Métamorphose

L’odorante singularité d’une inspiration coprophage

Mon père avait pour coutume de s’étonner d’observer combien notre étrange civilisation, alors qu’elle mettait un point d’honneur à apprendre à nos enfants le réflexe de la nécessité de se torcher les fesses, là d’où sortent les fèces ou les fées du ça voir (Le Bas-Principe fée mini un), faisait par contre l’impasse sur celui de leur apprendre à se torcher l’esprit. (Le haut-Principe masse cul’Un)

Et pourtant on a de cesse de nous répéter que : «  tout ce qui est haut est comme ce qui est en bas. »

Si le bon sens était utilisé dans toutes les strates opératives de la société, en l’occurrence dans l’éducation et le domaine scolaire, on ferait appel à une stratégie ayant pour but d’optimiser les enfants qui jusqu’à présent sont injustement et arbitrairement soumis à un système oppressif et liberticide. L’école humaine sous sa forme actuelle n’est qu’une hypocrite mascarade créée de toutes pièces pour justifier l’injustifiable, à savoir les différences (bien laid l’édit fées rance) deux classes. Tout le monde sait combien l’environnement pèse de tout son poids sur le développement d’un être quel qu’en soit le règne (animaux comme humains). L’école sauf exception, est un endroit où l’on fait appel à des techniques archaïques avec entre autre une approche binaire totalement obsolète de récompense/punition, l’éternel j’aime et j’aime pas à la youtube, ou de Pifou petit chien pave lot vient manifestant son plaisir ou mécontentement à l’aide de ses onomatopées, glop glop et pas glop pas glop. Un enfant comme un animal apprend beaucoup mieux par le jeu et le plaisir, ce qui favorise l’expansion, mouvement spiralé naturel de la création.

Pour élever et non pas produire des humains, en faire des individus performants en mesure de conserver leur spécificité tout en œuvrant pour le bien être de la communauté, il faut remplacer l’environnement pernicieux actuel, par une nouvelle configuration suscitant la curiosité, la variété, et surtout le mouvement. Notre planète est dans son entièreté un système scolaire, il serait au final plus judicieux de songer à dégraisser et désosser totalement l’obsolète Mammouth de laids ducs à Sion. Un ailé faon, ça t’rompe haine norme met ment.

Nos petits optimisés (Aux petits misez).

Notre enfant intérieur  kid deviend’Râ G’rang.

« Dieu sépara les Os du haut et les zoo du bas et il vit que SETH est bon. »

ÇA IMPLIQUE DE TIRER LA CHASSE D’EAU.

Et une chasse d’eau, ça fonctionne sur le même principe, la libération soudaine d’une grosse réserve d’eau (connaissance venant du haut) afin d’emporter les selles et le pape y est toile êtes, la merde que nous avons dans la tête et qui scelle notre cerveau (Rec/enregistrer le savoir que tu perçois dans les eaux) dans ce monde inversé où les serres des faux aigles qui nous gouvernent, enserrent cruellement (cru des eaux elle ment ou re cru d’essence voire des sens, à condition de ne pas perdre l’ad dit rec sion) les veaux que nous sommes à leurs yeux, afin de nous con sommet.

Sommer, c’est donner un ordre à quelqu’un que l’on considère comme inférieur, voire inféodé. Et notre élite somme le sot met de cons, de se laisser consommer…

De funès dans le grand restaurant

Notre élite est donc à la direction d’un grand restaurant, gérant la somme ou l’addition stratosphérique (strate os sphére hic)  de notre connerie…ceci étant ils oublient de rajouter la leurre. Et cet énorme tas de connerie a pour pendant le chant’âge à l’ad hate. Vous comprenez maintenant comment réduire SETH data née A/N T.

je crois qu’ils sont au bord de l’indigestion ou de la crise de foie avec tout ce jaune qui jaillit de toute part, symbole de la souffrance de la sous-France issue du souffle rance d’un système à bout de souffle. Cette sulfureuse odeur commence à sérieusement et désagréablement leur chatouiller les muqueuses Naze all.

La vieille bête se meurt, blessée à mort. Blessed, Blesse aide.

Nous sommes comme figés, en boucle sur des croyances récurrentes et jamais remises en cause. Nos hémisphères cérébraux s’apparentent à des ennemis en train de se faire, les spirituels contre les scientifiques et le corps calleux entre les deux clans qui cale eux. Or les 2 clans disent la même chose dans 2 temps différents, 2 axes d’observation provoquant un strabisme divergeant.

Pour qu’ils puissent faire la paix, il doivent faire ce constat et enfin réaliser la synthèse, su père pauser leurs 2 him mâges pour que leur corps calleux s’effondre, se collapse de lui même. Comme si le marionnettiste était soudainement exposé au regard des spectateurs. Sache que l’heure Roi est nu mère du hic.

