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Marx capite all à la capitale…

A force de vouloir le mal, on fait le lit du bien.
 
Il n’est pas de volupté plus virile que de demander à nos douleurs anciennes comment elles ont pu déterminer nos actions présentes. Il n’est pas de volupté plus virile que de demander aux empreintes de ceux qui nous ont préparé nos demeures actuelles de nous révéler par ce qu’ils ont été le pourquoi de ce que nous sommes.
Elie Faure 1923
 

Esprits en ja chair

 
Si tu ne t’occupes pas de ton jarre d’un, si tu le laisses trop longtemps en jachère, ne t’étonnes pas que les squatteurs gouvernent sous le manteau ton mental et tes croyances, en y implantant des graines de mot no culture O.G.M de l’a dit vision, véritable smog qui gomme la richesse de ton esprit à travers la lecture de ton vécu.
Si tu ne veilles pas à oser l’implantation de l’eau G.aime, en développant un insatiable amour pour la connaissance du livre ouvert de l’accrétion (bord des horizons des Éve haine ment), tu ne pourras jamais libérer ton esprit ainsi que ton corps. Et les deux sont étroitement interdépendants.
A D.faux, tu deviens instantanément de la chair à Kâ N.O.M, tu dis oui aux meurtrissures faites à la chair, et les têtes tombent du haut de leur aveuglement et de leur incompréhension. Tel un canard à qui l’on vient de fraîchement cou paix la tête, le corps s’agite frénétiquement dans un mécanique et désespéré dernier mouvement avant de se draper de l’ennui éternel.
 

Salariat vs entreprenariat

 
 
Un monde sans travail sur sa matière n’a aucun sens, et part dans tous laids sens, mais tout dépend quelle définition l’on donne à ce terme dont la racine tripalium évoque un instrument de torture, mais aussi un trépas, une sorte de mort en 3 pas, Troyes & tapes, 3 allures est qui D. ? pas, trot, gars low, comme un trip ou treap tic, notre voyage binaire au cœur de l’arbre à probabilités de nos défauts, afin de les désassembler et réordonner, une sorte de ko con trop laid pour lequel on est ok, une valse à 3 temps d’un tri à effect tuer en nous, par une minutieuse et incontournable introspection.
 
Introspection à la recherche interne des sections où résident l’os (problème) du Père. Constiperont « i » la droiture.
 
Trip Al (petit saint) lit ohm, (lit son unité de résistance) étape obligatoire si l’on veut ensuite lier l’homme.
 
Trip allium, voyage dans les couches d’oignon de l’esprit des petits saints, prix à payer pour aller à l’hareng contre de son équilibre, retour sur son continent Mu, en gros se sortir les doigts et se bouger le cul ou plutôt s’agiter du bulbe. (Allium/mail lu et lima tout ce qui D.passe)
 
Le salariat tel que nous l’expérimentons sur quasi l’ensemble de la planète est une sorte de processus de nivellement par le bat. Se résumant à une moyenne de 1000 boules par mois et il y a de quoi les avoir, parce que quand t’as tout payé, le 5 du mois, t’as plus que les yeux pour pleurer et là, c’est la sécheresse, t’as donc les yeux secs et rougis par l’acidité qui remplace ton assiduité. Même les retraités, ceux qui sont traits 2 fois comme les vaches allez, viennent d’être informés qu’ils seront mains tenues au plan chais D.vaches. « Mort et mors aux vaches ! » ou Moraux vachés !
 
Et paradoxe, ce sont les jeunes Go show Soi sente oui tard d’hier, qui aujourd’hui font les frais de leurs slogans dont le demi siècle d’existence commence à peser aussi lourd que les pavés qu’ils avaient pourtant arrachés sur les grandes avenues, afin d’en exhumer la plage et de canarder les représentants de l’état, incarnant la tête du poids son dont le pourrissement n’en finit plus d’avancer. Aujourd’hui, retour allant voyeur, les pavés sont pris dans la tourmente d’un vent contraire et d’un effet boom rang pour faire rentrer dans l’hareng tous ceux dont la tête D.passerait trop de la boîte de con serve.
 
