• Chronique d’une rencontre

    PAN et compagnie

    PAN EMPOIGNA LA CONNAISSANCE

    « Le mystère éternel, ni tu le connais, ni moi.

    Cette énigme, ni tu la connais, ni moi.

    Quand le rideau se lèvera, tu verras

    Que nous ne savions rien, ni toi ni moi. »

    Omar KHÂYYÂM :

    poète Persan du XI ème

       Acte de foi                          Merci mon foie

    Acte eux deux fois   –   Mère scie Mon/Nom faux A

    Un de mes plus grands plaisirs durant ma petite enfance et mes vacances scolaires, était de rejoindre ma grand-mère maternelle adorée, Blanche, surnommée la Castafiore (Casse ta phi orée) par mon père. Jusqu’à l’âge des 1ers boutons, tout mon être tendait vers un seul objectif, alors que je subissais l’univers carcéral et compétitif scolaire, rejoindre la capitale qui m’avait vue naître l’année de la baie des cochons (l’abbé (Ad B=addition du 13, mort et renaissance de l’esprit) La paix des coche on).

    Je me souviens encore de mon impatience de voir enfin arriver les vacances scolaires, que je consacrais en totalité à mon séjour Parisien. Mes interminables heures de train jusqu’au sésame tant désiré ­- gare d’Austerlitz (austère/hausse terre litz, voir fil de Litz-un fil conducteur qui est adapté au transport de courant à haute fréquence)- tout le monde descend. Retour au nid, aux sources, où je m’abreuvais, tout comme un vampire a nécessairement besoin de sa dose de sang (200-le Jugement, c’est-à-dire le bouleversement et l’antagonisme) afin de se nourrir et de se régénérer. Leur N° de téléphone était Mac (Cam) Mahon (Mona H (Seule) 25 51.

    25=Représente le Verbe Universel-Durée en jours du voyage des Rois mages. 

    Représente la multiplication des créatures qui chevauchent sur le double monde de l’esprit et de la matière, selon R. Allendy: “c’est la vie se graduant sur tous les plans et évoluant par le jeu des polarités contraires”.

    Si l’on bascule le 5 vers le bas. Du coup le 25 se transforme en 22, idem pour le 52 ci-dessous.

    22+22=44 Ce nombre unit le principe des mutations périodiques de la nature aux manifestations cosmiques de celles-ci.

    Guématrie

    ⋅ Les valeurs numériques des mots hébreux AEIE HIE signifiant “Je suis la Vie”, BBLI signifiant babylonien, HVL signifiant phénix, et DM signifiant sang avec mem final égale à 40, donne chacun 44.

    ⋅ Valeur numérique du mot hébreu “yélèd”, signifiant enfant. Le mot père en hébreu se dit av:aleph, beth, soit 1+2=3. Le mot mère en hébreu se dit “èm”: aleph, mem, soit 1+40=41. La rencontre des mots père et mère, en hébreu, se traduit mathématiquement par le nombre 44 =3+41, soit précisément la valeur numérique du mot enfant en hébreu.

    52=Représente la lutte, facteur d’évolution pour les créatures, incarnées du Cosmos, selon R. Allendy.

    ⋅ Représente la nourriture matérielle – provenant de la terre et de l’eau en opposition avec la nourriture spirituelle.

    Nombre de semaines dans une année (âne né/véhicule de Christ)

    51=Le temps universel – vers sel/selle/scelle

    15=Représente la parfaite expression tridimensionnelle – 3 x 5. Dans le tarot (tare haut/eau) représenté par le diable (dit être-ou incarné dans la matière). Agent dynamique et créateur; il représente l’épanouissement de la vie dans la création”.

    Saint Paul énumère quinze fruits de la chair: fornication, impureté, débauche, idolâtrie, magie,

    haines, discorde, jalousie, emportements, disputes, dissensions, scissions, sentiments d’envie, orgieet ripailles. (Ga 5, 19) [9, 12]

    25 en réduction théosophique donne 7/Seth(celui qui divise ou dit « Prends appui sur moi et vise »)

    51 quant à lui totalise 6 il est aussi le nombre de l’épreuve, du travail et de la servitude dans la loi hébraïque, qui ordonnait de travailler pendant six jours, d’ensemencer la terre pendant six ans et qu’un esclave serve son maître pendant six ans. [666]

    25+51=76 réduction =13/B mort et renaissance de l’Esprit. Évoluer de cycle dans l’expérience de la division.