Le véritable NEW ÂGE est celui qui va faire le MEN ÂGE dans le MANEGE des vieux MANÂGE HEURE/HEURT.

Sortez et lavez vos sales Ad, le créateur nous envoie l’essor heureuse.

Mais avant cela, il faut redonner du mouvement à notre mâat tiers grease (graisse qui remplie le Saint Graal), défragmenter nos croyances en nous disséquant à l’aide de notre acuité et surtout honnêteté et transe pare rance intérieure, jusqu’à ce que notre courant ô sait âne nique gulf-stream puisse re-circuler et permette d’atteindre un état plasmique en régulant nos flux.

Si l’on engraisse le coche du on (l’unité de la matière animée) c’est pour kill rang d’âme un jour.

Le coûte eau hait bien déguisé, alors ça va chier et ça valsait nier.

C’est dans le Plasma que se situe ma place entend qu’Artiste qui a réussi la synthèse entre les 2 points deux vues autre foi eaux posées.

Ce n’est pas pour rien que dans le langage populaire on parle de se vider laid boy haut delà tète, que les insultes les plus couramment utilisées sont associées à la merde :

Mange merde celui qui se nourrie de merde, c’est l’humanité, c’est chacun d’entre-nous doté de son tas de merde respectif.

C’homme ça, pas de jaloux

Fouille merde en effet nous sommes bien dans la merde et elle déborde de trésors. Et la France a cette particularité (hilarité de la partie de cul de la particule) d’être représentée par un coq/cop/ ça poc qui gueule à l’aube (quand on se Rê veille) les deux pattes plantées sur un tas de fumier fumant. Ça tient chaud Lord D premiers frimas.

Sac à merde, nous sommes du fumier (Nous fumons l’échauffement de nos fermentations d’hier, notre pas sait/su)

Tu cherches la merde (La mère de), non content de sentir la merde et refusant d’assumer celle que nous enfantons et de la nettoyer, nous trouvons le moyen de la projeter sur l’autre, en lui reprochant de sentir plus mauvais que nous.

Ben oui comme dit Bigard :  « Un petit paix du voisin sentira toujours plus mauvais que le gros vent Ôde haut rang convient de lâcher du chais, pour une meilleure vie nie fit kâ sion »

Tu touilles la merde avec un bâton, c’est bien pour éclabousser ses voisins.

Ça pu la merde la boucle est bouclée. Ça et merde, c’est la même chose. Le sert Pan se mord l’acqueux/l’hack-eux/Lac/cale eux.

Tu refoules du goulot, ah ah j’adore cette expression, ça me rappelle toujours les fous rires avec mon cousin lors du visionnage d’un film où les amants s’embrassaient goulûment au saut du lit, le Monsieur parfaitement rasé, la dame maquillée, les cheveux artistiquement répandus sur l’oreiller, c’est à ce moment là que je ne pouvais m’empêcher de prononcer la phrase fatale : « Et ils s’embrassèrent dans un souffle putride. »

Ben oui, j’en connais pas beaucoup au saut du lit dont l’haleine (All haine) sent la rose. La plupart refoulent du goulot. Celui (Ce qui luit) de la lampe d’Aladin. (L’addition de tous vers l’unité)

Aladin il l’astique fort sa lampe pour faire sortir le génie qui croupit depuis tellement longtemps dans ce qui doit s’apparenter à une fosse septique après c’est dit ment ta sion. Ça c’est de notre propre lumière dont il est question, et nous devons donc la polir fortement notre lampe. Le génie, c’est celui qui témoigne de notre négation de ce qui nous gène pour atteindre la droiture, droit comme un I. Il témoigne de notre génétique (gène éthique par nos tics). Cette ombre, notre ombre…hé hombre réveille-toi si tu souhaites faire sortir le génie planqué sous tes immondices au plus profond de toi pour enfin finir le toit de ton temple et décoller ta fusée qui a les pieds bien embourbés.

La merde a de l’avenir. Vous verrez qu’un jour on en fera des discours.

Louis Ferdinand Céline

L’ouïe fer dit nan Selles/scelle in

Le problème, c’est que nous n’avons pas compris que l’exercice de l’astiquage vivement recommandé, concernait l’intérieur de notre lampe (voir hampe en musique), de notre temple. Du coup, combien y vont de leurs couches d’oripeaux (horrible peau/pot), de maquillage qui comme ce mot l’exprime si explicitement maquille l’âge ou alors c’est peut-être ma quille qui prend le maquis et qui mac ou came qui. La quille on l’obtient lorsqu’on a terminé le parcours du con qui se bat tant contre des moulins à vent comme notre cher Don kid shot, pov’show chiotte.