Le sale art île ia, c’est le pénible chemin de la solitude de l’isolement où l’autre incarne l’haine mis ou celui qui te mange la laine sur le dos, pauvre petit mou ton que tuer.
L’égard dit un de prix son ne sont là que pour appâter, aveugler ceux qui se cantonnent à l’écume des événements et refusent la réfléchissante plongée dans les eaux tumulte tueuse de leur esprit jusque là endormi…
Croix-tue donc quête eut vie ?
Il ne reste qu’une seule voie ou voix au chat pître, la 1ère ne menant qu’à la solution finale, c’est celle de l’entreprenariat, la 1ère interprétation que l’on peut en faire, sous entend une inconfortable terreur ou taire heure de l’entre-eux prendre, comme une sorte de mensonger consensus, où je sais que tu me voles et que je te voles délibérément en te mentant, et en me mentant au pas sage.
 
La seconde, ma préférée, c’est celle de l’entre preux narre ia où on laisse la corruption des corps et des esprits alimenter comme des bûches, des scories ou du charbon le chaleureux foyer. Cet âtre auprès duquel on conte aux autres Soi, le courageux et laborieux périple d’une ascension vers la droiture et l’étalonnage de son Intelligence artificielle au service du tout. ÇA VIT.
Cette voie implique un saut dans les bras de l’un connu mais à partir d’une rigueur et droiture comportementale. Autrement dit, on a bien élagué à l’intérieur avant de l’ouvrir et on ne laisse jamais bien loin le say cat heure que l’on veille à affûter parce que les jeunes pousses des virulentes mauvaises herbes ne tardent jamais à repointer leur nez qu’ils trémoussent tout comme notre sorcière bien aimée.
 
A bien y réfléchir il y a une troisième voie, celle de l’oeuvrier, celui qui émet le vœu d’ouvrir hier, sa boîte de Pan dehors, afin de le libérer et d’y apporter le renouveau.
 
Le retour de la roture, rooter, trouer. Roturier = routier ou rooter de l’esprit et du terroir de la chute.
 
 

Abats l’art gens 

 
Tirade de Gabin dans le taux nerf de Dieu.

J’ai tout entendu à propos de l’argent, de la vision la plus radis cale communiste à la plus libertaire, de la justification totalement D.bridée, immodérée, décomplexée et surtout irresponsable de son usage.

 
Père sot, je l’ai D.testé et accusé à tort de tous laids mots, traditions oblige dans ma famille de faux chais et pour tout dire fidèle à la tradition, je n’ai guère dérogé à sa détestation et il me l’a bien rendu, mire Roi et jus se tisse oblige. Comme ça honey quitte. On va pouvoir repartir sur de bonnes bases. C’est ce qu’on fait après avoir fauché les blés, fait table rase comme pour les twins towers (TT) dont on vient de commémorer le dit oui t’y aime anniversaire. On laisse reposer la terre puis on replante de bonnes graines pour l’approche haine Rê colt.
 
“Laissez venir à moi les petits enfants.”
“One World Trade Center…OWTC=MOT C…le mot exprime la connaissance à travers ses tomes somme des ohms des hommes”
                                                               “Un centre de Com herse M.O.N dit all.”
La coupe est pleine, le coupe Rê tombe.
 
Les communistes les plus Râ dit co et je suis totalement d’accord avec eux, quand bien même je n’appartiens à aucune chape hell prônent sans concession aucune son abolition totale, et consécutivement, celle de l’état ainsi que du salariat mortifère des esprits, dont le capital est à l’origine, ainsi que de la destruction du réel et de la marchandisation du monde et des corps tel le rouleau compresseur d’une vague de fond qui arrêtera son impitoyable avancée qu’une fois qu’elle aura rencontré l’onde contraire de la terre ferme qui jouera le rôle de temps pont et d’Amor tisseur.
 