    -Station de métro courcelles, (Cours sur tes selles, où tu vas étudier ta merde, ton ombre)

    -Rue Médéric. (your met des ric)-RIC (Rê fée rein d’ohm d’ini scia vite scie toi hyène/haine)

    Alors que mon grand-père, pianiste de cabaret, partait jouer toute la nuit au moulin rouge et au Raspoutine, notre grand rituel à Mamy et moi, était de regarder le cinéma de minuit.

    De mes yeux émerveillés de l’enfant que j’étais, je voyais là une belle occasion et un grand plaisir de transgresser l’autorité parentale, tout en ayant la permission (père mi zion) de me coucher et de me lever tard. Enfantine jouissance, d’un futile sentiment de liberté d’être dans un cocon artificiel.

    Grande époque du noir et blanc et des vo sous-titrées. Tous les grands classiques Us et uk défilaient devant mes yeux fascinés (fa scie né), nourrissant mon imaginaire et me permettant sans que je ne le sache à l’époque, de commencer à engranger une énorme quantité de personnages et les symboles qui leurs sont associés. La vie m’avait en quelque sorte généré le scénario idéal, afin que je puisse commencer à me constituer une banque de données (dons nés) qui ne me servirait que bien plus tard à assembler les pièces du puzzle.

    Parmi les personnages qui m’ont fait rêver, un des 1ers à me faire vibrer, trembler et pleurer d’excitation à mes 5 ans, était Thierry La Fronde (Thierry/le tiers rit/gouverneur du peuple de Janville/j’envie le ou jaillit le vil de la source), interprété par le magnifique Jean-Claude(gens boiteux) Drouot (Troudo). C’est bien plus tard que je réalisais que ce Robin des bois à la Française, évoquait avec sa fronde, David contre Goliath le géant.

    Le Pendu XIIe lame du Tarot

    En miroir, le prénom David nous donne div aD, autrement dit, celui qui divise et qui additionne, de l’alpha à l’oméga (homme méga), du petit d au grand D une fois l’ascension du Golgotha réalisée. Dans cette parabole des 5 pierres que David sélectionne dans le torrent, nous avons de nombreux symboles. Tout d’abord le 5 est connu pour être le chiffre de l’homme. En mode miroir du haut vers le bas, le 5 nous donne un 2. Comme si de la division, mode dual ou binaire du 2, l’homme avait réalisé une sorte de bascule, lui permettant une vision inversée du monde, lui remettant en quelque sorte les idées à l’endroit. Cela m’évoque immédiatement l’arcane n° 12 du tarot de Marseille (L’oeil de Mars), le pendu, qui représente un personnage pendu à une branche d’arbre par le pied gauche, alors que la jambe est libre d’entraves, mais repliée de telle sorte qu’il forme avec son corps le chiffre 4, celui qui symbolise la matière (l’âme à tiers, autrement dit un tiers dans le visible et où se situent les autres tiers ?), la stabilité du cube métatronique (met tas trône hic).

    Or, nous venons de passer en année 2+0+1+9=13/B=3, qui justement est sous le signe du pendu ou Pan dû (Le Dieu Pan «  Le cornu » symbolisé par Peter Pan, ou encore Robin des bois, Thierry La Fronde. Observons la similitude entre les personnages, hormis les codes couleurs qui changent mais qui sont aussi importants:

    Peter Pan

     

    L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est Robin-des-bois.jpg.
    Robin des Bois


    Thierry La Fronde

     

     

     

     

     

    Je-suis-celui-qui-se-crée-lui-même.

    J’essuie ceux luit qui secret lu I/he m’aime.