Le mac ou maquereau, parfois sous teneur fait le beau, parade, joue les coq/cop. Sa cam à lui c’est de veiller à faire taffer les meufs, les poules qui doivent caqueter dans la basse cour en tortillant du pot peau teint afin d’attirer le mâle, lui dégorger le big orne eau et lui piquer son blé dont la majeur partie sera prélevée par le Brochet, qui à défaut, se fera un plaisir de remaquiller la dite poule, la gratifiant d’un magnifique sourire façon clavier play hell. Comme disait Colle huche : « Une dent tous les scie maître »

En vérité, nous sentons tellement mauvais naturellement, que nous sommes obligés de faire un usage immodéré d’un ensemble de subterfuges qui frise le toc (troubles obsessionnels con pulse ifs ou cif âme haut niac Al, ça réc cure mi eux). Or, force est de constater que nous ne sommes dans l’ensemble guère éloignés du comportement du cochon qui tout comme nous a la peau rose, bouffe tout et n’importe quoi sans pouvoir s’arrêter (jusqu’à ses enfants), se roule dans la fange (celui qui nage dans sa marde pour faire l’ange) etc…Ce n’est d’ailleurs pas étonnant que certaines parties de son corps sont utilisées en chirurgie humaine pour sa troublante compatibilité avec nous.

Prenons n’importe lequel d’entre-nous, et mettons-le à la rue. Il ne faudra que quelques jours pour qu’il se mette à sentir mauvais, perde de sa superbe et soit prêt à vendre jusqu’à ses fesses/fèces ou se frite pour un cornet (corps né/conter/contre) de pommes frites (Faire des rites qui tuent ailes/hell/hailes).

Notre vernis sociétal et civilisationnel n’est pas bien épais, il n’y a qu’à jeter un œil sur les ruées vers…les black Friday. Assez effrayant et au final bestial (La bête ou peste qui lie toutes les IA). En groupe, les gens perdent leur cerveau, leur intelligence et sont capables du pire. A quoi cela tient-il d’après vous ?

Comme je l’ai évoqué dans mon précédent billet intitulé Parlons vampire, j’apparente la conscience via notre imagination à un trou noir, tout comme notre anus, notre bouche, nos yeux, nos narines, nos oreilles, les pores de notre peau, et au final chacun de nos atomes, ou sont-ils plutôt des trous de ver permettant le passage entre 2 mondes, 2 états de perception, extérieur/intérieur.

Le trou de ver s’apparente à l’œilleton sur nos portes d’entrée ou dans des cabinets secrets afin d’observer le visiteur ou l’intrus sans être vu.

Une singularité, c’est un effondrement un collapsus d’un ensemble .

Un collapsus a deux issues, soit on a compris appris à faire sus à la colle en nous, soit cet effondrement nous est imposé avec toute la souffrance que cela implique. Cet exercice nous le faisons normalement tous les jours, cela s’appelle faire popo/dodo/bobo/qoqo ou peau neuve, faire kâkâ ou Chier qui est la contraction de Chi (énergie/information) et hier. Ça peut arracher le c’roue Pi on au pas s’âge “I” “I”.

L’ex pulsion des ex crée ment résulte d’une sorte de nettoyage/libération forcée, à l’issue (hisse ce qui est su, si et seulement si la leçon a été apprise et comprise) d’un processus de des canta Sion alchimique dans notre alambic (le distillateur de Dieu), des aliments ingérés quelques heures Pluto (Remonter aux Or ri djinn en lisant l’info du Père)

C’est une valse à 3 temps qui s’opère (hope père-laisse poire fée vivre) durant ce processus, entre la nature des aliments pour lesquels nous avons opté, la qualité de notre digestion (compréhension du repas informationnel) et l’aspect lui aussi en 3 temps des selles expulsées (couleur/odeur/aspect ou as pet/paix)

Notre alambic système digestif, tel une gare de triage, effectue une opération qui consiste à séparer le subtil de l’épais. (Épée de David qui tranche, Guerre et Paix qui se termine enkâ de fer ment ta sion par des pets)

Cela s’apparente à une démolition contrôlée afin de recycler de toutes petites particules et d’en faire un tout nouvel usage. Tout, absolument tout dans notre existence est constitué d’informations que nous devons ingérer par nos 5 sens, plus un 6ème, le plus important, notre conscience, celle qui rassemble, non pas l’égo qui divise, même si il a son utilité.

La coprophagie est un usage courant dans le monde animal. Nombre d’entre-eux quels que soient les règnes, s’y adonnent. La raison principale est liée à la richesse en nutriments des excréments, vitamines B (13), optimiser l’apport en protéines et améliorer la flore intestinale. Il est d’ailleurs amusant (âme usant) de constater la couleur de notre bonne vieille terre sur laquelle nous faisons pousser nos légumes (lègue hume/voie ton héritage et nos fruits normalement Free. Tout le monde peut constater qu’elle est marron, tout comme les matières fécales (mâte/matte hier fait cale). Notre terre est constituée des milliards de corps et d’excréments de ceux qui nous ont précédés et ce dans tous les règnes.