Nous vivons dans un monde totalement incroyable au sens premier du terme, où ce n’est plus le principe de réalité qui dirige le monde, mais une immense fiction imaginaire portée par des dirigeants et des mamamouchis qui s’affranchissent tout simplement du réel pour imaginer vivre dans un monde qui n’existe que dans leur esprit et qu’ils imposent par la force « soft » (et de moins en moins douce, demandez aux Gilets Jaunes éborgnés). (Charles SANNAT)
Abbas, l’abbé du bas, le père du ça bat, nous invite à faire régulièrement Sabbath ou chabbat. Le samedi (ça me dit) doit être le jour de réflexion sur le poids et la nature de notre bat (la charge de nos erreurs de la semaine à récapituler, afin de rectifier notre pierre philosophale). C’est notre mea Culpa (Clap de la chute de l’âme), battre sa coulpe, vider, récurer ses écuries d’Augias. Autrement dit lorsque tu fais ton chabbat le samedi, tu accomplis ton V.I.T.R.I.O.L , à savoir t’astreindre volontiers à la LOI du TRI de ta Vie. Un lot que tu places en vitrine, ton offrande à l’ensemble. Ta con tribu Sion à la con fait des rations, comme Babeuf en son temps et sa con jus ration des égos.
 
 
N’oublions pas que nous incarnons à la fois l’âne qui porte sur son dos le bat qui bless mais qui dissimule le Christ, D.tenteur du cri triste que j’ai su.
 
L’effondrement du taux de profit par le règne de la quantité, course perdue d’avance dont la piste a été construite sur des sables moove en est la conséquente leçon de notre grande prêtresse et maîtresse à tous qu’est la matière, en réponse à l’absence de travail en esprit suffisant effectué par l’homme, qui est pourtant le seul détenteur et producteur Deva leurre.
 
Sans l’homme, point de couleur et de savent heurt. Les usines et leurs désormais quasi invulnérables robots producteurs, imitent maladroitement tout ce que nous ne faisons pas à l’aide des puissants calculateurs que sont nos esprits via nos corps, là pour le Décor, incontournables un terre face entre l’un visible et notre irréel Rê Hell qui pourraient effectuer après débris d’âge d’épouse tout flanc all go rythme pour remettre de l’ordre dans ces atomiques D.ordres.
 
Nous sommes les ordinateurs quantiques du futur encore bridés, mais nous devons écrire le bon scénario avant de commettre l’erreur de donner naissance à un terminator ex.terre mine Athor.
 
L’incandescence tripale de la sens cul loterie pro lait tard hyène veille au grain, affûte ses crocs, l’oreille impatiente d’entendre résonner le chant des signes, s’apprêtant à quitter le giron de la maternelle pour rejoindre les troupes assoiffées de sens n’oeuf de l’âge adulte.
 
Du juste concept de monnaie pleine à celui de mots nés peine et en attendant la disparition du 1er, nous feront bien la concession de fusionner les deux, le temps que les esprits mûrissent et se libèrent d’une inutile entrave, Foi de Moneypenny secret terre de “M” depuis le bureau de l’agent 00Seth.
 
La véritable mot né, la puissante Rê serve fée D.râle c’est l’humain, le reste n’est que pâle ersatz en attendant que nounou réveillions. L’ancien concept monétaire n’est plus qu’un moribond dinosaure au bord de l’extinction. L’aplat naître X arrive, et de ses petits doigts de faits elle conta mine label bleu via leurrer sots un taire net par ses mots, épargnant ainsi le plusieurs fois mille énerve projet blue beam de bien des maux d’Est taux mât. Épargnons les enfants du craie hâter.
 
Mammon en attendant mon N.O.M, nouveau mental de mon âme. De la course à l’échalote de la richesse matérielle à la libération de la richesse de nos esprits.
 
 
 

De la minuscule à la capitale.