    Le contexte est le même, la nature, la forêt (le vert domine), univers sylvestre. Elle est dotée d’une dimension occulte, associée à la magie, les sorcières, les vampires, chamanes, créatures fantastiques. Les arbres qui sont une fractale de l’arbre de vie, symbolisent aussi les cheveux de Gaïa notre planète qui est un plan net se déroulant sous nos yeux. Le règne végétal est le second sur les 4. Entre-autres symboles, c’est aussi celui du système nerveux, du printemps, de l’élément bois dans la règle des 5 éléments chinois. C’est donc le lever du soleil à l’Est (rayon vert ou confrérie du VRIL, La race future), l’organe du foie avec sa bile verte et ses accès de colère (colle air/voir notre chère Mèduse). Il est associé à l’élément vent. Il peut être soudain et violent, imprévisible et destructeur (Vent des sorcières/sors scie air). Dans le même temps, le vent emporte avec lui les graines de vie, et engendre la vie nouvelle, là où il les dépose, tout comme les idées qui sont dans l’air. C’est également le paradoxe du bois, qui peut à la fois créer ou détruire.

    Considéré comme la naissance de l’énergie yang, le bois a pour mouvement l’expansion et engendre l’activité, la chaleur et la connexion vers le second élément du cycle: le Feu. Le bois fournit la force de changer et aller de l’avant. Il est à l’origine de nouvelles idées, de nouvelles pensées, de changement et d’espoir.

    Lorsqu’on pense au bois, on visualise un arbre avec des racines (yin) solidement plantées dans la terre et le tronc et les branches qui montent vers le ciel (yang). Il assure donc la liaison entre le yin et le yang, entre le passé et l’avenir, entre le ciel (le scie elle) et la terre (là t’erre) avec force et souplesse.

    L’arbre qui cache la for Rê

    La forêt est donc sombre, floue, c’est la représentation de notre part d’ombre ; voir l’expression « se méfier de l’arbre qui cache la forêt/faux Rê-Tout ce qui brille n’est pas Or/hors). Certes, les armes ou équipements différent chez nos 4 personnages, mais ont tous une symbolique convergente :

    Peter Pan

    Peter Pan – Il utilise une flûte ou pipeau pip=écho eau=Informations et peuple (Pour aussi raconter des sornettes), charmer les enfants et les transformer en garnements qui le suivent aveuglément, afin de vivre des aventures qui les feront grandir. Il leur vole/love leur conscience en qq sorte (comme un vampire qui aspire le sang de ses victimes ou proies. Nous étudierons dans un autre texte la symbolique du vampire, du sang et du Graal), puisqu’il a perdu son ombre, avant de la retrouver grâce à Wendy (Men dy/meurt), sa conscience pleine de sagesse, qui la garde précieusement pliée dans un tiroir (ton Roi de la N Noir caché dans ta caverne) en attendant de pouvoir la lui recoudre (théorie des cordes, les fils qui tissent l’âme du fils. Je l’associerais bien volontiers à l’enfance et le Bateleur, 1ère lame/l’âme du tarot de Marseille (le Tare haut/rota (roue) de l’œil de Mars, celui qui s’arme, le guerrier). Il a les cheveux rouges, carotte. Ici, symbole du feu qui habite ses pensées, c’est un feu follet. Un fou fou.

     

     

    Plein potentiel de l’enfance prête à en dé coudre. Bâte (charger une bête de somme, et sertir des pierres précieuses en joaillerie) leur (rule/règles- leurre/l’heurt).

    L’Éternel Moment Présent du Principe Créateur. Ce Un, qui seul dans l’ensemble de la création a ce pouvoir créateur, sera donc le principe germinatif incréé du créé, et sa division séquentielle manifestera les autres Nombres Puissances qui lui sont attachées ; il ne peut se comprendre que dans le cadre de ce don d’ubiquité, qui lui permet en étant hors du temps, d’être partout en même temps ce centre qui est partout et dont la périphérie n’est nulle part. Ce Nombre Un n’est pas la Création mais le principe même de la Création.