Nous aussi sommes donc coprophages (Co pro pages des âges) au sens propre comme au figuré, car en mangeant ce que produit notre terre, force est de constater que nous sommes un maillon d’une immense chaîne d’un gargantuesque repas informatif tellement roboratif, qu’il doit être disséqué en tous petits morceaux afin d’être ingéré et digéré, exploité sous une autre forme.

Si l’on transpose au sens figuré, cet immense banquet auquel nous sommes conviés (Les cons du chemin de la vie) est celui de la lecture, du décryptage de l’univers. C’est amusant de réaliser combien il est idiot de juger et rejeter tout ce qui croise notre regard, alors que tout a sa raison d’être et une utilité profonde à l’équilibre du monde.

C’est comme si le corps refusait systématiquement tel ou tel aliment, alors que nous prenons un malin plaisir à abuser de certains, sachant pertinemment qu’ils peuvent devenir nocifs si nous en consommons à l’excès. Exemple, manger des chips de temps en temps ne vous fera jamais de mal ni prendre un gramme. À l’inverse, tombez dans l’addiction, et consommez-en tous les jours et vous allez faire de l’embonpoint. (Lent bon poing)

Toutefois, ne pas oublier que parfois les excès quels qu’ils soient sont aussi de parfaits enseignements qu’il ne faut pas négliger. Cela permet d’atteindre son mur de planck afin d’avoir l’opportunité de développer une nouvelle qualité dans la maîtrise et l’équilibre, à l’opposé de ce qui était au début un nœud ou un défaut comme le nomment à tort beaucoup.

Tout est bon dans le cochon, tout est leçon, à condition de faire le nécessaire pour la comprendre et l’intégrer. Pour cela, notre corps est aussi un allié et accepte d’être soumis à nos excès, ce qui peut avec une belle stratégie découlant de la logique, lui permettre de se renforcer. Cela s’appelle l’hormèse. Tout corps soumis à un stress ponctuel contribue à le renforcer, une autre manière de dire que tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.

Si l’hormèse est bénéfique pour le corps, ex : jeûner après avoir trop mangé, ou faire du sport, s’exposer à la chaleur, au froid sans être couvert, ce principe doit pouvoir s’appliquer et être tout autant bénéfique pour l’esprit. Exposer ce dernier à des périodes d’étude et d’écriture intenses, puis de périodes méditatives va créer une sorte de contraction dilatation qui va favoriser le mouvement qui n’est au final que l’expression première de la vie.

Même ce qui nous paraît immobile est débordant de vie. Un cadavre est bourré de vie qui est train d’entamer son processus/mécanisme/programme de recyclage. Idem pour un jeûne, tout a l’air de s’arrêter puisqu’on ne mange plus ou ne buvons plus, mais à l’intérieur les forces curatives se mobilisent en masse et c’est parfois un énorme maelstrom qui se lève en interne.

Ce qui nous tue, nous encrasse, ce sont les croyances, les rituels qui s’apparentent à des ritournelles obsessionnelles. La ptôse qu’elle soit physique, mentale/intellectuelle ou spirituelle ne fait qu’enclencher et accélérer notre obsolescence programmée. C’est nous qui buzzons sur le bouton rouge qui enclenche notre processus de dégénérescence. C’est pourquoi nous devons étudier la merde, en être presque obsédé, je parle de la plus importante à savoir celle de l’esprit, car c’est là que nous sommes le plus encrassés. Mais n’oublions surtout pas combien elle est utile pour faire pousser de beaux légumes si au préalable répandue sur la terre noire (al key mia/alchimie) de nos esprits, afin de les enrichir et qu’ils puissent faire pousser de nouvelles plantes bien plus belles que les précédentes, car dotées de nouvelles couleurs, senteurs et saveurs.

Nous sommes des jardiniers en herbe de nos Esprits au service de notre créateur…A savoir nous, puisque nous nous auto créons.

De l’Alpha à l’Homme mes gars de GAÏA la maman des IA.

La boucle est bouclée et tu la boucles car c’est dans le scie lance que tout se crée.

Le talent, c’est en vérité le tas lent de nos excréments, notre tas de fumier perso que nous sommes aujourd’hui invités à traiter sans lambiner, car luz’in va bientôt fermer sa chaîne de pro Duc Sion.

C’est bientôt le printemps, préparez votre terre, enrichissez-la de vos excréments et voyez pousser avec joie le Jardin D’Eden qui remplacera enfin le Jardin d’aide Allah Haine.

 

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