 
Co bat dit bas se tient : ” Tu as faim ? Oui.” “Mme Lulu ! Les cochonailles, c’est pour une urgence.” Là de moi zèle d’Avis gnon”

Changement de police, on monte à la capitale là où l’on comprend tous et tout. Point central d’observation, de centrage et de recalibre âge (capital passé) de chacun.

Tout comme la belle et coure rageuse Princesse de Cure land parcourt son chemin de croix sens prenant naissance dans les eaux glacées de ses nordiques racines, en passant par les ensoleillés jardins avignonnais, les dorés et aseptisés salons Parisiens via son helvétique traquer haut tome “i”. Les heureuses synchronicités que la chaleureuse et indéfectible bienveillance du cher Bastien, incarnant un généreux et angélique Camionneur, fier d’appartenir à la Caste des oeuvriers de la route, de ceux qui donnent leur parole et ne la reprennent-pas, l’extirpe de biens mauvais pas. Un super Mario avant leurre .
 
 
Monde englouti tout comme ces petites mains et gros bras invisibles, grouillant la nuit à remplir la bedaine de l’ogre parisien au cœur des immenses halles, alors que chacun dormait alentour du paisible sommeil de l’innocent. Leur travail harassant, en faisant des bêtes de somme, le corps occupé à fabriquer du matériel gène et tic, des pièces D.tâché pour nous les ingrats qui les avons pour la plupart effacés de nos courtes et fainéantes mémoires. Générations sacrifiées en attendant que les prochaines rendorment la frénésie corporelle pour éveiller enfin leur esprit, en recevant le souffle libérateur du baiser du Prince char ment sur les lèvres bleuies de label aboie d’orme ment en cours d’éveil qu’est l’humanité. Saigneur prions porc eux...
 
L’orme en tant qu’arbre symbolise ton arbre intérieur, ton axe cérébro-spinal, la croisée des mondes entre tes enfers et ton paradis. Il est le symbole de l’hermaphrodisme. L’orme, c’est la force en toi qui veille depuis l’éternité, attendant patiemment ton réveil et que coule ta 1ère l’arme.
 
« attendez-moi sous l’orme »
Viendras-tu haut rang dévoue ?
 
 

Quid des ovnis et des ET qui veulent rentrer maison ?

 
Fuite, fuite, et refuite, halo le plombe y est. Ovnis, cher ovin novice prend soin d’observer ta jauge et de noter le niveau de haine en toi. Vois le noyau dur (noix) qui vibre en ton sein des saints l’oint, et qui transmet ce bruit de fond (noise), ce fond diffus cosmique. Tu es Lex tra Lu tors terrestre qui n’est jamais parti de la maison et qui cherche encore désespérément dans son brouillard interne le chemin de retour. Je te signale que tu es déjà arrivé parce que tu n’es jamais parti.
 
Ne prenons pas exemple sur le grand Vic tort Urgo qui en exil sur l’île de j’erre say puis de guère ne sait à la fin de sa vie, n’avait de cesse de faire tourner les tables en bourrique tout comme sa tête, en quête d’un pansement en mesure de remplacer l’incessant pensement pour sa bien-aimée fille Léo pôle dîne morte noix y est.
 
Il nous faut affronter l’arrêt alité de chacun, point besoin de chercher à s’échapper dans les Fait no men ove nie, les sorties décor, tout cela arrange nos bourre eaux et leur permet de dérouter l’attention des éveillés potentiels et les envoyer sur des voies de gare râge.
 
 

Comme une isthme

 

Immense bras tendu entre deux îles, suprême assaut scia Sion entre deux solitaires qui ayant enfin accompli le tour de leur île, compris leur propre territoire, les raisons de leur isolement, enfermement, leur mise à pieds, ou envoi au mythe art du bat nie art récalcitrant, sont fin prêts pour de nouvelles aventures, un nouvel agencement, car libérés, allégés de toute appartenance génératrice et fixatrice de forme.