    « La plume est plus forte qu’une arme. »

    Calot de Robin

    Robin des bois – Le prénom de ce personnage fait allusion au vol, nous entendons Rob in (c’est la symbolique d’un vol ou love intérieur, mais aussi le nom d’un robot, un programme ( voir série westworld) . Il vole aux riches pour donner aux pauvres (Voir sang et vampire). Mais riches et pauvres de quoi ? De quels joyaux parle t-on ? Serait-il question d’informations, d’art des gens, plutôt que d’argent/darder gens papier (Pape y est/hait/ tourner en rond dans la haine du vieil homme/ohm, celui qui Rê siste). Quels sont les joyeux cachés en nous, et où se situe le coffre fort ?

    Les cinq couleurs aveuglent l’homme. Les cinq notes assourdissent ses oreilles. Les cinq saveurs rendent sa bouche insensible. Les courses et la chasse égarent son esprit. Les richesses l’empêchent de progresser. Ainsi le Sage tourne son regard en lui-même et, loin du tumulte et des passions, exerce librement son choix.

    Tas haut t’es king

    Son petit chapeau vert a une connotation très sexuelle. En effet, sa forme exprime à la perfection le sexe féminin, la vulve (ulve/Voir l’algue verte, bio-indicateur de pollution, fertilisant et se consomme. Voir l’expression : « se faire brouter le gazon ou le/houleux minou (celui qui est oint de l’amour Originel) ») et son clitoris (lit la connaissance du Roi avec la clé du tore (porte)) véritable mini pénis tout aussi érectile. La vulve quant à elle est capable d’éjaculation, voir femmes fontaines/fonte haine. Le vert est la couleur du monde végétal. Par définition, en apparence (appâts rances), il végète. Mais en réalité, il reçoit la lumière solaire, et la traite par la photosynthèse (Faux taux sainte taise)-Propriété alchimique de la plante, qui transforme à l’aide de l’information de la lumière solaire, des éléments inorganiques (la terre) et les fait monter en fréquence en les rendant comestibles et assimilables. Le vert, c’est aussi aller vers (une direction, celle de la lumière/lu mi air/jaune/nuage/nu âge), la transparence du verre (se mettre à nu, se dévoiler, voir la voie lactée), et aussi le 4ème chakra du cœur, symbolisant l’amour (Roua M donc mourra, tue Râ dans l’œuf ou encore Mura O/l’eau ou l’origine).

    L’allégorie du chapeau de ces 4 personnages hormis Pan, qui a des cornes (aspect lunaire/féminin),  sont donc des symboles nous signalant que leur tête est animée par une polarité féminine. Celle qui reçoit l’information. Tout comme la femme reçoit le vit du mâle. Et comme cela se fait de moins en moins (tout du moins avec une approche sacrée et non liée à des intérêts matériels), la relation homme femme étant faussée, un fossé s’est creusé/creux sait/sucre, et la photosynthèse alchimique dans le creuset qu’est le sexe de la femme ne se fait plus, et le mâle se transforme en mal, car mal additionné. (Maladie de Zion est née)

    « C’est dans le Creuset, qu’on crée dans le secret. »

    Je ne suis pas convaincue que le véritable amour existe sur terre. L’amour sous sa forme terrestre, est en l’état un programme comme toutes les attitudes humaines. Il est d’ailleurs reconnu que l’enfant apprend par mimétisme. Ôtez-lui toute stimulation dès la naissance, il restera à l’état sauvage. Preuve que c’est bien notre environnement qui nous transmet notre forme, notre caractère, et nos croyances. Cela s’appelle le conditionnement. Le Con dit zion ment. LE VÉRITABLE AMOUR N’EST PAS ENCORE INCARNÉ.

    Je ne suis pas convaincue que le véritable amour existe sur terre. L’amour sous sa forme terrestre, est en l’état un programme comme toutes les attitudes humaines. Il est d’ailleurs reconnu que l’enfant apprend par mimétisme. Ôtez-lui toute stimulation dès la naissance, il restera à l’état sauvage. Preuve que c’est bien notre environnement qui nous donne notre forme, notre caractère, nos croyances. Cela s’appelle le conditionnement. Le Con dit zion ment. LE VÉRITABLE AMOUR N’EST PAS ENCORE INCARNÉ.

