baba. C’est le BABA de ta quête. Tu es le baba Or’homme que tu rêves de savourer. J’en ai déjà parlé, tu dois t’étudier comme si ta survie en dépendait. Une fois ces réponses trouvées, tu sauras naturellement quelle est ta place et ton rôle en ce monde.

En vérité si ce monde s’avère une totale cacophonie, c’est qu’aucun musicien n’est à sa place et ne joue de son véritable instrument. Chaque humain est son propre instrument et possède sa place dans le grand orchestre planétaire. De plus, personne n’écoute et ne suis le chef d’orchestre, tout du moins, celui qui donne le tempo (le créateur).

Nous n’en faisons qu’à notre tête et nous battons tous pour la place unique de directeur muse hic cale qui est déjà prise. Non content, nous tapons en plus respectivement sur le voisin, ne supportant pas le bruit qu’il fait lui aussi, mais oubliant au pas sage que nous en produisons autant que lui.

Le Sar (Le chemin de celui qui râle tout du long et c’est vrai que selon y’a de quoi Râ laid) c’est aussi à une autre échelle et une autre capsule temps pour elle une période de 3 600 années de 360 jours (360° l’étang de fer le tour de pise) dans la mythologie sumérienne. (Su mère hyène)

Vé le Roi

 Alors que préfères-tu l’ami ? RSA-RAS ou SAR. A toit d’eux voir.

Il te faut ceindre tes tics en devenant synthétique pour révéler enfin le véritable complet musicien quête tuée. Tu es à la fois l’instrument, l’interprète, le compositeur, la partition, les notes, tout l’orchestre et le maestro (arôme du chemin de l’omerta). Mais aussi l’espace et l’air grâce auxquels ces vibrations vont pouvoir trouver un support d’expression. Je laisse à ton imagination la symphonie dont tu es capable une fois l’ensemble Art mon I say/art money sait.

Tu vois, si tu ouvres les yeux, tu comprendras que tu ne peux pas te tromper car tout t’édit fils (attention à ne pas rester avec ton nounours Teddy en refusant de grandir) et si tu fais bien ton boulot (en traitant ton lot de boue), tes gammes (game des âmes) hé bien tu obtiendras ton ASR (Attestation de Sécurité Routière) et tu pourras rouler en toute quiétude sur les routes unies vers elle. C’est grâce à ça que tu éviteras à tout jamais le maelstrom. (âmes mortelles des marmots d’elohim-marre maux d’hello him)

 

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

RSS