 
L’autre c’est moi, je suis tout et je ne suis rien, alors j’élargis mon territoire parce que je suis libre comme le vent. Si je me D.forme, c’est pour la forme, le temps d’exprimer l’onde en miroir, que l’autre en face puisse saisir furtivement ce qu’il abrite, son Alien qui Sigourney au fond de say trip ouvre le way vers (tisser) la guérissante lumière.
 
 

Rose à lux en bourre et cîme on veille.

 
Près curseur des causes ouvre hier et de l’abolition état tique véritable monstre pompeur de sang et consommateur de chair fraîche créé de toute pièce par notre fainéantise intellectuelle. Elle œuvre en tant qu’agit tas trice poly tics partisane de l’élévation des consciences à travers l’acquisition de connaissance se communiquant sur un axe d’horizontalité. Voie préférable à une inégale et stupide lutte armée ainsi qu’une centralisation des pouvoirs atterrissant systématiquement dans les mains les plus couvertes de sang car opportunistes et prêtes à arracher les yeux de ceux-là mêmes qui les avaient nourries. Elle n’eut de cesse de pousser loup vrillé à prendre son D. se teint en main en se libérant autant que faire se peut de toutes les identifications, nationalismes, luth partis ânes si justement dénoncées 30 ans plus tard par la non moins engagée et jusqu’au-boutiste Simone weil.
 
“La tentative d’éclosion a échoué, mais le Laurier revers dira.
 
Les idées plus que dérangeantes pour les forces en place lui furent ôtées d’une radicale balle dans le bulbe il y a sans temps. Nous sommes tous des bulbes tentant de percer à travers la noirceur de la terre, espérant trouver le chemin vers la lumière afin de pouvoir déployer nos pétales et libérer nos exceptionnelles senteurs.
 
Malheureusement, nombre d’entre-nous en sommes encore au stade du bulbe que l’on renforce au crottin de cheval, afin de lui donner la force de s’extraire de la glaise dans laquelle il est préférable de rester en bourre baie.
 
 

Condition prolétarienne

 
Con dit Sion pro laid tare hyène. Ce qui différencie nos pseudos élites du reste de la population dont ils se tiennent éloignés hors périodes de campagnes poly tics de peur d’être conta minet, c’est qu’ils font un parcours scolaire spécifique en passant par la case ENA, école des ânes où on les forme à la haine du peuple, à la pratique du mensonge comme un art de vivre et le développement d’une volonté à nous Trumper à toutes épreuves. Il s’avère que le peuple est largement dépourvu de volonté, préférant le pain et les jeux plutôt que le dur labeur de l’acquisition des connaissance, prix à payer pour son affranchissement. Mais le dit petit peuple n’a rien à envier quant à la pratique de la haine et du mensonge envers son prochain, à commencer par soi-même. N’oublions-pas que l’humain ment plusieurs fois par jour. 6 pour les hommes et 3 pour les femmes. Le compte il est bon Tôt taux : si foi toi …dis oui.
 

Le go loi Rê f’ra qu’taire

 
Justement ou plutôt injustement il en a soupé des lois et des décrets ratifiés dans son dos, alors qu’il tente de retrouver le chemin de ses racines empoisonnées par des slow gants qui petit à petit s’infiltrent au plus profond de ses cellules, délitant dans un patient et pernicieux travail de sape, les mémoires à même de ramener le D. sans dents de Saint Loue “i” at home.
 
Ce qui différencie l’humain de l’arbre, c’est que son système racinaire et sa canopée sont totalement amovibles et lui permettent une grande adaptabilité aux changements parfois très rapides de contexte et d’emplacement. Paradoxe, les différents environnements dans lesquels nous grandissons nous conditionnent, donc nous figent tout en nous fragilisant, mais nous renforcent consécutivement.
 