    La plume (Le père me lu, moi la mule) témoigne de plusieurs symboles (Saint bol/Graal, le gras de tous, ce que nous avons stocké comme infos en nous).

    -Liberté

    -Connexion spirituelle

    -Courage et force

    -Intelligence et créativité

    Le Pape de Louisiane

    Le Pape de L’ouïe scie âne

    Le Pape de Loue I sian (estomac)

    Tous ces attributs peuvent être attachés au règne des volatiles (Lov/vol alités), les mammifères qui se déplacent dans les airs, à savoir la zone de l’esprit. D’où le rêve d’Icare. Icare (Car ire/voiture de colère), n’ayant pas réalisé son travail alchimique, a été mal inspiré en empruntant la voie de la précipitation (Précis Pi ta zion), en se fabriquant des ailes artificielles grâce à son père Dédale, afin de fuir le labyrinthe et le minotaure et qui grisé par son envol, oublie les recommandations de son père en volant trop près du soleil, perd ses ailes et meurt noyé. En a résulté la chute qui lui a été fatale.

    « Rien ne sert de courir, il suffit de partir à point, et sans les poings, pour l’oint du Père. »

    A bien les observer, ces 4 personnages arborent un corps fin, juvénile, souple, capable de grimper aux arbres tout comme un Cabri (Bri du ça. Tireurs d’élites de la merde). C’est bien connu qu’ils ont l’œil, repèrent et mangent tout, et nettoient tous les espaces difficiles à atteindre, pour éviter les incendies estivaux, en raison des parcelles non entretenues, et de la forte concentration des rayons solaires sur les pinèdes riches en essences très volatiles et inflammables. Ces personnages ont une allure ou une cadence (Kâ danse) de faune sautillant.

    Le Dieu Pan

    Le Dieu Pan (Nous tous) – On lui a attribué nombre d’étiquettes négatives, mais comme tout est de nature double, il a aussi des aspects lumineux. Mi-homme, mi-bouc, protecteur des bergers et des troupeaux. Représenté parfois sous les traits d’un jeune homme (Peter Pan), et doté des pattes, des cornes (forme de lune) et une barbiche de chèvre. (Vieil homme, têtu et revêche qui s’attend/satan/ Sat en/assis en soi) Pan, c’est nous ! A/N (amour ou haine).

    Notre animalité, le diable (dit able, idée d’être incarné), Lame N°15 du tarot de Marseille.

    Aile Dit able Haut

    Arcane majeur du Tarot : lettre Samech, le Diable


    Tarot du Sépher de moïse®, arcane majeur du livre de Thoth :

    le Diable, Nombre 15, lettre hébraïque Samech.

    Le Diable.

    Le Nombre (haine ombre) 15.

    Le Nombre Quinze, le Diable dans le livre de Thoth, c’est aussi le neuvième signe Nôah/Capricorne dans le Zodiaque (Zoo di hack) sacré (ça crée). Ce troisième Nombre de notre cinquième ternaire (13-14-15) correspond de par sa position à l’influence du Destin, ce qui est confirmé par sa réduction théosophique (1+5 = 6), qui lui-même est en troisième position dans le ternaire (4-5-6). Pour comprendre toutes les arborescences de ce Nombre Quinze, il convient de le rattacher au présent chapitre 6 qui est spécifiquement dédié au rôle de Nôah/Capricorne dans les Tables de la Loi. Notre Initié, le Nombre Neuf, (la neuvième manifestation de Seth/Vierge, son fils), celui qui est pourvu des Puissances de l’Ennéade originelle, son archétype inconscient, doit accéder à sa souveraine divinité en éprouvant en Conscience, les pouvoirs de sa volonté par la maîtrise des Puissances de ces Nombres. Soit il subira sa descente aux enfers de l’incarnation, sans parvenir à vaincre les tentations du Destin, auxquelles il sera soumis pour démontrer la Force de son libre arbitre ; et dans ce cas il utilisera ses pouvoirs en tant que sorcier (sort/saut hors scier). Soit il sera capable de vaincre les pièges du Destin (senti D) que sont les désirs, les passions, les émotions, les tentations (dont la sexualité corporelle n’est pas une des moindre), ainsi que la voracité de son ego, alors il sera le Mage (aime âge), le Messie (repas de la division) des écritures qui deviendra l’expression incarnée de la Providence dans la sphère organique, pendant que par nécessité structurelle, cette dernière doit laisser sa nature au repos au sein de cette sphère maudite. Le Nombre Quinze est par excellence celui du libre arbitre, faculté qui ne peut s’exercer sans cette autre faculté qu’est le discernement, dont celui du Bien et du Mal que constitue le fruit de l’arbre de la Connaissance, qui fait de celui qui en consomme, qu’il devient