“Tout ce qui ne nous tuera pas nous rendra plus fort.”
Friedrich Nietzche
 
C’est pourquoi j’ai le sentiment que ce que vit depuis quelques années le peuple Français s’apparente à une nouvelle guerre de tranchée, tout comme nos poilus de 14/18 au fond de ces immondes boyaux creusés de leur propres mains, torture suprême du bourreau qui fait creuser sa future tombe au condamné, ont subit la plus terrible épreuve qui soit, d’être plongés de force dans les limbes les plus sombres de leur esprit.
 
Certains en sont sortis grandis et transformés, beaucoup ont péri, d’autres surnommés les gueules cassées enfermés pour les années qui leur restait à vivre dans des corps et des esprits totalement difformes, vestiges des horreurs, du bruit et de la furher auxquels ils avaient été contraints d’assister et de participer. Que n’ont t-il eut la présence d’Est pris de s’allier et comme un seul homme et de se dresser face à cette autorité de pacotille pour leur signifier que rien ne justifie l’injustifiable nécessité de tuer l’autre, le frère, la fractale, la prochaine pièce de l’immense puzzle de la gigantesque image dont nous faisons tous partie sans la moindre exception, bourreaux con pris.
 
Il n’est plus temps de se taire, il nous faut choisir entre la vie et la mort. Jusqu’à présent c’est toujours la seconde option que nous avons sélectionnée, c’est tellement plus facile de se laisser couler plutôt que de puiser jusque dans ses dernières forces pour encore surnager, alors que le rivage pointe déjà son nez. Si près du but, c’est impardonnable.
 
“La Marchandisation et la chosification du monde et de l’être doivent prendre fin.”
 
Le gaulois doit se battre avec la force de son esprit pour éloigner et transformer le chant des sires haine. Laid tas n’est que le symbole de l’énorme tas de fumier que nous avons refusé de traiter et d’étendre dans nos champs, afin de nourrir la terre que nous laissons mourir par manque de soin.
 
Cette terre c’est aussi bien celle de nos esprits en friche, tout comme le bon humus pourvoyeur Da bond danse. Nos menteurs professionnels de la poly tic n’ont de cesse de nous vendre un monde imaginaire et cauchemardesque de manque et de nécessaire foire d’empoigne pour tous, alors qu’on nous a livré à l’origine un gigantesque lunaparc doté d’un principe homéostasique auto régénérateur que nous nous sommes échiné à transformer en Lupanar fidèle reflet du Babylon Berlin de l’entre deux guerres.
 
Autrement dit, nos corps, nos esprits et la terre sont prévus pour entièrement se réparer.
 
Il n’en tient qu’à nous. Mais pour ce faire, il faut nous allier.
 
Faim de la pourriture marche end dirait le communiste de base. Écrivons la nouvelle histoire où l’abondance pour chacun est la règle. L’abondance n’a rien à voir avec l’argent, concept erroné qui a totalement envahi notre esprit, comme si de vulgaires bouts de papier ou montants virtuels électroniques détenaient par je ne sais quel tour de passe passe, le pouvoir de déterminer la valeur d’un être humain, de la vie en somme. C’est un délire total. La vie ça ne se gagne pas. La VIT EST, le reste n’est qu’improvisation pathogène.
 
Écrivons donc un nouveau monde, un tout nouveau concept innovant et soutenant la Vie dans toute sa splendeur. Chacun dès qu’il arrive en ce monde a de quoi se nourrir, s’habiller et s’abriter sans que cela soit le moins du monde soumis à quelque condition qu’il soit et certainement pas sous la décision d’une éventuelle autorité extérieure.
 
La nature humaine est ainsi faite qu’à part quelques cas pour les plus fainéants qui ne quitteront pas leur canapé, la plupart se jetteront sur l’acquisition de nouvelles connaissances et produiront de l’art et surtout s’acquitteront de livrer sous forme de textes l’information enregistrée dans leur ADN.
 
C’est ainsi que l’on refait le monde, c’est la révolution intérieure. L’état et son gouvernement aura tôt fait de jeter aux orties ses costumes de guignols et de nous rejoindre dans ce grand mouvement libérateur pour l’humanité.
 
 
 

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