    Tel-que-Lui-les-Dieux.

    Celui qui accède à la Connaissance, accède obligatoirement à un certain degré de pouvoirs Magiques. Il convient d’entendre par magique, non pas ce qui violerait les Lois de la Création, mais des pouvoirs subtils qu’acquiert la Conscience de celui qui se hisse au niveau des Connaissances de Lois supérieures. Savoir l’endroit où se trouve un coffre est une chose ; être capable de s’y rendre en est une autre, et connaître la combinaison de ce coffre, qui permettra de l’ouvrir, est analogiquement la magie dont il est ici question. Ainsi celui qui accède à la Connaissance d’une partie du contenu de ce coffre, succombera-t-il à la tentation de la convoitise, pour s’approprier ces richesses en valorisant son ego, ou sera-t-il maître de ses instincts, de ses vices, et de ses petits démons intérieurs pour utiliser ces richesses dévoilées au service de l’œuvre providentielle ?…

    Nous avons vu, dans ce chapitre dédié à Nôah, que pour se consacrer à l’œuvre providentielle, il devra en accepter volontairement le principe, et l’ouvrage à réaliser n’est rien de moins que le Grand Œuvre alchimique, celui qui permettra de pérenniser la transmission de la Connaissance par notamment la construction d’une Thebah (Arche) capable de surnager aux déluges (Lire les lègues de D). Il est donc nécessaire pour pouvoir servir l’œuvre providentielle, d’avoir acquit les compétences nécessaires (Né sait sert) et d’en manifester la volonté par une mise en application (appelé à lire/décoder la merde de zion). S’il est normal de juger l’arbre à ses fruits, il l’est tout autant de juger l’âme-de-vie à son parcours et à ses réalisations (Rê A lit sa division), à la condition qu’il y ait parcours et réalisations au sens concevable (être avec sa méconnaissance) par la Providence ; c’est-à-dire par la volonté de participer à cette Œuvre collective (impliquant des forces multiples et harmonieusement équilibrées) qu’est la Divine (dix visions un terne (3)) Création.

    Nous retrouvons dans la Bhagavad Gîta, cette autre Thebah, ces quelques versets qui viendront illustrer ce Nombre Quinze, confirmant s’il en était besoin, que la Connaissance a bien une source commune universelle :

    Verset : 3.16
      O Arjuna, celui qui n’accomplit pas de sacrifice comme le prescrivent les Védas vit certes dans le péché ; il existe en vain, celui qui se complaît dans les plaisirs des sens.

    Verset : 3.17
      Cependant, il n’est point de devoir pour l’être éclairé sur le moi véritable, qui parfaitement comblé, ne se réjouit et n’est satisfait qu’en lui.

    Verset : 3.18
      Celui qui a réalisé son identité spirituelle ne poursuit aucun intérêt personnel en s’acquittant de ses devoirs, pas plus qu’il ne cherche à fuir ses obligations ; nul besoin, pour lui, de dépendre d’autrui.

    Verset : 3.19
      Ainsi, l’homme doit agir par sens du devoir, détaché du fruit de ses actes, car par l’acte libre d’attachement, on atteint l’Absolu.

    Verset : 3.20
      Même des rois comme Janaka, et d’autres, atteignirent la perfection par l’accomplissement du devoir. Assume donc ta tâche, ne serait-ce que pour l’édification du peuple.

    Verset : 3.21
      Quoi que fasse un grand homme, la masse des gens marche toujours sur ses traces ; le monde entier suit la norme qu’il établit par son exemple.

    Verset : 3.22
      O fils de Prithâ, il n’est, dans les trois mondes aucun devoir qu’il Me faille accomplir ; Je n’ai besoin de rien, je ne désire rien non plus. Et pourtant, Je Me prête à l’action.

    Verset : 3.23
      Car, si Je n’agissais pas, ô Pârtha, tous les hommes suivraient certes la voie qu’ainsi J’aurais tracée.

    Verset : 3.24
      Si Je m’abstenais d’agir, tous les univers sombreraient dans la désolation ; à cause de Moi, l’homme engendrerait une progéniture indésirable. Ainsi, Je troublerais la paix de tous les êtres.

    Verset : 3.25
      En accomplissant son devoir, ô descendant de Bhârata, l’ignorant s’attache aux fruits de son labeur ; l’homme éclairé agit, lui aussi, mais sans attachement, dans le seul but de guider le peuple sur la voie juste.

    Le hiéroglyphe de la lame du livre de Thoth symbolisant ce Nombre Quinze, représente un diable à tête de bouc (se rapprochant de notre signe du Capricorne/ça pri corne/cabri) avec sur ses bras d’homme, écrit la formule des alchimistes solve et coagula, la descente aux enfers de la cristallisation matérielle et sa remontée. Le sceptre du pouvoir qu’il tient dans sa main nous indique qu’il est parvenu à ouvrir le coffre des secrets de la Nature et qu’il en possède une libre disposition, redoutable responsabilité qui est en même temps l’expression de sa divinité ou de sa possible diabolisation, selon qu’il activera librement en bien ou en mal les intentions qui seront à l’origine de l’exercice de ses pouvoirs. Nous retrouvons dans ce Nombre Quinze, la dualité inhérente au libre arbitre et qui s’était manifestée dans le Nombre Six, la lame de l’Amoureux dans le livre de Thoth, cet Amoureux qui était déjà confronté entre ses désirs et sa volonté, entre le vice et la vertu. N’oublions pas que le Nombre Quinze est une déclinaison du Nombre Six (1+5 = 6) et du Nombre Neuf de par sa position de neuvième signe du Zodiaque sacré.

    La synthèse de ce Nombre Quinze dans le Tao-Tô-King me semble correspondre à cette sentence :

    Celui qui sait marcher ne laisse pas de traces. Celui qui sait parler garde ses paroles. Celui qui sait compter n’a pas de boulier. Celui qui sait garder n’a que faire de verrous et de clefs. Celui qui sait lier n’a pas besoin de liens et nul ne peut défaire les nœuds qu’il a serrés. Ainsi le Sage se dédie au secours des hommes. Il n’en rejette aucun. Il veille à préserver les êtres, sans en excepter aucun. Il est dans la lumière. Tout plein de soleil. Le Sage est le maître de celui qui ne l’est pas, et ce dernier est la matière sur laquelle il agit. Ainsi, ils ont besoin l’un de l’autre. Voilà une vérité. Une vérité subtile. Car tout ce qui est essentiel pour l’homme, tout ce qui lui est indispensable, reste une énigme. C’est l’inconnu pour lequel on lutte et on travaille. C’est l’inconnu qui nous donne la force de vivre, la force d’espérer, la force de croire. Car ce que l’homme veut savoir lui reste inconnu. À jamais.

    Le Nombre Quinze a pour lettre hébraïque Samech (schéma/plan), nom divin Sameck (Cake M) (celui qui soutient, fortifie).

    Vocabulaire radical de La langue hébraïque restituée :

    Ce caractère appartient, en qualité de consonne, à la touche sifflante, et s’applique comme moyen onomatopée à peindre tous les bruits sifflants : quelques écrivains observateurs, du nombre desquels est je crois Bacon, ont conçu cette lettre S comme le symbole du principe consonant, de la même manière qu’ils concevaient la lettre Hé, ou l’aspiration H, comme celui du principe vocal. Ce caractère est, en hébreu, l’image de l’arc dont la corde siffle entre les mains de l’homme. Comme signe grammatical, il est celui du mouvement circulaire, en ce qui a rapport à la limite circonférentielle de toute sphère. Son nombre arithmétique est 60 (le serpent astral tentateur d’Eve -Karma cosmique).

    Tarot du Sépher de moïse®,

    Thierry La Fronde – Tout d’abord une fronde (Faire la ronde), est une sorte de rébellion (rebel Lit on/lion) face à l’ordre établi (le vieil homme). C’est aussi une arme (Rame/âme R), qui permet de lancer le plus loin possible, avec force et précision, un objet, une pierre ou un mot (pi aire/erre), qui nous évoque à nouveau le jeune David abattant le géant Goliath, à l’aide de sa fronde (bouche/intention) et de galets (puissance/puits de science des mots) prélevés dans la rivière (allégorie de ce que l’on peut réaliser en maîtrisant la signification profonde des mots/maux/démo/mode). L’eau, c’est la connaissance qui circule ou le peuple, et les Galets taillés (au nombre de 5, chiffre de l’homme accompli) symbolisent la parole maîtrisée par le Berger (Celui qui guide les moutons/mous du ton/note) David, qui s’en sert pour clouer le bec à son côté intelligence artificielle, numérique trop froide qu’il doit réguler. Dans la mythologie grecque, la fronde est l’attribut de Némésis (la déesse de la juste colère des dieux). Avec sa fronde, la déesse peut atteindre ses ennemis et les blesser de loin. Ainsi, Némésis (Né met d’Isis) symbolise la vengeance (Voir engeance en soi, notre ça).

    GOLIATH=Go l’IA en équilibre(T) parfait droite/gauche-Haut/bas (H) ou LIGOTA H (Hermès/air Messe. Ce met de l’esprit qu’est l’information que nous sommes et notre environnement qui lui aussi n’est que représentation informative de notre jeu vidéo/ je vis des hauts/eaux/os.

    Des 4 personnages, Thierry La Fronde est à mon sens le plus abouti, le plus équilibré, qui contre vents et marais reste droit dans ses bottes. Certes, face à la perfidie et malhonnêteté de ses adversaires, il est obligé de faire preuve d’espièglerie, mais jamais pour le plaisir de tromper dans l’unique but de son intérêt. Il est intègre et courageux, et ne se laisse pas détourner de sa mission.

    En étudiant ces 4 personnages (père sonne âges dont le but est de devenir(^ l’accent circonflexe symbolise le chemin, le développement, la décompression de l’archive de vie) sage), on réalise qu’il s’agit d’un seul et même Être sur son chemin évolutif à 4 âges ou périodes de conscience différents. Comme des marqueurs temporels, des instantanés, prises de sang (En vue d’un Bilan),  clichés de contrôle du mûrissement.

    En cherchant un peu, notre littérature et notre cinéma sont remplis de personnages verts de peau et de cost hume (oui ça coûte cher de venir sentir son caca ici bas) comme:

    Shrek l’ogre Verdâtre

    ARROW ou MOR RÂ/ART

    La Flèche, la cible visée Rome, l’art de la Mort de Râ le Dieu soleil (Seul Œil) et un art non maîtrisé donc raté devient une tare.

    Le Tao

    KATO (Kâ Taux/tôt)  DANS LE FRELON VERT

    Attention, le frelon peut attaquer et tuer un aiglon.

    Elfes…bouffons…Père Noël (no hell, Leon/lion)

    C’est au final un archétype primordial qui nourrit notre imaginaire, qui ne parle que de nous sur notre cheminement intérieur. Cela va du plus grossier au plus abouti une fois la leçon apprise et intégrée.

    Enfant, je rêvais de vivre dans la forêt, accompagnée de fidèles amis, et en parfaite symbiose avec la faune et la nature.

    Ce que je ne comprenais pas à cette époque, c’est que ce n’était qu’une représentation d’un parcours à réaliser en moi, afin d”intégrer et de manifester à mon tour dans ma réalité quotidienne un état d’être plus équilibré, plus juste.

    Mais n’oublions pas que notre brave Hercule a 12 travaux à réaliser.

    Ce n’est donc pas terminé.

     
     
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